Le caractère de la police

Saviez-vous…

… qu’il est très simple d’augmenter ou diminuer  la taille de l’alphabet de toute une page web affichée par votre navigateur. Souvent les caractères utilisés par quelques sites sont trop p’tits et nuit à la qualité de la lecture ou fatigue vos yeux. Opération banale, pour se faire il suffit d’effectuer simultanément à l’aide de votre clavier et de votre souris qui doit être muni d’une molette (bouton central) cette manipulation. Garder la touche « Ctrl » (clavier) enfoncée et utiliser la molette de votre souris pour augmenter ou diminuer la police. Cette astuce est à gardé sous la main lorsque vos yeux fatiguent.

Vous êtes toujours sous Windows et votre ordi met plus de temps qu’a l’ordinaire pour s’arrêter. Aller dans la base de registre pour changer la valeur d’attente par défaut, une p’tite fenêtre de saisie s’ouvre : tapez « regedit » puis appuyez sur la touche entrée de votre clavier. Une fenêtre avec des dossiers s’ouvre, rendez-vous dans le registre suivant : « HKEY_LOCAL_MACHINESystemCurrentControlSetControl ». Double cliquer sur le fichier nommé « WaitTolKillServiceTimeOut ». Il vous suffit alors d’indiquer la valeur que vous souhaitez, sachant que la valeur par défaut est 20.000, et que chaque tranche de 1000 représente 1 seconde.

Le centenaire de la Grand'Guerre

Les aigles noirs (1915)  

''L'Aigle Noir'' fut diffusé en carte postale à l'occasion des journées du Poilu des 31 octobre et 1er novembre 1915. Maurice BOUKAY et René de BUXEUIL abandonnèrent d'ailleurs leurs droits sur cette carte postale, vendue au profit exclusif de la "Journée du poilu".

•           Premier couplet
• Ils nous disaient: "nous voulons être frères!
• Signons enfin la charte de la paix,
• Oublions toutes les haines de nos pères
• Et délivrons les peuples de leur faix "
• Et cependant, pour la lutte tragique
• Leur empereur armai les Allemands.
• Les aigles noirs fondant sur la Belgique
• Fouillaient le cœur des Wallons, des Flamands.

•           Refrain
• Français debout! Sus à la horde immonde
• Anglais, Latins, Serbes, Russes, debout!
• Pour assurer la liberté du monde
• Nous combattrons l'aigle noir jusqu'au bout.
•           troisième couplet
• Ils nous diront: " Grâce pour nos empires
• Pour l'Allemagne et l'Autriche, pitié! "
• Nous répondrons: " Pas de grâce aux vampires
• Avec le crime il n'est pas d'amitié "
• Pour racheter tout le sang de la plaine
• Vos aigles noirs perdront jusqu’à  leurs noms
• Vos rois mourront dans une île lointaine
• Et vos soldats encloueront leurs canons.

Une cabrette est plus utile qu'une fouace!

Depuis un moment...

… la mode est aux loups. Conférences, films, discutions, les loups sont entrés…dans notre existence. Cela nous rappelle cette p’tite histoire racontée par Jean Rascalou, lequel revenait de noces où sa cabrette (instrument à vent de la famille des cornemuses) avait fait danser tard dans la nuit. Comme salaire, on lui avait donné une fouace (genre de galette) et Jean était rentré chez lui dans la nuit froide… Sur le chemin, Jean s’aperçoit qu’il est suivi… par des loups. Il presse le pas, mais les loups se rapprochent. Jean a alors une idée : il prend sa fouace et en jette des morceaux aux animaux en espérant qu’ils le laisseront tranquille. Hélas, cela ne suffit pas, Jean se voit perdu. C’est alors qu’il prend sa cabrette et se met à jouer. Le son aigre et puissant arrête les loups peu habitués à ce genre de sons. Désorientés, les uns derrière les autres, préfèrent rebrousser chemin. Moralité : les gens des Pyrénées vous le diront, avec les loups, une cabrette et plus utile qu’une fouace !

A la source

Jean Rascalou est né le 18 février 1884 à laguiole, bien connu dans tout le Nord et même bien en dehors de ses limites comme un Cabrettaire de talent. En 1914, la mobilisation le vit partir pour la Grand’ Guerre, facteur de son état dans le civil, il fut tout naturellement désigné comme vaguemestre. Aux chemin de Dames, il reçut une balle en pleine poitrine, son portefeuille en cuir rempli de papiers et photos lui sauva la vie. Comme une relique, il le conserva avec son projectile, jusqu'à son décès, le 1^er janvier 1951 à Campagnac.