19/12/2019
Enquêteur célèbre.
Jay Armes. Ce nom ne vous dit peut-être rien, et pourtant, cet homme est exceptionnel. Armes est née Julian Armas le 12 août 1932, près d’El Paso (Texas) de parents Mexicanos-américains. Vers les 11 ans, et avec un copain, ils dérobent des bâtons de torpille dans un dépôt de chemin de fer. Par jeu, Armes va alors frotter deux bâtons ensemble, ils vont exploser, le blessant sérieusement aux mains, c’est l’amputation, et le début de prothèses. Le voilà année 50 en Californie, brièvement acteur, et retour à El Pasos pour fonder une agence d’investigation privée « The investigators ». En 1978, il lance une école de formation d’enquêteurs, qui devient rapidement un succès retentissant. Il est considéré comme l’un des meilleurs dans sa profession, ses clients ont été notamment Elvis Presley Howard Hughes, Elizabeth Taylor et Marlon Brandon. Il semblerait n’avoir jamais perdu de cause et aurait même réussi là où le FBI et la CIA ont échoué. Au fil des ans, ces prothèses vont évolué, transformant Armes en une sorte de James Bond, ayant même à un moment donné, un Magnum 22 implanté dans son poignet. Mais il possède également des prothèses à cinq doigts qu’il peut porter lorsque l’occasion l’exige. En 1989, il reçoit le prix du « Meilleur chercheur du pays » de la Société internationale des enquêteurs privés (ISP)
http://www.thrillingdetective.com/eyes/armes.html
14 décembre 1911,
Quel savant explorateur atteint pour la première fois le Pôle Sud à plus de 3000 km d’altitude.
Est-ce ?
1) *An*la*is S*ot*.
2) *e N**végi** **un*sen.
3) L’A*éri**ai* *ear*.
05:02 Publié dans Actualités, Artistes, Astrologie, Blog, Carré Verlaine, Consommation, divers, Education, Habitat, Histoire, Jeux, Livre, Loisirs, Manifestations, Politique, Science, Technologie/Micro, Transport, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (1)
15/12/2019
Dominos.
Dominos. Avec cet album, Théa Rojzman, scénariste apprécié, va nous faire vivre les aventures de Mounia et Léo, habitants un quartier de banlieue. Ils occupent le hall d’entrée pour jouer aux dominos et de facto connaissent tous les occupants de l’immeuble. C’est l’occasion de prendre des notes sur chacun d’entre eux en vue de les remettre à qui de droit. .. Par exemple : Bill qui « tchate » sur un site de recettes culinaires bretonnes où les internautes se conspuent à coup d’injures racistes et antisémites. Ce même Bill profère des commentaires salaces et inconvenants sur les pneus du fauteuil roulant de Jacques ! Lequel Jacques échange avec une jeune maman qui recourt à un coach pour l’éducation et la gestion de son fils. Les parents de Léo et Mounia, eux-mêmes, ne seraient-ils pas également complotistes ? Le rythme est soutenu, les dialogues reflètent les malaises et les vicissitudes de la société à travers les résidents de cet immeuble. La particularité de cette BD est qu’elle mérite réflexion après lecture, et qu’il est bon parfois de se remettre en question. A savoir également…, son imagerie/couleur particulière est d’Abdel de Bruxelles et, du coloriste Benjamin. Voilà un effet « Dominos » comme cadeau sympa, en cette fin d’année, et c'est aux éditions « Fluide Glacial ».
1er novembre 1925,
A 42 ans, cette grande vedette du cinéma français tue sa femme de 17 ans, puis se suicide en s’ouvrant les veines.
Est-ce ?
1) L**n *ra**on.
2) G**brie* *euviel**.
3) Pi**r* **tche*f.
05:00 Publié dans Artistes, Blog, Carré Verlaine, Consommation, divers, Education, Film, Habitat, Histoire, Jeux, Livre, Loisirs, Manifestations, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (1)
08/12/2019
Les jours qui restent.
Les jours qui restent évoque une comédie douce et amère, scénarisée par Eric Dérian et illustré avec humour par Magalie Foutrier. Deux femmes et un homme vont se croiser dans un hôpital parisien : trois personnalités différentes, trois situations personnelles et professionnelles différentes. Trois âges différents, avec en commun, une image d’eux même profondément dégradée, ce qui les entraîne dans un perpétuel renoncement.
Il y a Charlotte qui sort d’une consultation de routine, acceptant mal le diagnostic du docteur Lebon, elle en ressort bouleversée. A peine rentée à son appartement, elle vire sans ménagement Fabien peu habillé. Elle lui balance le reste de ses vêtements par la fenêtre, si bien qu’il doit finir de s’habiller sur le trottoir. Même sa production artistique aux Beaux-arts est moyennement appréciée par ses professeurs.
Puis, Daniel qui a attendu longtemps son tour chez le médecin, ne tient plus en place et, en sort juste au moment où on allait l’appeler. Il passe alors sans ordonnance chez son pharmacien habituelle, pour une avance de médicaments. Sombre, il traîne sa mélancolie à longueur de rues, de bar en bar, en quête d’un passé qu’il croit totalement révolu.
Suit quelque peu, Catherine, célibataire, rêvant d’un grand amour, et qui peine à faire le deuil de sa maman, dont elle s’est beaucoup occupée. Sa vie professionnelle est rythmée par les sarcasmes de deux péronnelles qui lui servent de collègues de bureau.
Comment vont-ils réagir à la maladie, aux effets secondaires des médicaments et la perspective d’une mort peut-être plus rapide que prévue. Et vont-ils cheminer vers une reconstruction...
Voilà une excellente lecture qui nous fait du bien.
Aux éditions Delcourt/Mirages.
29 décembre 1898,
Qui annonce à l’académie des sciences, l’existence d’un élément, le radium d’une radioactivité nettement supérieur à celle de l’uranium.
Est-ce ?
1) *en*i **cque**l.
2) **ri* *ur**.
3) F**de**c S*d*y.
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