Un putain de salopard

Un putain de salopard.  Avec « Isabel » premier tome, nous voici plongé en 1972 dans la jungle amazonienne avec Max Heurtebise, un jeune français. Il arrive au Brésil avec deux photos qu’il a trouvé dans les affaires de sa mère décédée quelques mois plus tôt. Deux photos où il pose avec sa mère et un homme différent sur chacune d’elle. Sa mère ayant toujours refusé d’évoquer le passé, il se dit alors que l’un deux pourrait être son père. Pour en savoir plus, il va se rendre dans le village où il a vécu jusqu'à l’âge de trois ans. A son arrivé en gare de Kalimboantao, il fait la connaissance de Christelle et Charlotte, deux jeunes infirmières Françaises. Elles doivent assurer la relève pour trois mois d’un médecin d’un dispensaire local. Corinne, la bonne copine de leur « cercle déluré  des trois C » installée depuis quelques années au village, va leur servir de relais, Max seul garçon, sera l’invité d’honneur. Les voilà alors plongés au cœur de la jungle, ou rien ne va bien se passer. La situation dégénère très vite entre méchants qui veulent des distractions féminines qui vont mal tourner et notre jeune Max qui va tomber amoureux d’une jeune brésilienne muette, Baia. Nous voilà avec « Un putain de salopard » dans une belle aventure tropicale, très bien ficelé par son savoir-faire de conteur, Régis Loisel. Les décors et graphismes par Olivier Pont sont superbes, ceux-ci coloriés magnifiquement par François Lapierre. Cela nous donne envie de connaitre la suite.
C’est aux Éditions Rue de Sèvres.
Quelques charades faciles.
Un p’tit moment de détente !
Je dors dans mon premier.
Mon second est une lettre de l’alphabet.
Mon troisième flâne.
Mon chat se couche dans mon tout.

L'oignon.

L’oignon.  Bulbe qui jouit depuis toujours d’une solide réputation pour la santé. Dans l’ancien temps, on le recommandait cuit pour « chasser les urines ». Platine de Crémone disait qu’il était propre à « ouvrir la bouche des veines ». On le disait aussi souverain pour soigner l’hydropisie. Un oignon de taille normale fournit un peu plus de 10% de l’apport quotidien recommandé en vitamine C, en plus de la vitamine A, du sélénium, de la quercitrine et des anthocyanes. Ce qui aide à régénérer nos globules rouges. Il est idéal pour réduire les symptômes de la bronchite, la pharyngite et autre affections respiratoires. Il est aussi un stimulant pour l’appétit. Une consommation régulière est bénéfique et évite la formation éventuelle de caillots sanguins. Pour faire augmenter sa teneur en flavonoïde, il est préférable de cuire l’oignon au four ou le faire sauter, puisque l’eau s’évapore, créant ainsi une plus grande concentration de ces antioxydants.  A toute  cette liste de bienfaits, il faut néanmoins ajouter que l’oignon a un p’tit désavantage : il occasionne une mauvaise haleiner de la bouche…
Olkif...roscope. Capricorne
3e décan du 11 au 19 janvier
Début d’année difficile, vous broyez du noir depuis plusieurs semaines et pensez ne pas avoir de chance. Erreur, 20 « 21 » vous prouvera le contraire. Mais il faudra y mettre du vôtre. Ne craignez pas les difficultés, elles ne feront que vous stimuler et vous renforcer dans vos convictions. Écartelé entre les tendances opposées qui constituent votre nature, vous chercherez à savoir qui vous êtes réellement. Vous élargirez votre horizon philosophique, religieux ou professionnel ou tout le moins votre champ d’activité. Des rentrées d’argent plus importantes ou de la détermination d’une rémunération sont envisagées. Ne négligez pas votre santé. Le retour possible d’une tendance allergique vous rendra sujet à quelques maux de tête.

La chute d'un ange

La chute d’un ange.  Avec cette bande dessinée, le tandem Didier Daeninckx et Lionel Minkowski ayant déjà travaillé ensemble sont les auteurs de ce polar à la française. Printemps 1948 à Gagny en grande banlieue parisienne. Le cadavre d’un enfant fugueur du Patronage de l’enfance orpheline est retrouvé au fond d’un trou dans une carrière qui jouxte l’établissement. Apparemment, cela serait sa chute qui aurait provoqué son décès, mais des marquent d’une sévère correction sur son corps posent question… Peu de temps après, à Paris, Philippe Crélard, patron d’un grand quotidien du pays, est assassiné chez lui. Tout indique un crime de rodeur. L’enquête de routine sur la mort du patron de presse est alors menée par le commissaire Pasquet. Seulement voilà, le passé troublant de Crélard durant la période pas si lointaine de l’occupation laisse entrevoir des questions troublantes dans le domaine des mœurs… Pour éviter les emmerdes, les policiers vont faire endosser la responsabilité du crime sur Kozor un lampiste, et sera bon pour la guillotine. Cela va être presque par hazard qu’on va s’apercevoir que les décès du jeune Jeannot et du patron de presse Crélard ont un point commun. A découvrir ce polar assez sombre qui relate des vérités cachées au nom de la raison d’état.
C’est aux Éditions Casterman.
Quelques charades faciles. 
Un p’tit moment de détente !
Mon premier vole.
Mon second n’est pas maigre.
Mon tout est un p’tit insecte.