" Jamais "

Jamais est une jolie histoire, où Madeleine, vieille dame aveugle de naissance est le personnage principal. Elle vit avec son chat dans une maison perchée sur une falaise au dessus de la mer, car c’est là qu’elle a tous ses souvenirs avec son mari disparu en mer. Malgré les années, elle fait comme si il était encore là, et son gros matou l’aide à se sentir moins seule. Seulement voilà, sa maison représente un danger et risque de tomber avec de grands morceaux de falaise. Madeleine est donc en réel danger. Le maire du village va faire tout ce qu’il peut pour la faire quitter les lieux et la mettre en sécurité. Néanmoins, Madeleine tient à sa p’tite maison et va se battre jusqu’au bout avec courage et dignité… BD très captivante, les graphismes sont très beaux, expressifs et pleins de couleurs, tour de force que l’on doit à Bruno Duhamel qui signe ici le scénario et le dessin. Album à découvrir sans attendre !
23 novembre 1977
L’avion supersonique Concorde relie Roissy à New York en 3 heures et trente minutes. Quel temps avaient mis Coste et Bellonte en 1930.
Est-ce ?
1) 4* heures.
2) *7 heures.
3) 3* heures.

Eldorado

Avec Eldorado, Damien Cuvillier et Hélène Ferrarini ont embarqués leur héros Marcello syndicaliste convaincu vers ce qui semble être une occasion en or ! Son récit commence ainsi : Cela fait 15 jours que Marcello avec ses camarades occupent l’aciérie Wandel. Les grèves et manifestations réprimées par la police se succèdent, l’argent manque, et Marcello est licencié. Sur place on recrute en nombre pour un chantier lointain, « l’Eldorado » pour ceux qui tenteront l’aventure. Marcello mal aimé des parents de Louisa sa promise décident ensemble un départ discret, sauf que le jeune homme parle trop. Soulé par le patron du bar ami des parents de Louisa, il se trouve embarqué inconscient sur le cargo qui navigue pour Panama (Amérique Centrale). Au réveil, il comprend qu’il est pris au piège, et doit s’engager sur le chantier « canal » pour payer son passage à bord du bateau. Pour tous les ouvriers présents sur cet ouvrage magistral, c’est l’enfer ! Marcello rêve de son retour au pays et écris régulièrement à Louisa. Mais voilà, son courrier est négligemment perdu par un commissionnaire véreux et ramassé par Albina, l’employée de maison Hogen. Celle-ci va alors le remettre à la Señora Barbara, femme de l’ingénieur en chef, qui elle aussi désire à tout prix rentrer en Europe. Commence alors une superbe histoire d’amour marquée par la folie et des paysages exceptionnels. Pour connaître la suite, procurez-vous alors cet album magnifique. (Futuropolis)
21 novembre 1916
Après avoir régné 68 ans, depuis 1848, quel empereur d’Autriche-Hongrie disparaît en pleine guerre, guerre dont-il fut l’instigateur.
Est-ce ?
1) *o*eph 1*r.
2) *ran*ois-J*sep* 1e*.
3) **ar*es 1*r.

Coucou la terre, ici Guy'tou

Enfin, nous voilà de nouveau en contact, Olkif ayant quelques difficultés dans la transmission hertzienne. Dès ce temps, je voyage donc dans cette magnifique voie lactée, c'est pour ainsi dire « six révolutions » (6 années pour vous terriens) à bord d’Etoivers, c'est le p’tit nom donné à mon transporteur (voir brève du 21/11/2016). Cette fois, c’est définitif, je suis bien l'un des tôliers de notre vaisseau, cela donne quelques privilèges qui ne sont pas dédaignable, comme la présence de Johnny Hallyday, " mais chute ! " Cela reste confidentiel. Par contre, j’peux vous donner quelques infos sur notre vaisseau : celui-ci à une capacité de 500 000 âmes à égalité de sexe et de tous âges (y’a plus de place, mais on s’accommode tout de même quelques échanges). Notre Etoivers ressemble un peu à une grande ville terrienne, sans malaise, où tout n’est que calme et volupté. Il est équipé de puissants télescopes servant à une vue rapprochée des astres et quelques fois de leurs occupants. Voilà donc l’occasion, puisque nous sommes à proximité de la Terre (enfin presque) de faire un p’tit coucou à toute la famille que je chouchoute avec tendresse, beaucoup d’amour, et que je veille depuis de très nombreuses révolutions. Un salut sidéral également aux ami(e)s qui me sont proches. Aie, aie, aie, notre vaisseau vient de reprendre son allure (rapide) de croisière, je crois qu'on se perd de vue, à bientôt peut-être lors d'une prochaine rotation…, et salut à Olkif.