Bien choisir son agent immobilier...

Bien choisir son agent immobilier…

…présente indéniablement des avantages et vous épargnera bien des corvées : évaluation du prix, négociation, publicité, réception des candidats à l’achat pour les inévitables visites commentées …Voici quelques questions à poser avant de choisir un agent immobilier et de signer un mandat de vente. Depuis combien de temps votre agence est-elle implantée localement ? --- Appartenez-vous à un réseau local ou franchisé ? --- Etes-vous détenteur de la carte professionnelle ? --- Vos honoraires sont-ils affichés dans votre agence ? ---Comment pensez-vous évaluer mon bien et savez-vous à quel prix ont été vendus récemment des biens similaires dans le quartier ? --- Quelle forme de publicité allez-vous lui donner : annonce en vitrine, sur votre site, dans la presse locale ou spécialisée, avec ou sans photo ? --- Sera-t-elle intégrée à un fichier commun de votre réseau d’agence ? --- Ferez-vous une vidéo de mon bien pour proposer une visite virtuelle sur votre site. En cas de mandat exclusif peut-on prévoir une clause me permettent de vendre moi-même mon bien par mes propres moyens ?--- Toujours dans le cas où je vous confierais un mandat exclusif ?--- Prendriez-vous les frais de diagnostics obligatoire à votre charge ?--- Quel est le montant maximal de votre commission et est-elle négociable ? ---Me ferez-vous un compte rendu périodique des visites et des réactions des éventuels clients ? --- En combien de temps pensez-vous pouvoir vendre mon bien ? --- En principe, un bon professionnel doit vous poser les mêmes questions qu’un acheteur. Il doit notamment s’enquérir du montant de vos charges, de celui de vos impôts locaux afin de renseigner au mieux les éventuels acheteurs. Cela implique qu’il vous réclame un dossier complet de votre bien.

 

Et une écotaxe de plus...

Et une écotaxe de plus…

 …, encore une astuce  pour renflouer les caisses de l’Etat, et aider certains grands groupes. On constate que ses grands distributeurs sont derrière cette taxe, non pas par soucis écologique mais surtout économique, en quelques sortes pour quoi ne pas faire payer aux consommateurs le recyclage de leurs produits .Passe encore pour ce qui est des matelas (durée de vie 10 ans environ et non revendable) et quelques meubles jetables, mais encore une fois, tous les meubles dits de qualité ne sont pas jetés mais revendus ou donnés à des proches. A force de taxer tous nos produits de nécessités au nom de l’écologie, cela risque d’avoir l’effet inverse sur la population, ils ne donneront plus de leur personne en participant à de simples gestes quotidiens. Enfin, il serait bien de connaître l’efficacité de cette écotaxe (20 centimes pour une chaise, 1, €50 pour une table, 4€ pour un matelas, etc.) qui s’applique déjà sur l’électroménager, véhicules, boissons, appartements etc., à quand l’écotaxe sur l’alimentation !!! Selon l’Agence de l’environnement, environ 2 millions de tonnes de déchets d’ameublement seraient dans des décharges ou partiellement incinérés…On est en droit de se poser des questions sur les industries du recyclage en France ? Où sont-elles installées, sont-elles adaptées aux divers produits, ont-elles besoin de subventions pour fonctionner ! A suivre…

Dans la rubrique ''à la source''

Encore une taxe adoptée par le Parlement pour les poids lourds de plus de 3,5 tonnes que le consommateur va supporter par effet pervers. Ceux-ci vont donc subir à partir de juillet 2013 une écotaxe écologique lorsqu’ils circuleront sur les routes nationales et certaines routes départementales. Quelques véhicules devraient en être s exonérés, les bus/autocars, véhicules militaires, agricoles et  ceux d’intervention. L’écotaxe concerne environ 15.000 kilomètres de routes nationales, tronçons départementales et section d’autoroutes jusqu’à présent non soumis au péage. Le véhicule est détecté au moyen d’un équipement électronique embarqué qui fonctionnera grâce à la technologie GPS. La collecte devrait se faire automatiquement comme en Allemagne.

 

 

Un bon parachute fiscal...

Qu'en est-il de notre livret 'A'...

…malgré la baisse de sa rémunération nette de 2,25% à 1,75%. Depuis le premier février dernier, les fonds placés sur le livret 'A' frôlent les 260 milliards d’€uros, ce qui confirme son statut de placement vedette. Cette popularité du livret ' A ' est liée à ses caractéristiques traditionnelles : servir un rendement, modique mais net de tout impôt, l’Etat garantissant la sécurité et la liquidité du placement. Depuis le premier janvier 2013, le plafond des dépôts est limité à 22.950 €uros pour les particuliers, cela suffit largement à couvrir les besoins de trésorerie de la plupart des épargnants. Le calcul des intérêts est effectué par quinzaine avec capitalisation annuelle le 31 décembre, les revenus du livret 'A' ne sont pas soumis à l’impôt, ni aux prélèvements sociaux. Attention, toute opérations de dépôt ou retrait en espèces est fixé à 10 €uros et seulement 1 €euro50 pour la banque Postale. La loi précise qu’une même personne ne peut être titulaire que d’un seul livret 'A', chaque établissement financier est tenu de vérifier auprès de l’administration fiscale . Chaque établissement financier à la possibilité de refuser l’ouverture d’un livret 'A' sauf à la banque Postale qui s’est vu attribuer une mission d’accessibilité au livret 'A' à toute personne qui en fait la demande. A condition d’être ouvert à la banque Postale, le livret 'A' est utilisable pour le versement des prestations sociales, prélèvement des factures (gaz, électricité, taxe d’habitation, etc.).Une carte de retrait peut y être couplée afin d’effectuer des retraits auprès des distributeurs de l’établissement, l’obtention d’un chéquier par contre est impossible. Pour rapatrier son livret 'A' dans un autre établissement choisi, il convient de le clôturer avant d’en ouvrir un nouveau (opération gratuite).