A l'expo de l'Or sacré des Incas...

A l’expo de l’Or sacré des Incas.

C’ést lors de notre passage à la FIM de Metz que nous avons visité cette exposition sur les Incas. Notre parcours débute avec un excellent panorama chronologique qui nous permet de mieux situer les différentes périodes avant l’arrivée des Incas au XIII ème siècle. Plus tard, les Incas domineront les Andes sur un territoire d’environ 900 000 km2. Intéressant voyage de 3000 ans d’histoire pré- colombienne. Parmi les pièces exposées on pourra admirer de beaux colliers, un masque funéraire en or laminé, un pectoral constitué de 442 plaques d’or, un diadème et un couteau rituel richement gravé sur la partie supérieure, etc. L’or est présent partout, sa pureté faisait de lui un symbole représentant le pouvoir et le sacré. Surprenant cette découverte du siècle dernier par les archéologues de la tombe du Seigneur de Sipan et la maquette reproduisant la Cité d’or Machu Picchu et le lac Titicaca. Une exposition remarquable à voir absolument. Le Pérou compte aujourd’hui environ 25 millions d’habitants, l’espérance de vie de 65 ans en 1991 est passée aujourd’hui à 68 ans. Le revenu mensuel moyen par habitant atteint  environ les 100 dollars.

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Pour les amateurs d’aventures à la façon d’Indiana Jones, avec un trésor fabuleux à la clé, vous allez être servis avec ce thriller : l’Or des incas (Clive Cussler) un peu plus de 7 €uros. En quelques lignes un p’tit résumé de cette aventure.1532 :les derniers survivant d’un peuple décimé cachent au cœur des Andes un somptueux trésor :la chaine d’or du dernier Inca, si lourde qu’il faut deux cent hommes pour la porter.1998 : Shannon Kelsey, intrépide et séduisante archéologue, parcourt le Pérou avec son équipe, n’hésitant pas à plonger dans les profondeurs d’un puits sacre…Mais l’Or des Incas suscite d’autres convoitises, bien peu scientifiques, celles en particulier d’un réseau mondial de trafiquants d’œuvre d’art, décidé à tout pour atteindre ses fins. Dirk Pitt, l’homme aux yeux verts, se trouve là au bon moment…

 

 

 

 

De Metz Grigy,notre journée à la FIM...

De Metz Grigy, notre journée à la FIM…

Nous y voici,pas de problème de stationnement, à notre disposition gratuitement un parking de 5000 places ( bon,une seule nous suffira) à quelques mètres de la foire. A hauteur des guichets, nous sommes accueillis par un des futurs véhicules '' Mettis '' devant assurer à partir d’octobre 2013 le transport des usagers messins .Ici notre première impression : Admirablement surpris, de couleurs modernes et agréable à l’œil, facile d’accès, intérieur séduisant,et sièges très confortables, on en oublierait presque les travaux que nous subissons depuis bientôt trois ans. Notre voyage de la FIM commence par le hall d’entrée, on y découvre, des ateliers de démonstration, du savoir faire, des jeux concours. Egalement, l'extraordinaire  exposition de l’Empire Inca qui nous fait parcourir 3000 ans d’histoire précolombienne.De ''l’OR sacré des incas'' à la fantastique tombe du Seigneur de Sipan (à voir absolument).Nous poursuivons notre visite par la décoration, l’ameublement, les arts ménagers, la gastronomie, et les vins.Cette première partie se termine par une pause déjeuner dans un p’tit resto sympa à tarif abordable. Notre après midi sera consacré aux visites extérieures : du village de l’artisanat aux nouvelles technologies en passant par de nombreux ateliers de démonstration. Nous finirons notre journée en écoutant un duo péruvien jouant magnifiquement bien de la flute de pan. Ah j’oubliais, chaque jour a lieu un tirage avec de nombreux lots à gagner, il suffit de déposer son billet d’entré dans l’urne. Prochainement, album photos de cette sympathique journée.

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Au parc des expositions de Metz Métropole (Grigy) à 10 minutes de Metz, du 28 septembre au 8 octobre, la FIM (Foire Internationale de Metz) est ouverte de 10h à 20h avec 4 nocturnes jusqu'à 22h.Elle rassemble avec ses 55000m2, 750 exposants de 26 pays. Tarifs-grand public 7€ et réduit à 5€ (famille nombreuses, étudiants). Sur présentation d’un billet SNCF, TCRM, ou taxi du jour, également tarif réduit. Plus de 5000 places de parking et 20 parkings de délestage situés sur le Technopole. Des navettes de bus relient ces parkings à la foire toutes les 7 à 8 minutes.

 

 

 

 

 

 

P'tite histoire du cheval cabré

  P’tite histoire du cheval cabré.

Enzo Ferrari, fondateur de la marque, fut présenté à la famille Baracca en 1923.Francesco, le fils de cette famille de vieille noblesse italienne, avait été un as de l’aviation italienne et sacré héro de la Grande Guerre. Il est mort le 19 juin 1918 fauché en plein vol. Sur son avion était dessiné un étalon noir cabré, son emblème souvenir d’un bref passage dans la cavalerie. La comtesse Paolina Baracca offrit alors à Enzo son insigne, lui promettant qu’il lui porterait chance. Ce geste s’explique par la sympathie des Baracca pour un compatriote de Modène mais aussi par la mort du frère ainé d’Enzo, Alfredo, décédé alors qu’il servait dans l’escadrille de Baracca au début de la guerre. Quand il lança ses voitures, Enzo reprit le symbole du cheval cabré en le modifiant légèrement. Devenu constructeur en 1947, Ferrari  reprend comme emblème officiel de la marque le «cavalino rampante ».Le cheval noir est alors inséré dans un rectangle jaune verticale surmonté des couleurs italiennes et portant le nom de Ferrari dans sa partie inférieure. Depuis des années on le voit sur les départs des grands prix de formule1.

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Voilà une histoire tout à fait insolite révélée par le magazine allamand Bild.Cette incroyable histoire s'est passé dans la commune de Doemitz dans le Nord de l'Allemagne.Cette demoiselle,visiblement très à l'aise en société,est descendue entiérement nue de sa Ferrari F430 pour aller acheter quelques paquets de cigarettes.