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04/05/2020

Grave.

Grave. « Les contes du cimetière » se sont des histoires courtes, fantastiques ou d’horreurs, présentées chaque fois par un hôte différent. Richard Corben synthétise 2020-04-09_10h55_18.png2020-04-09_10h58_03.pngà la perfection les codes de la bande d’épouvante apparue au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. On y découvre des personnages étranges, une crypte d’où s’échappe un halo de lumière. Le dessin est également original et se prête bien à l’ambiance. On retrouve également dans se double album, la super épopée complète de Denaeus, héros dans la lignée de l’une des plus grande créations de Richard Corben. A découvrir ! Et c’est aux Éditions Délirium
3 mai 1987.
Yolande Gigliotti se suicide à Paris. Elle prit le nom de Dalida à la suite d’un concours de beauté dans sa ville natale. Quelle est cette ville.
Est-ce ?
2020-04-09_17h39_53.png1) *o*e.
2) M*l*n.
3) *e *ai*e.signature_b.gif

20/02/2020

L'Ouest, le vrai

L’Ouest, le vrai.  Toujours respectueux des codes du western, ce dernier opus de la série des frères Maffre, Julien le dessin, et Frédéric pour le scénario. Après les 2 tomes différents et réussis, Stern le croque-mort (brève du 5-05-2017) et La cité des sauvages (15-12-2017), les frères reviennent avec ce dernier, donc la fin d’un cycle, où l’humour noir a fait place. Morrison, on retrouve Elijah Stern en salle de 2020-02-04_18h33_16.pngdélibération, ou les responsables de la ville doivent renouveler ou pas son contrat de croque-mort. C’est alors que débarque Colorado Cobb, une légende de l’Ouest, pour  assurer la promotion de son livre mémoire.  A peine arrivé, le voilà défié en duel par le maire, et obligé de se justifier auprès du shérif. C’est alors qu’un gang arrive en ville avec à sa tête un père revanchard qui veut la tête de Colorado. Cette bourgade  va bientôt se transformer en champ de tir et faire ressurgir le courage mais aussi les bas instincts de sa population. Pour la partie graphique, tout est parfait, du décor réaliste, aux personnages anguleux, éléments évoquant bien l’atmosphère recherché. L’Ouest, le vrai, est donc le dernier album western de cette trilogie. A découvrir, et c’est aux Éditions Dargaud.

 Seriez-vous perplexe. Les instruments de musique : Ces musiciens ont 2020-02-04_19h15_04.pngmélangé leurs instruments de musique. Aidez chacun à retrouver le sien ! Le luthiste/la harpe _ Le vielleur/le clavecin _ Le harpiste/le luth _ L’organiste/la mandoline _ Le claveciniste/le saxophone _ L’harmoniciste/le banjo _ Le mandoliniste/ l’orgue _ Le joueur de banjo/le cor _ Le saxophoniste/l’harmonica _ le corniste/la vielle.signature_a.gif

01/01/2020

Que deviennentnos étrennes ?

Que deviennent nos étrennes ?

Les étrennes, et son histoire. L’usage nous viendrait des Romains, on donna à ce qui était de p’tits présents le nom de « Strenæ » dont nous avons fait étrennes. Les premiers Romains s’envoyaient mutuellement, au commencement de l’année, des cadeaux d’une grande simplicité (fruits secs, miel ,etc.). Au fil du temps, les présents prirent de la valeur, les étrennes souvent combattues, persistèrent malgré quelques saints

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qui les qualifièrent de diaboliques ! Quelques années avant 1789, les étrennes à la mode dans la haute société, étaient des porcelaines de Sèvres. Sous la Révolution, les étrennes furent abolies par le gouvernement républicain, puis remis au gout du jour par Bonaparte devenu Empereur. Les plus anciens se souviennent des 1er janvier d’antan. Endimanchée, toute la famille se rendait chez les aînés en respectant un ordre ben établi, arrière grands-parents et ainsi de suite. Les enfants qui étrennaient recevaient une pièce ou un billet après avoir dit respectueusement « Bonne année » aux membres de leur grande famille. De nos jours, les étrennes sont une tradition, non une obligation, l’usage veut qu’elles soient versées aux gardiens d’immeubles, facteurs, pompiers, éboueurs, en remerciement des services rendus tout au long de l’année. Il n’existe pas de réglementation, c’est à vous d’apprécier sous formes diverses « cadeaux ou espèces » à qui donner ou non.

Passage de faux agents. Comment reconnaître les vrais des faux.
L’habit : Comme pour les moines, ce n’est pas l’habit qui fait le professionnel. Un uniforme, ça se loue. Et un gilet jaune, nous en avons tous un dans la voiture. Méfiez-vous des apparences.

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La Carte professionnelle : Pas de carte professionnelle, pas de calendrier. Qu’il s’agisse d’un éboueur, des pompiers ou du facteur, il faut leur demander. Terminé le format A3, maintenant, c’est la taille d’une carte bancaire (recto/verso).
Méfiez-vous du p’tit nouveau qui propose sa création imprimée sur son ordinateur. Vérifiez à minima la qualité du papier, l’impression, les dates, le logo.
Personne ne rentre : Même le plus véritable vendeur peut avoir son coté obscur (je peux utiliser vos toilettes ? ou avoir un verre d’eau ?). Ne laissez personne dans l’entrée ou vous laissez bien souvent votre sac à main, et vos clés de voiture.
Scout toujours prêt : Généralement, pas de problème avec le p’tit bonhomme de 8 ns sous son gros béret. Maintenant, ils vendent plus souvent sur les marchés ou à la sortie des églises.
Trop tard… Vous vous êtes fait avoir ? Deux choses à faire : ne touchez à rien et appelez la police en composant le 17.signature_40.gif