Village particulier.

Riquewihr, sa richesse.  Difficile de choisir un élément particulier de Riquewihr (Haut-Rhin), un des villages parmi les plus beaux et les mieux conservés de France, situé sur la route des vins d’Alsace. En particulier, se sont les linteaux sculptés qui ornementent presque toutes les maisons du bourg. Ces linteaux, taillés dans un bloc de grès rose des Vosges, surmontent la porte d’entrée de l’habitation. Ils sont ornementés la plupart du temps de l’emblème du corps de métier du premier propriétaire de la maison, souvent accompagné de la date de construction de celle-ci. Riquewihr s’étant depuis toujours consacré aux activités viticoles. Les outils de taille et les symboles des professions annexes abondent. Ses rues pavées sont parsemées de boutiques de viticulteurs à colombages et de salles de dégustations. A découvrir absolument lors de votre visite, cette « Tour des Voleurs », ancienne prison du XIVe siècle où se trouve des instrument de torture. Sa population est d’environ 1200 âmes. Cela mérite bien un p’tit détour…
25 avril 1859.
On donne le premier coup de pioche pour le creusement du canal de Suez. Construit par Ferdinand de Lesseps. Qui va l’inaugurer dix ans plus tard.
Est-ce ?
1) **i*pé**tr**e *ug**ie.
2) *a**in* **ct*ri*.
3) *’**pe**u* **pol*o* *I*.

Didier, la 5e roue du tracteur.

Didier, la 5e roue du tracteur.  Bande dessinée drôle, tendre, scénarisée par Pascal Rabaté, servi par le dessin expressif et coloré de François Ravard. Didier, 45 ans, agriculteur célibataire tient avec sa sœur, Soazic, une ferme de vaches laitières en Bretagne. Il aime bien boire, regarder ses poires pousser, dormir devant la télévision, et suivre le Tour de France. Mais, il est très malheureux, et a peur de mourir sans connaître le grand amour. Alors qu’il doit acheter une moissonneuse dans une vente aux enchères d’un fermier, il en revient sans, mais accompagné de son copain de beuverie, Régis. C’est le début d’une histoire entre Régis et Soazic, soufflant un vent de liberté sexuelle dans la ferme. Emportée par son élan, elle va inscrire son frère sur un site de rencontre. Rapidement, le profil de Didier fait une touche : la très entreprenante Coquinette. Ces trois antihéros sont touchants, ils nous rappellent avec humour que la quête amoureuse à la sauce agricole n’est pas une affaire aisée. Voilà qui fait du bien ! Et c’est aux Editions Futuropolis.
Seriez-vous perplexe.
Les noms d’habitants. Si l’habitant de Paris s’appelle tout simplement un Parisien, d’autres noms d’habitants sont plus difficiles à trouver. Essayez pour voir ! Saint-Etienne, Béziers, Poitiers, Limoges, Chamonix, Périgueux, Gap, Reims, Istres.

Que deviennentnos étrennes ?

Que deviennent nos étrennes ?

Les étrennes, et son histoire. L’usage nous viendrait des Romains, on donna à ce qui était de p’tits présents le nom de « Strenæ » dont nous avons fait étrennes. Les premiers Romains s’envoyaient mutuellement, au commencement de l’année, des cadeaux d’une grande simplicité (fruits secs, miel ,etc.). Au fil du temps, les présents prirent de la valeur, les étrennes souvent combattues, persistèrent malgré quelques saints

qui les qualifièrent de diaboliques ! Quelques années avant 1789, les étrennes à la mode dans la haute société, étaient des porcelaines de Sèvres. Sous la Révolution, les étrennes furent abolies par le gouvernement républicain, puis remis au gout du jour par Bonaparte devenu Empereur. Les plus anciens se souviennent des 1er janvier d’antan. Endimanchée, toute la famille se rendait chez les aînés en respectant un ordre ben établi, arrière grands-parents et ainsi de suite. Les enfants qui étrennaient recevaient une pièce ou un billet après avoir dit respectueusement « Bonne année » aux membres de leur grande famille. De nos jours, les étrennes sont une tradition, non une obligation, l’usage veut qu’elles soient versées aux gardiens d’immeubles, facteurs, pompiers, éboueurs, en remerciement des services rendus tout au long de l’année. Il n’existe pas de réglementation, c’est à vous d’apprécier sous formes diverses « cadeaux ou espèces » à qui donner ou non.

Passage de faux agents. Comment reconnaître les vrais des faux.
L’habit : Comme pour les moines, ce n’est pas l’habit qui fait le professionnel. Un uniforme, ça se loue. Et un gilet jaune, nous en avons tous un dans la voiture. Méfiez-vous des apparences.

La Carte professionnelle : Pas de carte professionnelle, pas de calendrier. Qu’il s’agisse d’un éboueur, des pompiers ou du facteur, il faut leur demander. Terminé le format A3, maintenant, c’est la taille d’une carte bancaire (recto/verso).
Méfiez-vous du p’tit nouveau qui propose sa création imprimée sur son ordinateur. Vérifiez à minima la qualité du papier, l’impression, les dates, le logo.
Personne ne rentre : Même le plus véritable vendeur peut avoir son coté obscur (je peux utiliser vos toilettes ? ou avoir un verre d’eau ?). Ne laissez personne dans l’entrée ou vous laissez bien souvent votre sac à main, et vos clés de voiture.
Scout toujours prêt : Généralement, pas de problème avec le p’tit bonhomme de 8 ns sous son gros béret. Maintenant, ils vendent plus souvent sur les marchés ou à la sortie des églises.
Trop tard… Vous vous êtes fait avoir ? Deux choses à faire : ne touchez à rien et appelez la police en composant le 17.