Au JO d'hiver à Sotchi

De ces skieurs qui planent...

…c’est un jeune Autrichien de 18 ans, Sepp Bradl, qui fut en 1936 le premier skieur à réaliser un saut de plus de 100 mètres. L’ingénieur ayant dessiné le tremplin à Planica (Yougoslavie) s’écria : « Ce n’est plus du saut à skis, c’est du vol à skis ! » Une nouvelle discipline sportive venait de naître qui impliquait de se maintenir le plus longtemps possible en l’air. Pour cela, le skieur se penche en avant, le corps légèrement fléchi et les forces aérodynamiques lui permettent de planer. L’air circule plus vite à l’arrière de son corps fléchi que sur le devant, créant ainsi un vide partiel qui produit la portance. Depuis la performance de Sepp Bradl bien des progrès ont été réalisés : En 2011, un nouveau record du monde à été porté à 246 mètres par un Norvégien Johan Remen Evensen. Cette discipline sportive pratiquée par des voltigeurs est très technique et dangereuse, un record du monde ne se bat pas tout les jours.

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Les meilleurs sauteurs décollent à plus de 100 km/h. Ils apprennent aussi, à se recevoir en souplesse, une jambe légèrement plus avancée que l’autre, genoux fléchis. Le vol plané en lui-même est une opération complexe, le plus grand danger vient du vent, toutefois, les accidents mortels sont rares. On peut s’initier très tôt sur des pistes ordinaires aux sauts à skis, en s’entrainant à prendre de la vitesse, position accroupie, bras en arrière pour offrir le moins de résistance possible à l’air. Ensuite le débutant se lance sur de simples bosses qui font office de tremplins naturels. Il apprend ainsi à décoller en conservant son équilibre, le poids du corps décalé vers l’avant.

Cette histoire d'effeuillage...

D’où nous vient-le…

 …strip-tease, mot qui vient de l’anglais strip (se déshabiller) et tease (taquiner). Aujourd’hui, personne ne peut nous dire exactement et encore moins de quel pays cela nous vient. On retrouve quelques écrits pouvant nous éclairer un peu. Vers 1890, un artiste se serait dévêtu entièrement dans un restaurant du Missouri. Dès la fin du XIX siècle, des spectacles parisiens, appelés gommages, mettent en scène des déshabillages, les danseuses en collant ne finissent toutefois jamais nues. C’est en 1894 à Paris plus exactement au Divan que l’on découvre la naissance du striptease complet. La profession de danseuse nue n’apparaîtra pour la première fois qu’après la première guerre mondiale. Les premiers pas du strip-tease et le burlesque au Etats-Unis sont difficiles, perturbés par le puritanisme, ils seront formellement interdits à New York en 1936. Dans les années 1950, le striptease se commercialise toujours plus et devient l’un des piliers  de l’industrie du sexe. Les années 70, avec la libération sexuelle, verront les spectacles devenir de plus en plus sexualisés. Ce n’est que dans les années 70/80 que le pôle et lap dance devient populaire en incluant le striptease. Depuis les années 2000, les femmes ont le goût d’érotiser leur couple en pratiquant le striptease à la maison, une façon agréable de garder son homme.

 

 

 

Et encore une nouvelle taxe...

Et une nouvelle taxe ''Pol dance''…

…pour participer également, et d’une certaine façon au redressement des comptes de l’Etat, le ministre des Droits de la femme et porte parole du gouvernement a annoncé récemment cette mesure. Afin de lutter contre le viol, les clients des clubs de strip-tease devront payer 10 €uros en plus par personne pour financer la prévention contre les crimes sexuels et l’ouverture de centres d’accueil pour les victimes de viol. Bien évidemment, cette taxe provoque des réactions chez les propriétaires de clubs et chez les danseuses. Selon eux, ce surcout feront fuir les clients et de plus constitue une violation du droit à la liberté d’expression garantie par nos lois en France. Cette taxe imposée à tous les amateurs de lap dance, de pole dance et bien d’autres devrait rapportée plus de 40 millions d’€uros par an précise le rapporteur du budget. Selon le Premier ministre, il ne s’agit de rien d’autre que du financement participatif à ses projets en manque de soutien financier.

 Dans la rubrique ''à la source''

Pour qu’une activité physique soit efficace, il faut qu’elle fasse plaisir. C’est ce qu’ont compris les professionnels du fitness qui proposent  une nouvelle discipline l’ « African dance » associant les rythmes africains aux méthodes de remise en forme. Ces séances permettent d’améliorer la résistance cardio-vasculaire, l’endurance et la coordination… et le tout avec joie et sourire.