28/12/2013
Le gui l'an neuf...
Le gui dont ses rameaux...
…se divisent généralement en trois qui est un chiffre sacré reste vert tout l’hiver contrairement aux autres arbres sur lesquels il pousse. Pour cette raison le gui symbolise l’immortalité et le gui du chêne serait plus magique. La coutume de s’embrasser sous le gui le jour de l’an remonte selon certaines sources au 2éme siècle avant J.C. A l’occasion d’une cérémonie sacrée célébrant l’immortalité de l’âme, les druides coupaient du gui avec une serpe d’or. La récolte coupée était alors accrochée à l’entrée des maisons en guise de protection. Les invités embrassaient alors tout naturellement leurs hôtes sous le gui, et la légende est ainsi née.
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Le gui ''porte bonheur'' qui se vend chaque fin année au cœur des cités a effectivement des vertus médicinales. En herboristerie, le gui était prescrit pour soigner l’épilepsie, les désordres nerveux et la digestion. Au 19 ème siècle, il entrait dans la composition de remèdes contre la coqueluche. La viscine, substance contenue dans le fruit blanc du gui, servait autre fois à faire de la glu. Plus récemment, utilisée à faible dose, elle s’avère bénéfique contre l’hypertension, les maladies cardiaques. Certaines d’entre elles tendraient à prouver que le gui agirait sur le système immunitaire et parviendrait à inhiber les tumeurs cancéreuses.
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22/12/2013
De six à Zéro en claire?
L’huître…
…est une espèce animale cultivée. Elle a été longtemps récoltée sur les bancs où elle se développe naturellement. Mais à l’Antiquité, les Romains parquaient les espèces de la Méditerranée pour les engraisser et en favoriser la reproduction. Cet exemple fut imité, plus tard, sur les côtes de l’Océan. Il faut toutefois attendre 1860 pour assister à la création de l’ostréiculture scientifique par les Français de Bon et Coste. Leurs méthodes sont partout adoptées aujourd’hui.L’avicule est cultivée, elle, pour la perle qu’elle nourrit de ses propres tissus. On trouve, dans le même groupe, la gryphée ou ‘’ huître portugaise’’ qu’un bateau venant de Lisbonne immergea accidentellement en Gironde en 1868.
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En parler, c’est bien, mais les manger, c’est encore mieux ! Incontournables pour les fêtes de fin d’année, les huîtres demandent un p’tit peu d’attention est suscitent bien des questions. Ce sont les chiffres de 6 à 0 qui définissent la taille, plus le numéro est p’tit plus l’huître est grosse. Les vertes présentent une couleur verte du à l’ingestion de navicule bleue mais ne change pas le goût. La spéciale de claire verte ou blanche est plus ronde avec un volume de chaire plus important. Les fines de claire ayant subit un passage en claire d’au moins un mois, leur donne un goût plus prononcé, plus de chaire et coquille plus belle. L’huître des quatre saisons, appellation commerciale, a la particularité d’être plus grasse que les autres et ce en n’importe quelle saison.
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07/12/2013
A nos brioches de fin d'année...
Ben je passe mon tablier...
...et hop ! je délaye la levure dans le lait, j'ajoute le beurre fondu, le sucre, le sel, une bonne cuillerée de farine et je laisse reposer ½ heure à température ambiante, juste le temps de regarder un épisode de Plus belle la vie .J'ajoute le reste de farine, le rhum, et les œufs (sans les coquilles).Et maintenant, je pétris jusqu'à obtenir une pâte souple et collante. Si nécessaire, je rajoute un poil de farine. Je mets au frigo 8 heures minimum. Je ressorts, je repétris un coup, j'étale, je plie, je réétale, je replie, je roule et je coupe des morceaux de deux tiers de la hauteur des moules. Je les mets dans les moules, et j'attend 2 heures à la température ambiante que ça lève, normalement jusqu’au bord. Alors zou, à four chaud, 220°C, 30 minutes, et c’est bien doré ! Après à vous de voir : glaçage au sucre ou pépites de chocolat glissées au dernier moment avant d’enfourner …ou nature !
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Ingrédients : 500g de farine- 250g de beurre- 80g de sucre- 1 cube de levure- 6 œufs- ½ verre de lait- 1 cuillère à soupe de rhum brun- 1 cuillère à café de sel- des p’tits moules cheminée.
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