03/12/2018
Pigalle 62.27
Pigalle 62.27, c’est un numéro de téléphone comme on le composait dans les années 50/60 sur les cadrans circulaires. C’est aussi la seule piste qui va permettre au jeune Auxerrois Antoine, de remonter jusqu’à Robert Mondcamp. Il monte donc à Paris pour la toute première fois, avec une simple valise et dans son portefeuille, la lettre d’adieu que lui a laissé son père, ruiné avant de se pendre. Il découvre la capitale, son métro, sa grisaille et l’univers de Mondcamp, escroc qui navigue dans le milieu trouble de Pigalle. Au fil des semaines, Il rencontre Betty, un travesti dont il tombe plus ou moins amoureux, et d’obscurs p‘tits truands comme « La Routine » ou la jolie Caroline. Antoine se glisse de plus en plus dans la vie de Mondcamp, partage même ses combines et attend le moment propice pour lui planter son couteau dans le dos. Mais voilà, plus le temps passe, moins il est facile de passer à l’acte...
Une histoire très sombre, entre Jacques de Loustal au dessin et Jean-Claude Götting au scénario. Sobre et efficace, à découvrir (Casterman).
3 décembre 1804
Dans la soirée, l’inventeur du gaz d’éclairage est assassiné à Paris où il avait la veille assisté au sacre de l’Empereur.
Est-ce ?
1) *ose*h G*y-L*ss*c.
2) *hili**e *e*on.
3) Ja**ues *har*es.
04:01 Publié dans Artistes, Blog, Carré Verlaine, divers, Education, Film, Habitat, Histoire, Jeux, Livre, Loisirs, Manifestations, Politique, Science, Transport, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (2)