08/07/2018
Jardin éphémère
C’est à Metz (Moselle) Place de la Comédie que…
Chacun pourra découvrir de juillet à octobre ce jardin éphémère, mis en place grâce à deux mécènes : les jardineries Truffaut fournisseur de plantes et l’entreprise de travaux publics Lingenheld fournisseur des matériaux. Le thème étant celui des plantes qui voyagent. Sur 1500 m², des centaines de végétaux du monde entier ont été assemblés, en fonction des continents, des explorations, des premières démarches des scientifiques, entre les XVIe et XVIIIe siècle. Mais le jardin éphémère est davantage qu’une sortie pédagogique. Grâce au travail des agents du pôle parcs et jardins, aidés par les lycéens du bac pro paysager de Courcelles-Chaussy, l’ensemble saisit les sens joue des couleurs, et de l’ambiance. Lors de sa promenade, le visiteur est donc ainsi amené à vivre un voyage imaginaire en présence de panneaux explicatifs. Au centre, la fontaine de la place de la comédie apporte un plus en servant de brumisateur tropical
11 juin 1896
Qui réalise le film de 17 mètres, La partie de cartes dans son jardin de Montreuil, qui va devenir le premier studio de cinéma du monde.
Est-ce ?
1) *o*is *umiè*e.
2) *eor*es M**iès.
3) *mi*e **ynaud
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11/06/2018
La tête qui tourne et la parole qui s'n va
"La tête qui tourne et la parole qui s’en va"de Béatrice Gurrey aux Edition Robert Laffont. Un périple initiatique : Été 2013, après quelques jours de vacances passés comme chaque année avec ses parents au bord de l’Atlantique, l’auteure écrit à leur médecin traitant. Tous les symptômes de la maladie d’Alzheimer sont là et tous deux sont frappés, après soixante ans de vie commune. La certitude vient avec les IRM, sur lesquelles des zones blanches et opaques désignent la progression irréversible de ce mal logé dans leur cerveau. Mais évidemment, nous, la proche famille, nous savions, écrit Béatrice Gurrey. En quelle saison somme-nous ? « Une saison de chasse » avait dit mon père, incapable de nommer l’automne. En qu’elle année ? 1995 ? avait-il répondu, celle de l’élection de Chirac, 18 ans plus tôt. Dans quel pays vivons-nous ? Certainement pas en Italie, avait rétorqué ma mère, pourtant née en France, contrairement à mes grands-parents, originaire de Toscane. Le test de Folstein, auquel mes parents furent soumis par leur généraliste, reste un souvenir affolant. Je ne pouvais m’empêcher de penser à un vieux président qui l’avait passé lui aussi, s’agaçant de cet exercice qu’il jugeait absurde. Comme des centaines de milliers de famille, celle de Béatrice Gurrey doit vivre la recherche d’un endroit adapté, un déménagement déchirant, des tâtonnements infinis pour retrouver des documents. Il est rarissime qu’un couple soit frappé en même temps et cela a multiplié les difficultés. J’ai aussi découvert des secrets qui auraient dû dormir à jamais, poursuit l’auteure. C’est ce récit que je veux écrire, en mémoire d’eux. Tout au long de la maladie, j’ai pris des notes, comme le faisait ma mère avec nos mots d’enfants, soigneusement répétés et enrichis de génération en génération. Comme une journaliste aussi, avec ce regard extérieur qui aide à supporter le chagrin. Dans ce monde où le jour se confond avec la nuit, des phrases merveilleuses ont surgi de la bouche de mes parents. Leurs citations émaillent ce livre. J’ai aussi consulté des médecins pour tenter de comprendre ce brouillard que nous traversions comme des aveugles.
De cet ouvrage, se dévoile la difficulté de faire face. Comment organiser la vie de ces parents sombrant dans la dépendance. Questions financières, bon et mauvais EHPAD, formidables aides soignant(s)s et vols d’objets précieux, chutes et ambulances vers les hôpitaux.
Y a-t-il 700.000, 800.000, jusqu’à 1 million de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer en France ? Incroyable car nul n’ignore plus le nom de cette pathologie qui se caractérise par une dégénérescence du cerveau, et chacun ou presque connaît un proche ou un ami atteint.
A découvrir également le livre de Michel Mompontet « L’étrange et drolatique voyage de ma mère en amnésie ».
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20/04/2018
Seniors en colocation.
Appartager, ce site de colocation en France, a réalisé un sondage auprès de très nombreux seniors qui sont prêts à se mettre en colocation pour échapper à la solitude. Certains seniors ont pris la décision depuis un bon moment de vivre dans ce contexte. Un mode de vie qui présente pour 30 à 35% d’entre eux, l’avantage d’échapper à la solitude, de réduire les charges d’habitation et de fonctionnement. C’est également le moyen de bénéficier d’espace plus grand et un moyen de s’offrir une nouvelle jeunesse. Par manquent d’appartements locatifs abordables, les villes où ces colocations de seniors se sont le plus développées sont Paris, Lyon, Toulouse ou encore Marseille. Dans ces appartements, on vit à plusieurs : 41% des seniors partagent leur logement avec plus de 2 personnes et 10% environ avec plus de 4 personnes. Les colocations entre seniors sont donc bien souvent nombreuses, ce qui favorise les échanges et la convivialité. La colocation permet également aux personnes vieillissantes d’avoir une présence rassurante en cas de soucis de santé. Les seniors conservent ainsi leur autonomie et leur liberté de mouvement. La colocation est donc devenue une alternative intéressante face aux maisons de retraite, souvent considérées comme privatives de libertés et non respectueuses des modes de vie et des besoins de chacun. Certes, il est plus difficile d’accepter les défauts des autres à 60 ans qu’à 20, mais la colocation reste une option à envisager sérieusement à la retraite.
17 mars 1686
Naissance d’un peintre à qui son maître, Largillière disait : « Tu ne seras jamais qu’un peintre de chiens » .Il nous a laissé de belles scènes de chasse.
Est-ce ?
1) *e*n-*apti*te *ud*y.
2) *ranç*is *ouc*er.
3) Je*n-Ba*t*ste *h*rdin.
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