Ce qu'il faut...

…de terre à l’homme, histoire classique qui nous plonge dans la Russie du 19éme siècle, déjà relatée par Tolstoï et cette fois adaptée en BD par Martin Veyron (Éditions Dargaud). Son historique commence ainsi : Pacôme, paysan de Sibérie vit avec sa femme et son fils dans une modeste exploitation. Il cultive la terre, ne possède aucune autre richesse mais a tout ce dont il a besoin pour vivre. La Barynia, propriétaire d’une abondante et vaste étendue terrienne laisse les animaux des paysans pâturer sur ses terres. Lorsque le fils de la Barynia revient de voyage, il décide de supprimer cette complaisance qui porte atteinte à son futur héritage. Il embauche alors un métayer inflexible qui a pour mission de protéger ses intérêts. Lorsque la Barynia va décider de vendre ses terres, une communauté de paysans, dont Pacôme en fait partie, s’en porte acquéreur. Commence alors une période de communisme pour ces hommes. Des désaccords entre eux feront exploser cet idéalisme. L’appât du gain va alors se révéler à Pacôme qui jusqu’alors s’en contentait de peu va acheter des terrains en friche avec l’aide de son beau-frère. Il apprend que des Bachkirs (peuple des steppes) proposent pour 1000 roubles, un domaine aussi grand qu’une journée de marche, mais il y a des conditions. L’acheteur doit faire le tour de son futur terrain à pied en une journée, entre le lever et coucher du soleil. Si, il n’en parvient pas à temps, il perd ses 1000 roubles et n’a pas de terre….. Alors, va-t-il se lancer dans cette nouvelle aventure ! Bel album historique, brillamment illustré qui nous laisse perplexe « Doit-on désirer la richesse de l’autre, au risque de tomber dans les mêmes travers ». A se procurer d’une manière ou d’une autre.
29 novembre 1924
Quel compositeur disparait à Bruxelles ? Auteur de nombreux opéras, il connut la gloire avec la Tosca et Madame Butterfly.
Est-ce ?
1) *ucci*i.
2) *er*i.
3) *asse*et.

Champagne Rosé ?

Ho oui…
… il semblerait bien que le champagne rosé soit meilleur pour la santé. Le poly phénol trouvé en grande quantité dans la peau des baies de raisin et dans le vin rouge possède, en effet, des propriétés anti-diabète, anti-Alzheimer, anti-cancer, et anti- vieillissement.
Rien que ça ! Alors vite une autre coupe…
Des chercheurs de la faculté de Reims ont dosé le contenu de divers champagnes en resvératrol (antioxydant). Alors que ce vin est issu, pour les 2/3 environ, de raisins rouges (pinot noir et pinot meunier) les analyses ont montré qu’il contenait très peu de resvératrol. Explication donnée : le mode de pressurage des raisins n’extrait pas cette substance. En revanche, le champagne rosé, issu de l’assemblage de vins blancs et de vin s rouges, a des teneurs en resvératrol dix fois plus élevées, allant de 0,186 à 0,642 milligramme par litre.
Il existe 2 grandes méthodes d’élaboration du champagne rosé.
1) Le champagne Rosé d’assemblage. C’est de loin la méthode la plus répandue car elle permet d’avoir couleur et densité identiques d’un millésime à l’autre. Elle consiste à assembler un vin blanc clair (avant prise de mousse donc) avec 5 à 20% de vin rouge champenois, vinifié pour être non tannique.
2) Le champagne Rosé de saignée. Cette méthode consiste à laisser macérer quelques heures les moûts avec la peau des raisins. Ce sont les pigments naturels contenus dans la peau des grains de raisins noirs qui colorent les jus. Après macération, la cuve est « saignée » : le contenu est vidé afin de séparer le moût des peaux. Les champagnes rosés de saignée montrent généralement une robe d’un rosé plus intense.
Mais voilà, pour le consommateur, connaître la composition d’une bouteille de champagne n’est que rarement révélée.
Seule solution, les goûter.
29 décembre 1855
Qui dit à la comtesse de Castiglione, envoyée auprès de Napoléon III pour plaider la cause italienne : Employez tous les moyens qu’il vos plaira, mais réussissez.
Est-ce ?
1) *e *oi de *ié*ont.
2 *a*our.
3) *arib*ldi.

Coucou la terre, ici Guy'tou

C'est à laide d'Olkif, que je peux rendre visible ce message. Voilà maintenant cinq ans que je voyage dans cette magnifique voie lactée et depuis « une révolution » ( 365 jours pour vous terriens ) à bord d’Etoivers, p’tit nom donné à mon transporteur ( voir brève du 21/11/2016) . Cette fois, c’est bien définitif, je suis un des tôliers de notre vaisseau, cela donne quelques privilèges qui ne sont pas dédaignable, chute ! Cela reste confidentiel. Par contre, j’peux vous donner quelques infos sur notre vaisseau : celui-ci à une capacité de 500 000 âmes à égalité de sexe et de tous âges (y’a plus de place, mais s’organise tout de même des échanges). Notre Etoivers ressemble un peu à une grande ville terrienne, sans malaise, où tout n’est que calme et volupté. Il est équipé de puissants télescopes servant à une vue rapprochée des astres et leurs occupants. Voilà donc l’occasion, puisque nous sommes à proximité de la Terre de faire un p’tit coucou à toute ma famille que je chouchoute avec tendresse et beaucoup d’amour, et que je veille depuis de très nombreuses révolutions. Un p'tit salut sidéral également aux ami(e)s qui me sont proches. Bon cette fois, notre vaisseau a repris son allure de croisière, on se perd de vue, alors à une prochaine rotation et merci à mon ego pour son coup de main.