La congestion urbaine.

Au cours des 10 dernières années…
… la bicyclette a connu une sorte de renaissance, grâce à la disponibilité de matériaux légers, les caractéristiques de sécurité et de confort de pointe et moteur électrique d’assistance systems, et à la congestion urbaine. Les bicyclettes sont de plus en plus belles, aussi. Les p’tits fabricants, magasins personnalisés et designers indépendants réinventent les humbles deux-roues avec des formes et des technologies de pointe.
En France, le BSG Wood. Duomatic (bikemaker) combinent pièces métalliques avec pièces de structure en contreplaqué. Le profil fini semble plus proche de l’art que de la machinerie. Le châssis du BSG promet une durabilité exceptionnelle, et l’utilisation de composants en aluminium peint maintient un poids raisonnable. Cette beauté est une bête, il faut investir plus de 3000 €uros.

                              Aux Pays-Bas, grande capital du vélo, une marque sort principalement du lot, c’est le Vanmoof série S. Un huit-vitesse Shimano, moyeu interne, freins à disque fournissent la puissance de freinage beaucoup plus sophistiqués et beaucoup plus couteux. Vélo de route, compter 500 €uros.
Dans quelques jours, vous pourrez découvrir des bicyclettes futuristes du monde entier ( photos: Cycle électrique Cykno, gracieuseté de Engeenius), sur le site en colonne de droite (album).
26 mai 1907
On inaugure à Colmar un monument à la mémoire d’un sculpteur qui a réalisé des œuvres colossales tel le Lion de Belfort.
Est-ce ?
1) Ju**s D**ou.
2) Aug**te R**in.
3) Fr**éric Ba**holdi.

Réponse n°3 f. bartholdi

 

Oublié sur un banc public

Début et fin…
...de l’intrigue en double album du « petit livre oublié sur un banc », écrit par Jim, dessiné de Mig aux couleurs sympathiques de Delphine. Ce premier volume drôle et romantique, nous raconte les événements d’une jeune fille romantique, Camélia qui adore la lecture. L’histoire commence ainsi : Assise sur un banc public, Camélia remarque un livre posé comme abandonné, l’ouvrant, elle y découvre une dédicace l’ invitant à le prendre, le lire, et ensuite le déposer sur un banc pour un prochain lecteur. De retour chez son conjoint, elle s’aperçoit en le feuilletant, que certaines lettres sont cerclées et forment un message, forme d’invitation à communiquer. Qui donc est cet inconnu qui a écrit ces mots d’amour sur ce livre oublié. Piquée de curiosité, elle aussi entoure des lettres qui forment des mots et repose le livre sur un banc dans l’attente d’une réponse. S’engage alors une correspondance avec un mystérieux inconnu… Une quête qui l’empêche de dormir et l’éloigne de son compagnon un peu trop terre à terre.
Dans le deuxième tome, la suite me semble un peu vaine, certes elle nous apporte les réponses et démontre à quel point le livre est avant tout un vecteur d’échanges et de partage, mais tout est un peu tiré par les cheveux. J’en reste un peu sur ma faim…

« Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu’il vous faut »    Cicéron
8 avril 1820
En travaillant dans son champ près d’un théâtre antique, quelle est la célèbre statue qu’un paysan grec découvre au fond d’une excavation ?
1) La ***toire de Sam***race.
2) La ***us de M**o.
3) ***ne la b**he.

A diffuser sur le net

A la caisse d’une grande surface...
…une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.
La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l’écologie et lui dit :
« Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources ! ».
La vieille femme s’excuse auprès de la caissière et explique : « Je suis désolée, il n’y avait pas de mouvement écologique de mon temps ».
Alors qu’elle quitte la caisse, la mine déconfite.

La caissière ajoute : « Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépends. C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps ».

Alors, un peu énervée, la vieille dame lui fait observer qu’à l’époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin, qui les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau. Les bouteilles étaient recyclées,

Mais on ne connaissait pas le mouvement écologiste !. Et, elle ajoute : De mon temps, on montait l’escalier à pied, on n’avait pas d’escaliers roulants et peu d’ascenseurs. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues. On marchait jusqu’à l’épicerie du coin.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste !. On ne connaissait pas les couches jetables, on lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde. On avait un réveil qu’on remontait le soir. Dans la cuisine, on s’activait pour préparer le repas, on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mouse de polystyrène ou en plastique. On n’avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou autoportées, on utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon. On travaillait physiquement, on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.

Mais c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste ! On buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif. On n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. On remplissait les stylos dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo.

Mais c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste !. Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l’école à vélo ou à pied au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24h/24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon ou autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, pas de nouveaux crayons et gommes au nouveau slogan.

Mais c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste ! On n’avait qu’une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui. Alors ne vient pas me bassiner avec ton mouvement écologiste !
Tout ce qu’on regrette, c’est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d’engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s’imagine avoir tout inventé, à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d’orthographe, qui n’ont jamais ouvert un bouquin autre que quelques bandes dessinées, qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel…(pensent même que c’est un grand couturier), qui ne savent pas mieux où passent le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes, etc. Mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur pitoyable ignorance !

Mais c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste !.
Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l’école à vélo ou à pied au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24h/24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon ou autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan.

Mais c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste !
On n’avait qu’une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui. Alors ne vient pas me bassiner avec ton mouvement écologiste !
Tout ce qu’on regrette, c’est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d’engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s’imagine avoir tout inventé, à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d’orthographe, qui n’ont jamais ouvert un bouquin autre que quelques bandes dessinées, qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel…(pensent même que c’est un grand couturier), qui ne savent pas mieux où passent le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes, etc. Mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur pitoyable ignorance !

Merci de ne pas imprimer ce message afin de préserver l’environnement. Mais ne vous privez pas de faire suivre !