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23/07/2021

Edmund Kemper

* Edmund Kemper *(sérial killer)  L’ogre de Santa Cruz.
Ce roman graphique est l’aboutissement de Stéphane Bourgoin et de JD Morvan pour son scénario, avec en couverture Facundo Percio et Hiroyuki Ooshima. Les dessins superbes présentent les faits de manière assez réaliste sont de Roy Allan Martinez et Mauro Vargas, la mise aux couleurs chaudes sont de Juliette Steren, et de Raphael Ribeiro. Attention tout de même, cet album s’adresse à un public averti qui, connait déjà un peu l’histoire de ce sérial killer Edmund Kemper. Pour les 2021-07-19_11h29_52.pnglecteurs moins familiers du personnage, il est peut être difficile de se rendre compte de l’ampleur de ses crimes. Né le 18 décembre 1948, avec 6 kg à sa naissance  et au gabarit démesuré à impressionné tout son entourage. A l âge adulte E.Kemper mesure plus de 210 centimètres et pèse 160 kg. Avec cette morphologie étonnante, cela lui vaudra au moment de ses crimes le surnom d’ « Ogre de Santa  Cruz ». Aussi charismatique que cruel, et récemment mis en lumière par la série Mindhunter, ce sérial killer a fait trembler l’Amérique. Dans les années 1970, ce tueur en série, cannibale et nécrophile, a perpétré pas moins de 10 meurtres, dont celui de sa mère et de ses grands-parents. Les crimes qu’il a commis, par respect aux victimes ne sont pas montrés, ni leurs procès. Certains martyrs, comme Alice Liu, Rosalind Thorpe et Sara Hallet sont évoquées au passage sans dire ce qui leur est arrivé. Après avoir parcouru plusieurs états de longs mois, il s’est rendu lui-même à la police. Le 8 novembre 1973, il fut reconnu coupable de huit meurtres avec préméditation et condamné à la prison à perpétuité. C’est à découvrir aux Editions Glénat.
Quelques charades faciles.  (P’tit moment de détente) 
2021-04-16_17h39_52.pngMon premier borde le pré. 
Mon second est aimé des chats.
Mon troisième est le p’tit de la biche.
Mon tout est un animal.signature_37.gif

16/07/2021

Ce qui nous sépare.

* Ce qui nous sépare * 
Hélène Aldeguer, avec son album totalement réaliste, nous raconte le quotidien de Bilal, jeune Tunisien venu à Paris afin de poursuivre ses études grâce à une bourse au mérite. Il espère que sa sœur pourra elle aussi profiter d’une bourse pour venir 2021-07-08_16h54_01.pngétudier en France. Il a du mal à trouver sa place, et en particulier avec les copains de son amie Léa qui eux, voyagent comme ils veulent. Il se sent mal dans sa peau d’arabe à Paris, en butte au rejet, au racisme ambiant et aux contrôles aux faciès par la police. Il a beau être étudiant de haut niveau, il reste un arabe pour la plupart des gens qui le croisent. Il est également inquiet des manifestations qui se déroulent en Tunisie auxquelles participe sa sœur. Voilà une belle observation de cette ambivalences de deux sociétés « Arabe et Européenne » avec cet album qui pousse à une réflexion, voire à une prise de conscience salutaire. A retenir également, l’animation graphique de cette aventure par Didier Gonord. A découvrir sans modération et, c’est aux Éditions Futuropolis.


16 juin 1957.
Le  commandant Cousteau présente à la télévision un superbe spectacle sur les profondeurs sous-marines. Quel documentaire avait-il tourné en 1956. Est-ce ?
2021-07-09_12h39_58.png1)    *on**e v*n** e* *aré*s.
2)    *es **ufra**s vo**nt**res.
3)    ** m**d* *u **len*e.signature_22).gif

30/06/2021

Pionnières.

* Pionnières *   Se sont des romans graphiques imageant la vie d’aventurières comme cette fois, celle d’Anita Conti, océanographe, qui grandit en Bretagne. Fascinée par la mer, elle se passionne pour la pêche et la découverte des espèces marines. Après avoir entamé une carrière dans le journalisme, elle rejoint l’Office Scientifique et Technique des Pêches Maritimes (OSTPM) et prend part à de 2021-05-20_17h22_21.pngnombreuses expéditions scientifiques en mer. En plus de prendre de nombreux clichés photographiques de la vie marine, elle contribue à dresser les premières carte de pêche. Pendant la seconde guerre mondiale, elle est envoyée en mission spéciale en Afrique du Nord, où elle reste plusieurs années avant de participer à de nouvelles expéditions au Groenland, dans l’Adriatique et en mer du Nord. Tout en faisant d’Anita Conti une figure inspirante, cet album évoque assez peu la vie personnelle de cette femme hors du commun. Fortement idéalisé, son personnage semble parfois un peu trop lisse, on aurait aimé que les scénaristes Nathalie Legendre et Luca Blengino utilisent plus fréquemment des extraits de son journal. On se rattrape malgré tout avec une annexe historique contenant plusieurs clichés de la « vraie » Anita. Les dessins sont de Katia Ranalli, et la mise en couleur de Florent Daniel. C’est aux éditions * Soleil *
Quelques charades faciles  « p’tit moment de détente »
2021-04-16_17h49_35.pngMon premier est une note de musique.
Mon second est une lettre de l’alphabet.
Dans mon troisième, je plante des graines.
Mon tout est un diamant.

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