A fleur de peau...

A fleur de peau.

A chacun le sien, le tatouage devient une signature. Artistes, professeurs, cadres, banquiers, commerçants, le tatouage n’est plus réservé aux rebelles. Ce qui était vrai dans les années 80 ne l’est plus aujourd’hui. Cette marque indélébile s’est assagie, certains même disent embourgeoisée, au point d’en devenir un accessoire de mode. Avant on se faisait tatouer pour s’émanciper, se différencier, marquer son appartenance à une tribu. Aujourd’hui on se fait tatouer pour des raisons esthétiques, pour embellir son corps. On grave sur soi les grandes étapes de sa vie : les coups durs, les coups de cœur, ses aspirations. Montre-moi ton tattoo, je te dirai qui tu es. Attention, le tatouage reste un acte délicat, à pratiquer dans des conditions d’hygiène et de sécurité maximales ! Se faire tatouer n’est jamais un acte anodin. En 1990, on comptait plus de 8000 tatoueurs en France, à ce jour, il y en aurait 10 fois plus.

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Un tatoueur a écopé d’une lourde amende pour avoir tatoué une montagne d’excréments avec des mouches bourdonnant autour, sur le dos de son ancienne p’tite amie. On imagine la surprise et la colère de cette dernière lorsqu’elle a découvert son tout nouveau tatouage. Elle avait demandé à son p’tit ami tatoueur, de lui dessiner une scène du livre Namia sur le dos. Elle a trainé son ancien p’tit ami en justice. Il a été condamné à lui payer une amende de 74000€uros.Le tatoueur a expliqué son acte par le fait que son ex p’tite amie l’avait trompé avec un ami de longue date. Elle prétend avoir été complètement inconsciente pendant toute l’opération de tatouage.