Devenir Apiculteur...

Le rôle de l’abeille…

… dans la pollinisation des fleurs est fondamental car c’est l’un des insectes les plus actifs en période de butinage. Les spécialistes estiment que la valeur des services rendus à l’agriculture par les abeilles sous la forme de pollinisation est de 12 à 15 supérieure à la valeur commerciale des produits du rucher. Les producteurs de fruits font souvent appel aux apiculteurs pour qu’ils installent leurs ruches chez eux, moyennant une location par colonie. Et si vous étiez piqué par les abeilles, consolez-vous, le venin est excellent contre les rhumatismes. Il existe d’ailleurs des médicaments à base de venin d’abeilles. Sachez aussi que les vieux apiculteurs finissent par être totalement immunisés. Ils sentent la légère douleur provoquée par la piqûre mais le venin lui-même n’a plus d’effet sur eux. Cette immunité se reconduit l’année suivante.

 

 Dans la rubrique ''rions un peu''

• Quel est l’oiseau qui adore se nourrir de miel ?
• C’est l’autruche ! La preuve, à coté d’une ruche, il y a souvent une aut’ruche

Seniors,où nous allons!

Des retraités de plus en plus nombreux …

…vont rejoindre par obligation les bataillons de travailleurs saisonniers, symptôme d’une précarité progressante. On voit apparaître de jeunes retraité(e)s, seniors et surtout chômeurs de plus de 58 ans ayant besoin d’argent, accepter pour survivre des emplois à contrat temporaire. Ce sont des gens fidèles qui pendant quelques saisons tournent une partie de l’année chez des ''exploitants''... (ramassage de légumes, fruits, services de plage, restauration et autres). Aux âges avancés (70-85 ans), ceux et celles-ci doivent faire face, parfois aux pertes de mobilité, d’autonomie et entrent dans l’isolement. Ces nombreuses personnes âgées françaises devenues pauvres par nos gouvernants successifs vivent un processus de repli sur soi, les plongeant dans la solitude et finissant par vivre dans des conditions indignes de notre pays.

Retourner aux sources...

Notre alimentation à notre…

 

… vie exige sucres, graisses et vitamines, nous les trouvons en abondance dans les légumes, céréales et fruits. Nous voyons d’ailleurs les grands laboratoires se placer sur le marché, en vendant ces produits à base de plantes, de fruits et de légumes. Alors pourquoi ne pas retourner aux sources ? Nos ancêtres savaient fort bien s’en nourrir et utiliser leurs vertus thérapeutiques. Il nous est facile pourtant de cueillir ou ramasser nous même pommes, cassis, myrtilles, carottes…., et en faire tisanes, décoctions, potions ou autres. Prenons en exemple la pomme, la science moderne reconnaît en effet que, grâce à ses sels de potasse et son tanin, la pomme s’oppose à la formation de l’acide urique. Elle est donc recommandée aux rhumatisants et contre les calculs de la vésicule, pour cela il suffit de faire infuser les épluchures de pommes non traitées.

• Dicton et recette de mère-grand : « une pomme par jour, pas de médecin chez nous », et ci-dessous son « sirop de pomme »
• Faites cuire dans 1 litre d’eau 1kg de pommes non pelées, mais découpées en quartier. Quand les morceaux seront suffisamment mous, passez le tout à travers un linge en pressant fortement et ajoutez au jus 60g de sucre cristallisé. Remettez à cuire en maintenant un feu doux, jusqu’à ce qu’apparaisse une consistance sirupeuse. Mettez dans une bouteille fermée hermétiquement. Pourra servir pour toux, bronchites, rhumatismes, fièvres.
• Attention tout de même, ceci n’est qu’un breuvage et ne peut se substituer au médecin.