Ces éclairs

Ces éclairs, ben non, ce n’est pas du gâteau !   A la conférence mondiale de l’Association internationale des Survivants de la foudre à Pigeon Forge dans le Tennessee, on a droit à des récits incroyables. Des survivants viennent témoigner, ainsi Linda qui a été frappée par la foudre, quatre fois en vingt ans ou Steve qui a dû être opéré trente-huit fois, la foudre l’ayant touché trois fois. En fait, neuf personnes sur dix survivent car il est rare de mourir foudroyé. Malheureusement, et c’est ce que déplorent les 1400 membres de l’association, on s’intéresse plus aux morts qu’aux survivants. La foudre laisse bien souvent des traces de brûlure visibles : les victimes n’ont généralement peu de signes physiques qui puissent étayer leurs dires. Plus d’un milliard d’éclairs touchent la terre chaque année et on dénombre cinquante à cent décès aux Etats-Unis, contre trois à sept en Allemagne. Méfiance, le coup de foudre n’est pas toujours une bonne chose.

24 février 1905
Reliant la Suisse à l’Italie, c’est à l’époque le plus long tunnel ferroviaire qui est inauguré : il mesure près de 20 km.
Est-ce ?
1) Le tunnel *u *ai*t-*oth**d.
2) C**ui d* **mp**n.
3) **lui ** Lö****berg.

Putain d'usine T1/2

« Putain d’usine » est bien plus que deux BD, c’est un témoignage direct sur le monde de l’usine, de la pétrochimie en l’occurrence, et du syndicalisme en particulier. On sent un véritable travail en binôme de Jean-Pierre Levaray et Efix. Le texte est cru, noir, haché, ce qui donne un rythme particulier à la lecture, les mots sont justement placés, ce qui permet de s’immerger totalement dans l’histoire. Les albums sont composés de paragraphes annoncés en lettres blanches sur fond noir, comme sont bien souvent très sombres, leurs saynètes d’ailleurs. Cette « Putain d’usine » au demeurant est classée « Seveso 2 », c'est-à-dire qu’elle comporte des risques industriels graves pour les salariés, son voisinage et son terroir. A l’époque ou il rédigeât son livre, J-P Levaray était ouvrier dans cette usine : Son histoire commence par ces tirades : « Tous les jours pareils. J’arrive au boulot. Et ça me tombe dessus comme une vague de désespoir. Comme un suicide. Comme une p’tite mort. Comme la brulure de la balle sur la tempe. On arrive à rêver que la boite ferme. Qu’elle restructure ». Voilà pour le ton des deux albums. C'est aux Éditions Physalis.

18 février 1930
Quels aviateurs français, partent d’Istres, réussissent à battre les records mondiaux de durée et distance en circuit fermé.
Est-ce ?
1) *or*t-Le *ri*.
2) *os*es-C**os.
3) *er*o*-Le**inte.

C'est comment qu'on freine.

C’est comment qu’on freine ? Avec cette bande dessinée, Grégory Mardon explore le quotidien ordinaire de jeunes gens qui semblent dépourvus d’ossature. Cette histoire commence ainsi : Cyril est un dragueur-né. Lors d’une soirée à thème dans un night-club, même déguisé en pirate, il parvient à attirer deux copines dans son lieu d’aisance. Une des filles, Natacha, profite de l’aube pour les inviter à prendre le p’tit déjeuner chez elle. Cyril est pris sous le charme de Natacha, jeune brunette d’origine juive-italienne, leur idylle commence probablement ce jour-là. Mais voilà, Cyril ne change pas grand-chose à ses habitudes de séducteur, acteur de p’tits rôles au théâtre, figuration au cinéma et voix dans certains dessins animés, va le rendre plus constant. En marge de ce métro-boulot-fiesta-dodo relativement stable, il s’attache donc fidèlement à Natacha. Ensemble, ils partagent une véritable complicité, jusqu’au jour où Natacha lui annonce qu’elle est enceinte. Or une nouvelle ne tombe jamais seul… Et l'on va savoir pourquoi ! (Éditions Dupuis).

1er février 1888
On inaugure le service anthropométrique du Palais de Justice de Paris. Qui est à l’origine du système d’identification par empreintes digitales.
Est-ce ?
1) *ouca**t.
2) **rt*llon.
3) *erne**l.