13/01/2020
Les voleurs de beauté
Les voleurs de beauté. Roman fantastique, ou Pascal Bruckner est allé puiser son inspiration dans tous les domaines. C’est sous forme de BD, scénarisée par Philippe Thirault, gardant le coté thriller, que l’on va découvrir les épisodes tumultueux de ce jeune couple. Cette histoire débute lors d’une soirée d’été, dans les urgences d’un hôpital psychiatrique. Un patient masqué, plutôt agité, prénommé Benjamin, se confesse à Mathilde, jeune interne de garde. Il lui raconte comment un soir d’hiver, au retour d’un séjour ski dans le Juras, et accompagné de sa charmante fiancée Hélène, leur accident routier en pleine tempête de neige. Ils vont être recueillis par les Steiner, couple inquiétant, vivant seul, enfin presque…, et retiré du monde dans un chalet de montagne. En réalité, ils vont se retrouver prisonniers de la perversion de geôliers pour qui la jeunesse et la beauté sont des insultes inqualifiables, et qu’il s’agit de punir par l’enfermement. Vont-ils alors, se sortir des griffes de ces êtres malades et pervers ? Pour son illustration, le trait est assuré par Manuel Garcia, un dessinateur connaisseur, et plutôt habitué aux comics façon Aquaman. Les paysages haut-jurassiens sont parfaitement décrits, créant une ambiance lourde, propice au suspense. Un roman exceptionnel, à lire à tout prix. Aux Éditions « Glénat »
Seriez-vous perplexe !Les qualités et les défauts des animaux.
On attribue ces qualités et ces défauts à des animaux. Saurez-vous les retrouver ? Nu comme… Rouge comme… Bavard comme… Doux comme… Rusé comme … Gai comme… Malin comme… Fidèle comme… Muet comme… Têtu comme…
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01/01/2020
Que deviennentnos étrennes ?
Que deviennent nos étrennes ?
Les étrennes, et son histoire. L’usage nous viendrait des Romains, on donna à ce qui était de p’tits présents le nom de « Strenæ » dont nous avons fait étrennes. Les premiers Romains s’envoyaient mutuellement, au commencement de l’année, des cadeaux d’une grande simplicité (fruits secs, miel ,etc.). Au fil du temps, les présents prirent de la valeur, les étrennes souvent combattues, persistèrent malgré quelques saints
qui les qualifièrent de diaboliques ! Quelques années avant 1789, les étrennes à la mode dans la haute société, étaient des porcelaines de Sèvres. Sous la Révolution, les étrennes furent abolies par le gouvernement républicain, puis remis au gout du jour par Bonaparte devenu Empereur. Les plus anciens se souviennent des 1er janvier d’antan. Endimanchée, toute la famille se rendait chez les aînés en respectant un ordre ben établi, arrière grands-parents et ainsi de suite. Les enfants qui étrennaient recevaient une pièce ou un billet après avoir dit respectueusement « Bonne année » aux membres de leur grande famille. De nos jours, les étrennes sont une tradition, non une obligation, l’usage veut qu’elles soient versées aux gardiens d’immeubles, facteurs, pompiers, éboueurs, en remerciement des services rendus tout au long de l’année. Il n’existe pas de réglementation, c’est à vous d’apprécier sous formes diverses « cadeaux ou espèces » à qui donner ou non.
Passage de faux agents. Comment reconnaître les vrais des faux.
L’habit : Comme pour les moines, ce n’est pas l’habit qui fait le professionnel. Un uniforme, ça se loue. Et un gilet jaune, nous en avons tous un dans la voiture. Méfiez-vous des apparences.
La Carte professionnelle : Pas de carte professionnelle, pas de calendrier. Qu’il s’agisse d’un éboueur, des pompiers ou du facteur, il faut leur demander. Terminé le format A3, maintenant, c’est la taille d’une carte bancaire (recto/verso).
Méfiez-vous du p’tit nouveau qui propose sa création imprimée sur son ordinateur. Vérifiez à minima la qualité du papier, l’impression, les dates, le logo.
Personne ne rentre : Même le plus véritable vendeur peut avoir son coté obscur (je peux utiliser vos toilettes ? ou avoir un verre d’eau ?). Ne laissez personne dans l’entrée ou vous laissez bien souvent votre sac à main, et vos clés de voiture.
Scout toujours prêt : Généralement, pas de problème avec le p’tit bonhomme de 8 ns sous son gros béret. Maintenant, ils vendent plus souvent sur les marchés ou à la sortie des églises.
Trop tard… Vous vous êtes fait avoir ? Deux choses à faire : ne touchez à rien et appelez la police en composant le 17.
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Le pays des Purs.
*Le pays des Purs*Avec cet album Hubert Maury adapte ce récit réaliste, authentique et mouvementé de cette célèbre photographe-reporter Sarah Caron. Son aventure commence en 2007 au Pakistan, où elle retrace les moments de l’assassinat de Benazir Bhutto. Elle va alors collaborer au déroulement de cet album, afin que son témoignage soit au plus proche des évènements et de leurs émotions ressenties sur le moment. Cette rédaction se décompose en plusieurs chapitres et commence par cet attentat vécu en direct, suivi d’un flashback lors de sa rencontre avec Benazir Bhutto. On passe assez facilement du présent au passé, sa rédaction étant bien cadrée. Sarah, met également en avant sa rencontre avec les Purs et celle de Faris, personnage important qui va la sortir bien souvent de situations périlleuses. Le dessin plutôt fluide au trait semi-réaliste est d’Hubert Maury, il retranscrit parfaitement cette histoire. Avec cet album, Sarah nous fait une démonstration parfaite sur sa profession, celle également de la situation du Pakistan, en passant de l’élite aux talibans, deux mondes qu’elle a côtoyé en immersion totale. C'est aux éditions *La Boite à Bulles *
*C’était un 28 juillet 1935* L'arrivée du Tour de France. Qui s’empara du maillot jaune dès la première étape et le conserva jusqu’à l’arrivée à Paris ?
1) A**oni* Ma*ne.
2) *om*in M**s.
3) An**é L**uc.
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