Crazy Horse et son champagne

La fuite du champagne…

…au Crazy Horse célèbre cabaret parisien. Plusieurs centaines de bouteilles de champagne ont été dérobées pendant des années par certains employés. Une combine qui aurait duré depuis plusieurs années selon la direction du Crazy. C’est suite à la découverte pas hasard de la vente d’une partie de ces bouteilles estampillées « Crazy Horse » sur un site Internet de ventes entre particuliers qu’une plainte aurait été déposée il y a quelques mois. Une enquête interne a rapidement identifié plusieurs employés du cabaret qui ont reconnu les faits, certains étant salariés depuis plus de 30 ans. Des mesures ont été prises, ils ont été licenciés avec accord de l’Inspection du Travail. Ces bouteilles dans cet établissement sont facturées environ 250€, aucun client n’a été victime de ces vols a assuré le propriétaire du Crazy Horse…

Dans la rubrique ''à la source''

Crazy Horse Cabaret 12, Avenue George V, Paris 75008. www.lecrazyhorseparis.com  Le Crazy Horse le Temple du “Nu Chic”! Depuis 1951, la femme Crazy est sensuelle, glamour et irrévérencieuse. Depuis 1951, les chorégraphies du Crazy Horse allient un esthétisme sans concession à un humour subtil. Depuis 1951, le Crazy Horse est unique au monde. Après la rénovation de la salle en 2007, le temple international du « Nu Chic » a su évoluer sans perdre le charme si particulier qui a fait sa réputation. Installé dans un fauteuil, au bar ou dans un box privatisé, le spectateur découvrira un show érotique et anticonformiste.

 

 

Aux joies du tactile.

Le raz-de-marée des tablettes…

…tactiles, elles devraient dépasser les 5 millions d’unités en cette fin d’année (3,5 millions en 2012). Les fournisseurs électroniques constatent une spectaculaire baisse des tarifs de l’ordre de 30% grâce à l’avènement des offres low-cost. Les avancées considérables de l’outil de production asiatique a ainsi pu proposer aux marques des produits corrects sous la barre des 200 €. Par contre, les tablettes haut de gamme comme celles compatibles avec les réseaux mobiles 3G et 4G, restent plus discrètes profitant en France d’une excellente couverture Wifi.

 Dans la rubrique ''à la source''

A moins de 200 €, on une tablette low-cost. Si certaines font pâle figure, d’autres affichent des caractéristiques tout à fait correctes, qui permettent d’accéder aux joies des ardoises tactiles sans se ruiner. Par exemple, cette nouvelle HaierPad du constructeur chinois Haier, proposée à 179 €. Au menu : écran 8 pouces (1024 x 768) – processeur double cœur – 8 Go de mémoire extensible à 32 Go – Wifi – Bluetooth – 6h d’autonomie - dernière version d’Androïde.

Etes-vous affidé du bitcoin...

Cette monnaie virtuelle…

 … fait de plus en plus parler d’elle, cette crypto-devise ferait trembloter la France. Après le cinéma, la musique, le commerce traditionnel, c’est au tour des pièces et billets de banque. Cette monnaie à un nom : le bitcoin, devise libre, créée il y a quatre ans, convertible en Dollars et €uros. Pour l’utiliser, il suffit de télécharger gratuitement son logiciel sous Windows, Mac ou Linux sur www.bitcoin.fr (attention, ne fonctionne pas  sous Androïde). En pratique, les échanges se font au travers de ce logiciel, d’ordi à ordi sans serveur entre eux. Les transactions sont anonymes et sans frais. Pour se procurer des bitcoins, plusieurs solutions : en acheter auprès d’une bourse d’échange ou vendre quelque chose en utilisant la devise. Cette crypto-devise n’est pas très bien vu par la Banque centrale européenne, m’étant surtout en avant son côté aléatoire (façon jeu Monopoly). Ce site d’ailleurs prévient les amateurs que ce n’est qu’un porte-monnaie virtuel et peut disparaître du jour au lendemain.

Dans la rubrique ''à la source''

Plusieurs centaines de site Web acceptent le bitcoin dans la liste des monnaies et moyens de paiement utilisables. Aussi bien pour faire des dons que pour acquérir des produits virtuels ou réels sans se faire identifier. C’est pourquoi de nombreux sites alternatifs le proposent : boutiques équitables, sites de téléchargement, organisations libres comme Wikileaks ou l’Electronic Frontier Foundation. De nombreux prestataires proposent de changer de l’argent réel en bitcoin. Mais pas encore l’inverse !