P'tite histoire du cheval cabré

  P’tite histoire du cheval cabré.

Enzo Ferrari, fondateur de la marque, fut présenté à la famille Baracca en 1923.Francesco, le fils de cette famille de vieille noblesse italienne, avait été un as de l’aviation italienne et sacré héro de la Grande Guerre. Il est mort le 19 juin 1918 fauché en plein vol. Sur son avion était dessiné un étalon noir cabré, son emblème souvenir d’un bref passage dans la cavalerie. La comtesse Paolina Baracca offrit alors à Enzo son insigne, lui promettant qu’il lui porterait chance. Ce geste s’explique par la sympathie des Baracca pour un compatriote de Modène mais aussi par la mort du frère ainé d’Enzo, Alfredo, décédé alors qu’il servait dans l’escadrille de Baracca au début de la guerre. Quand il lança ses voitures, Enzo reprit le symbole du cheval cabré en le modifiant légèrement. Devenu constructeur en 1947, Ferrari  reprend comme emblème officiel de la marque le «cavalino rampante ».Le cheval noir est alors inséré dans un rectangle jaune verticale surmonté des couleurs italiennes et portant le nom de Ferrari dans sa partie inférieure. Depuis des années on le voit sur les départs des grands prix de formule1.

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Voilà une histoire tout à fait insolite révélée par le magazine allamand Bild.Cette incroyable histoire s'est passé dans la commune de Doemitz dans le Nord de l'Allemagne.Cette demoiselle,visiblement très à l'aise en société,est descendue entiérement nue de sa Ferrari F430 pour aller acheter quelques paquets de cigarettes.

La photo numérique à toutes les sauces...

La photo numérique à toutes les sauces.

La qualité grandissante des capteurs intégrés aux téléphones mobiles, smartphones, tablettes de dernière génération, donnent la possibilité de prendre des clichés à la volée. Ces appareils, ne justifie plus pour certains de disposer d’un appareil additionnel. Un phénomène nouveau a cependant quelque peu éreinté le segment des appareils photo numérique d’entrée et de milieu de gamme. Heureusement certains sites consacrés à la photo numérique prodiguent de bons conseils à même de redonner le goût de la photographie autrement qu’en utilisant son téléphone. Parmi la centaine de sites spécialisés, beaucoup ne se contentent pas  que de donner des conseils d’achat mais également de la formation. Des cours gratuits ,de même une formation à Photoshop est dispensée (www.absolut-photo.com ) à en oublier parfois que la photographie n’est pas que de la saisie d’un instant, mais aussi une vraie activité de loisir artistique.

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Qu’il soit hybride, bridge ou ultra zoom, il y a forcément un appareil photo qui vous correspond. Pour vous aider à choisir, voici une sélection de quelques modèles classés en quatre familles. Performant : SONY CYBER-SHOT HX200V (500€ env.), des images propres à 1600ISO en 18 Mpixels, des rafales à 10 images/s…Indétrônable : SONY NEX 5N (600€ env.), la référence qui ne déçoit pas tant il est performant. Baroudeur : OLYMPUS TG-820(330€env.), construction très soignée, grande résistance et rendu des couleurs. Polyvalent : SONY CYBER-SHOT HX20V (420€) à la pointe de l’électronique et de capteurs. Gros compact à tout faire, GPS, mode panoramique par balayage, etc.

 

 

L'éthylotest à déjà une histoire

L'éthylotest à déjà une histoire...

Il semblerait que le texte de loi instaurant l’éthylotest obligatoire dans les voitures, date de plusieurs années, le décret d’application n’étant jamais publié. En 2002 se crée une association’’ I-test’’, dont le Président est un cadre salarié de la société qui fabrique et commercialise des éthylotests chimiques. C’est cette association qui a suggéré fortement à l’état de publier le décret d’application de cette loi, ce qui a été fait en février 2012. Alors ingérence ou pas ? Un marché estimé à 30 millions d’éthylotests par an (30 millions d’€uros). Parce qu’ils contiennent du dichromate de potassium, un produit classé comme cancérigène et dangereux pour l’environnement, les millions d’éthylotests, après leur durée de vie d’un an seulement (30 tonnes de chrome 6 à traiter), ne devraient pas être jetés n’ importe où.

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Depuis le 1^er juillet 2012, chaque véhicule à moteur circulant sur les routes françaises, à l’exception des cyclomoteurs (moins de 50 cm3 et 45 km/h maximum), devra être équipé d’éthylotest chimique ou électronique. En cas d’infraction, la sanction sera une amende de 11 €uros, qui n’entrera en vigueur qu’au 1^er novembre 2012.Son mode d’emploi : Si les cristaux de l’éthylotest indiquant le résultat sont jaunes, le test est négatif. S’ils sont verts, il y a de l’alcool dans l’air expiré mais seulement au franchissement de la ligne centrale, le test tourne au positif.