Numérologie, la symbolique du''8''

Le ''8'' en le dessinant...

… à l’horizontale, vous découvrez le signe de l’infini, c’est ce qui définit le mieux ce nombre. Fermé sur lui-même, mais comme voué à un perpétuel mouvement, le nombre 8 renferme une symbolique multiple. Le 8, c’est la fascination pour l’absolu, top-niveau, top-réalisation, top-réussite. Top pour les plaisirs, vous êtes plutôt du genre insatiable, vous voulez toujours aller plus loin et plus fort. Top pour les richesses, elles vous fascinent et vous voulez-vous les approprier. Top dans la réalisation de vous-même, vous êtes quasiment obsédé par le goût de l’accomplissement. Si votre nombre fondamental est le 8, vous balancer sans cesse entre la verticalité et l’horizontalité, l’exigence d’absolu et le besoin de réaliser vos désirs matériels. Vous êtes souvent admiré pour votre réussite, cela vous excite d’être un modèle. Signe d’infini, signe d’absolu, le 8 est signe d’excès. Commander vous plaît, réussir vous plaît, mais ce qui vous plaît incontestablement plus que tout, c’est de vivre intensément. En effet, il n’y a que dans les moments d’intensité que vous sentez la vie circuler dans vos veines. Vos éléments sont à la fois terre, feu et eau torrentielle. Paradoxe né de la double lecture du 8, les personnes dont c’est le nombre fondamental sont capables, après un choc par exemple, de se dépouiller de tout le goût de luxe qui les a fait courir, pour accéder véritablement, à une sorte de recherche de l’absolu. Si le 8 est votre nombre fondamental, il y a fort à parier que vous apparaissez comme hors du commun. Incontestablement, vous émergez du lot !

 

Numérologie, la symbolique du ''7''

Le ''7'' fait penser...

…aux 7 jours ou au 7e jour de la semaine, partie intégrante d’un ensemble (semaine) ou isolé dans cet ensemble (le 7^e jour).Si votre nombre fondamental est le 7, vous vous situez dans une certaine ambivalence entre la partie et le tout. Vous voulez faire partie d’un  groupe, vous fondre dans la masse, mais votre individualisme inné vous rattrape toujours. Le 7 c’est l’abondance et l’austérité, vous balancez constamment entre les deux. Ce sont les deux pôles de votre personnalité, cela fait une personne pleine de contradictions. Si votre nombre fondamental est le 7, vous avez tendance à être tourmenté, les chagrins vous atteignent beaucoup car vous vivez dans le doute et vous ne cessez de vous remettre en  question. La question que vous vous posez le plus souvent, porte sans doute sur votre identité. Avant d’entreprendre une action, vous vous demandez si elle convient à votre nature profonde. Vos éléments sont la terre et l’eau. Pour vous tout est dur, rien n’est aisé, tout ce que vous faites vous crée des inquiétudes et vous vivez dans une véritable tension. Parfois vous avez l’impression que vous allez exploser, ou que le monde est un volcan en fusion. Vous avez constamment des doutes sur le bien fondé de vos entreprises. Les 7 péchés capitaux sont présents à votre conscience, ils se rappellent à votre bon souvenir ! Le 7 est  a la fois dans le profane et dans le sacré. Vous vous sentez investi d’une mission, celle de toujours porter la bonne parole. Vous n’aimez pas dire du mal des autres comme vous n’aimeriez pas qu’on en dise de vous. Tout ceci vous confère le charme captivant des personnes compliquées et inquiètes, que chacun a envie de protéger ou d’aider.

La Haye de Routot à son bûcher

Ce village de l’Eure…

 …est chaque été le lieu d’un extraordinaire feu de joie qui éclaire l’église Notre-Dame depuis le XVème siècle. Ce feu dit de Saint-Clair « réchauffe » le pays. A la Fête-Dieu (9 juin), les hommes abattent les peupliers nécessaires à la confection du bûcher et amènent les troncs devant l’église. Quatre jours plus tard, on fend des tronçons de bois et on les range à proximité du cimetière où ils sèchent jusqu’au 16 juillet. Ce jour là, dès l’aube, une douzaine d’hommes élèvent l’édifice qui atteint 14 mètres de haut. Aucun lien ne consolide cette tour terminée vers midi. Le montage s’achève par la fixation d’une crois fleurie au bout d’un tronc de sapin vert planté au centre de la construction. Ce bûcher colossal, éclaire l’église et la fête foraine. Si la croix prend feu, c’est signe de malheur pour le pays l’année suivante, dit-on. On récupère les braises pour les conserver sur la cheminée, elles protègent la maison.