''On l'appelait la Deudeuche''

On l’appelait la Deudeuche

 Pourquoi parler de cette ‘’quatre roues sous un parapluie’’ : telle fut la très sommaire, mais très exacte définition de ce qui allait devenir le plus laid des véhicules automobiles jamais construits.

Une voiture conçue pour motoriser les paysans français mais qui, l’accélération du temps jouant, abandonnera vite le transport des bidons de lait pour se lancer à la conquête du monde.

Tout commença un jour de foire, dans un p’tit village d’Auvergne, en 1936. Boulanger Pierre Jules, P.DG de Citroën resta bloqué plusieurs heures avec sa voiture trop longue et ventrue dans un embouteillage de chariots, charrettes et landaus. Pour se faufiler partout, une idée géniale lui traversa l’esprit, pourquoi ne pas fabriquer une mini voiture robuste et bon marché qui serait à la portée de chacun. Le premier prototype ressemblait plus à un landau pour enfant qu’à une automobile, pas de rétroviseur, manivelle pour la mise en marche, unique phare à gauche n’éclairant qu’un coté de la route. Nombreux prototypes furent testés, tout était prêt pour la fabrication en série lorsque la guerre éclata. Le secret demeura pourtant inviolé jusqu’à la présentation publique au Salon de l’automobile de Paris, le 6 octobre 1948.

Simple, originale, modeste, parfaitement manœuvrable, douée d’une longévité exceptionnelle, la 2 CV devint le véhicule de prédilection des agriculteurs, des artisans, médecins de campagne et par la suite de toute la population. Le temps d’attente pour un acheteur cette voiture pouvait dépasser trois ans.

Indifférente aux modes, la 2 CV vivait de l’air du temps, fabriquée en France, mais aussi en Angleterre, en Belgique, en Espagne et en Argentine.

 

On comprend qu’elle soit devenue un symbole, elle représentait la fraicheur de vivre, la liberté et la contestation, première voiture française à avoir bouclé le tour du monde. La dernière 2CV a été fabriquée au Portugal, usine de Mangalde le 27 juillet 1990. Aujourd’hui voiture exceptionnellement rare, recherché par de nombreux collectionneurs et surtout des nostalgiques de la Deudeuche,

A suivre……, Olkif

 

 

 

 

 

Dorémi Fasol'a ''si..lencieux''

Dorémi  Fasol’a ‘’si…lencieux ’’

Dorémi roule présentement tout seul comme un grand. Nous enroulons dans la garrigue sinon à quoi bon monter sur un trial !

 

 Il suffit que le chemin dégringole  un peu, j’ai beau lui répéter, tes freins, il n’arrive pas encore astucieusement s’en servir, se sont alors les chaussures qui grattent le sol….Il faut le voir rouler sacrément sur cette machine épaules et bras tendus, de temps à autre quelques tractions. Quelquefois fantaisistes, il file sacrément vite, le suivre me demande de gros efforts.

 

Enigme pour futurs mécanos!

 

Cette hiver donc, changement de cap en commençant à faire attention à ce que je mange (promis, demain, je débute le régime) afin de perdre les 3/4kg qui me freinent tant dans les bosses.

  

 

 Sido Fasol'a...suivre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Boulimique de ''Pilote''

Boulimique de ’’Pilote’’  

 Au faite, quant il était p’tit, Zep adorait Gotlib, s’habillait en duffle-coat et lisait la ‘’Rubrique-à-brac’’, et mangeait plein de brocolis. On voit ou ça l’a mené aujourd’hui, grand grand dessinateur de BD.

Alexis talent fou, partis beaucoup trop tôt, il faut dire qu’à Pilote il travaillait comme un dingue.

Dans le Chat du rabbin, on découvre un félin bavard qui veut faire sa bar attitude, normalement les chats qui parlent ça n’excitent pas sauf chez Joann Sfar., de quoi passer de délicieux miaouuuuuuuuu !

Grosse légume de la BD Mandryka grâce aux aventures potagères du Concombre masqué en compagnie du Broutchlague mordoré.

Ami(e)s blogueurs et bédéistes, vous avez commis une erreur, vous avez fait entrer Philippe Caza dans votre univers, maintenant la peur s’empare de vous, votre gardien a soudain une drôle de tête. Ce type est dangereux, il dessinait des scènes de banlieue dans Pilote. Il revient, pour certain le cauchemar continu.                 

Pour conclure, chapeau bas à tous ses artistes scénaristes/dessinateurs, également ceux et celles oublié(e)s  ‘’ né(e)s ’’ pour la plupart dans les colonnes du plus grand journal BD de tout les temps ‘’Pilote’’.

A suivre…, Olkif