Macronarchie...

Renaud Dély, journaliste politique et auteur de BD satirique, nous raconte en compagnie de Thibaut Soulcié le récit de la faillite du système Macron.
Macronarchie. C’est l’histoire d’un jeune homme brillant à qui tout à réussi. Le jeune Macron est parvenu au sommet avec à ses cotés une bande de jeunes impudents aux dents longues, sûrs d’eux et sans états d’âme. Après avoir ébloui la France, l’Europe, et le monde, la machine se grippe. La mécanique du nouveau monde est fragile, construite sur du sable, sur une illusion, elle s’effondre en un rien de temps, comme un château de carte.
La start-up Macron saute sur l’Élysée
Et tout à coup surgit le p’tit prince… version start-up, saint Exupéry relu et corrigé par le CAC 40 ! C’est l’histoire d’un enfant devenu roi par un invraisemblable tour de passe-passe, presque un tour de magie. Le vieux monde s’écroule d’un souffle et des décombres survient l’avènement de Manu 1er, un post-adolescent surdoué et sûr de lui, qui s’empare du pouvoir en s’appuyant sur une bande de jeunes ambitieux tous formés sur le même moule, celui de la compétition et de la réussite individuelle. Benjamin, Emilien Julien et les autres communient dans le même culte, celui d’un jeune « boss » qui les épate et qu’ils vénèrent par-dessus-tout. Ils aiment gagner et briller, la réussite et le pouvoir. Le gang accède au sommet presque par effraction, le plus beau hold-up de l’histoire politique, le fric-frac de la République. Dans la foulée de l’épopée présidentielle, un tsunami de jeunes « winners » bien mis et propre sur eux déferle sur le palais Bourbon…
Miroir, mon beau miroir… ou quand Narcisse s’éblouit de lui-même
A l’Élysée, Narcisse prend ses quartiers. Avec Madame, il commence par refaire la « déco » de fond en comble. Finis les vieilleries obsolètes et les bibelots poussiéreux, place au neuf qui en jette ! Come toujours, c’est Brigitte qui prend les choses en main. L’indispensable Brigitte, l’indépassable Brigitte, unique objet de la flamme du jeune Manu depuis sa plus tendre enfance. Au palais, celle elle qui donne le ton, comme toujours. Obéissant, Manu suit le mouvement et s’exécute, cornaqué à domicile, il ronge son frein et passe ses nerfs sur le dos de la presse. Finies les confidences et la complicité des Présidents d’antan qui courtisait les grandes plumes pour mieux s’en faire flatter. Pour Manu 1er, les journalistes ne sont que des paillassons sur lesquels s’essuyer les pieds. C’est que le juvénile monarque, plane bien au dessus des états d’âmes de cette vile piétaille. Son ambition à lui n’est pas même seulement de refaire la France. Non, son vrai terrain de jeu, c’est l’Europe, rien que ça ! comme Charlemagne et Napoléon avant lui. A lui seul, son verbe magique promet de la réinventer, lyrique, grand loquant, le p’tit prince s’enivre de ses mots. Écoutez, tendez l’oreille, Manu 1er va chanter…  "Éditions Glénat"

 

 

Destination idéale

Java, l’île magique.  Chassé-croisé d’ombre et de lumière, de mythes et de réalités, temples majestueux et cratères remontant aux origines du monde, il existe une atmosphère, une âme propre à Java. Pour la saisir, il faut vous laisser envoûter. Cinquième île de l’archipel indonésien, elle vous enchantera en ce mois de mai où la température moyenne est de 26 degrés. Java est une terre de contrastes : pays du lotus et des orchidées, mais aussi du lilas. Jungles, savanes et rivages d’une quiétude éternelle. Certaines régions sont encore inviolées. Tout ici s’est synthétisé en une unité harmonieuse et magique. Le décalage horaire entre la France et Java est de + 7 heures en hiver et de + 6 en été. La saison humide étant comprise entre octobre et avril, la meilleur période pour visiter l’île est de mai à fin septembre. Sa religion est principalement musulmane. Bon nombre de voyagistes en France proposent des vols à tarifs réduits (Easyvols, comparateur de vols et de billets d’avions chez des dizaines de voyagistes)

 

Vide grenier.

Vide grenier ou brocante: qu’elle est la réglementation. L’organisateur de cet événement « vente au déballage » doit en faire la déclaration à la mairie concernée par lettre recommandée avec AR ou remise contre récépissé. Pour le particulier : il ne peut vendre que des objets personnels ou usagés et n’est pas obligé d’être domicilié dans la commune pour cela. Chaque participant n’a droit qu’à deux ventes de cette nature par année civile. Il doit remettre à l’organisateur une attestation sur l’honneur, document qui doit-être présenté lors de contrôles d’agents assermentés. En tant qu’organisateur, si vous ne respectez pas les obligations nécessaires : pour un vide grenier non déclaré, vous encourez une amende de 15 000€. De même qu’il s’expose pour un registre non tenu ou refus de le présenter aux autorités administratives, une peine de 6 ans de prison et 30 000 € d’amende. Ben voilà quelques infos qui pourront vous servir peut-être.