26/07/2021
Handi' Cap ou pas cap.
* Handi ‘ Cap ou pas cap *
C’est bande dessinée est le résultat d’une collaboration de la Mutuelle des motards, de dessinateurs de l’association L’Hippocampe et de nombreux motards. Ils s’appellent Jules, Anna, ou Augustin. Ils sont mère ou père de famille, jeune rebelle, futur marié… Jusqu’alors, ils n’avaient qu’un seul point commun : la passion de la moto. Puis voilà, c’est l’accident, la chute, le handicap. Vous avez donc en mains, 10 récits, 10 vies et 10 auteurs qui ont croqué leur histoire. Leur vraie histoire. Un morceau de leur destinée, de leur combat, de leur aventure pour passer l’épreuve, dans un but : reprendre un jour le guidon. Dans ce projet, collectif, militant, pas de larmes, pas de victimisation, mais de l’authentique, tout simplement. Un ouvrage sans tabou, qui parle à ceux ou celles qui vivent avec un handicap, comme à celles et ceux qui les accompagnent dans cette épreuve. A travers ces histoires vous allez peut-être vous retrouver saisir quelques clés, voire parfois vous marrer ! Peu importe, au final, on en revient toujours à la même conclusion, avec ou sans handicap : un casque, un guidon, un moteur. Voilà, vous êtes motard(e)s ; point barre.
*Handi’ Cap ou pas cap* permet de répondre à certaines problématiques, avec deux objectifs principaux. 1) montrer ce qu’est un handicap et ce qu’il implique pour les personnes concernées (handicapées et leur entourage) au moyen de situations illustrées de façon concrète. 2) expliquer ce qui est mis en place par la mutuelle des Motards et le milieu associatif pour atténuer ce handicap, permettre au plus grand nombre de bénéficier de solutions parfois mal connues, donner des idées.
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23/07/2021
Edmund Kemper
* Edmund Kemper *(sérial killer) L’ogre de Santa Cruz.
Ce roman graphique est l’aboutissement de Stéphane Bourgoin et de JD Morvan pour son scénario, avec en couverture Facundo Percio et Hiroyuki Ooshima. Les dessins superbes présentent les faits de manière assez réaliste sont de Roy Allan Martinez et Mauro Vargas, la mise aux couleurs chaudes sont de Juliette Steren, et de Raphael Ribeiro. Attention tout de même, cet album s’adresse à un public averti qui, connait déjà un peu l’histoire de ce sérial killer Edmund Kemper. Pour les lecteurs moins familiers du personnage, il est peut être difficile de se rendre compte de l’ampleur de ses crimes. Né le 18 décembre 1948, avec 6 kg à sa naissance et au gabarit démesuré à impressionné tout son entourage. A l âge adulte E.Kemper mesure plus de 210 centimètres et pèse 160 kg. Avec cette morphologie étonnante, cela lui vaudra au moment de ses crimes le surnom d’ « Ogre de Santa Cruz ». Aussi charismatique que cruel, et récemment mis en lumière par la série Mindhunter, ce sérial killer a fait trembler l’Amérique. Dans les années 1970, ce tueur en série, cannibale et nécrophile, a perpétré pas moins de 10 meurtres, dont celui de sa mère et de ses grands-parents. Les crimes qu’il a commis, par respect aux victimes ne sont pas montrés, ni leurs procès. Certains martyrs, comme Alice Liu, Rosalind Thorpe et Sara Hallet sont évoquées au passage sans dire ce qui leur est arrivé. Après avoir parcouru plusieurs états de longs mois, il s’est rendu lui-même à la police. Le 8 novembre 1973, il fut reconnu coupable de huit meurtres avec préméditation et condamné à la prison à perpétuité. C’est à découvrir aux Editions Glénat.
Quelques charades faciles. (P’tit moment de détente)
Mon premier borde le pré.
Mon second est aimé des chats.
Mon troisième est le p’tit de la biche.
Mon tout est un animal.
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16/07/2021
Ce qui nous sépare.
* Ce qui nous sépare *
Hélène Aldeguer, avec son album totalement réaliste, nous raconte le quotidien de Bilal, jeune Tunisien venu à Paris afin de poursuivre ses études grâce à une bourse au mérite. Il espère que sa sœur pourra elle aussi profiter d’une bourse pour venir étudier en France. Il a du mal à trouver sa place, et en particulier avec les copains de son amie Léa qui eux, voyagent comme ils veulent. Il se sent mal dans sa peau d’arabe à Paris, en butte au rejet, au racisme ambiant et aux contrôles aux faciès par la police. Il a beau être étudiant de haut niveau, il reste un arabe pour la plupart des gens qui le croisent. Il est également inquiet des manifestations qui se déroulent en Tunisie auxquelles participe sa sœur. Voilà une belle observation de cette ambivalences de deux sociétés « Arabe et Européenne » avec cet album qui pousse à une réflexion, voire à une prise de conscience salutaire. A retenir également, l’animation graphique de cette aventure par Didier Gonord. A découvrir sans modération et, c’est aux Éditions Futuropolis.
16 juin 1957.
Le commandant Cousteau présente à la télévision un superbe spectacle sur les profondeurs sous-marines. Quel documentaire avait-il tourné en 1956. Est-ce ?
1) *on**e v*n** e* *aré*s.
2) *es **ufra**s vo**nt**res.
3) ** m**d* *u **len*e.
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