Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

07/03/2019

Je suis un autre...

Avec « Je suis un autre ». Laissez-vous happer par ce dramatique roman graphique de Rodolphe illustré par les planches épurées mais précises de Laurent Gnoni. Cet album nous raconte l’histoire de Peppo et Sylvio, deux frères jumeaux physiquement identiques qui passent leurs vacances d’été sur une p’tite île en mer Méditerranée. Leur 2019-02-20_11h46_56.pngpère est déjà reparti, et leur mère est toujours en vadrouille. Ils profitent alors à fond de cette liberté, font des sorties bateaux, également de pêche et surtout mâtent les jolies filles en bikini. Mais l’affection entre les deux frères va être soudainement perturbée par l’arrivée d’une jeune artiste peintre, Edwige, très belle, qui emménage dans la villa d’à coté. Peppo tombe amoureux d’elle et délaisse rapidement son frère Sylvio, qui lui n’apprécie guère de se retrouver seul. Alors que l’on retrouve cette jeune femme morte, probablement assassinée par un marginal, Peppo est sûr que le meurtrier est en fait son frère. L’affaire semble réglée, à un détail prêt : Hugo, son ami marin lui prouve que Sylvio mort depuis des années ne peut pas avoir commis le crime. Le suspense monte crescendo. Effondré devant cette réalité qu’il fuyait depuis des années, Peppo sombre dans un abîme de doutes, le salut pourrait venir d’un certain docteur Anna Muller… A découvrir !
Editions Soleil.
8 mars 1875
2019-02-20_17h33_15.pngQuel est cet opéra de Bizet joué à Paris qui laisse le public indifférent ? Bizet ne survivra pas à cet échec. Il meurt la même année.
Est-ce ?
1) *es *êc*eu*s de *er*es.
2) **rm*n.
3) L’**lési*n*e.signature_40.gif

03/03/2019

Je vais rester...

 « Je vais rester » bande dessinée scénarisée par Lewis Trondheim qui nous laisse perplexe. Fabienne et Roland arrivent à Palavas pour une semaine de vacances. Tout est programmé par Roland, seulement, un peu en avance, leur réservation débutant à 14h, ils décident de se promener un peu en bord de mer. Surpris par de fortes rafales de vent, une 2019-02-17_12h07_34.pngplaque publicitaire va retirer la vie à son compagnon. Le drame nécessite une enquête, relayé par tous les médias. Fabienne après un moment de stupeur et d’incompréhension, décide de rester sur place, de ne pas assister aux obsèques, et de couper les ponts avec sa belle-famille. Elle va vivre cette semaine telle que Roland l’avait prévu dans les moindres détails et retranscrit dans un p’tit carnet. Au cours de ces quelques jours programmés (spectacle, bal et même resto pour deux déjà réservé) elle croisera le chemin de Paco un attachant et pittoresque personnage difficile à cerner. Les dessins parfaitement typés d’Hubert Chevillard illustrent pleinement ce récit intimiste. « Je vais rester » Rue des Sèvres.

3 mars 1934
Quelle voiture présentée par Citroën, de conception entièrement nouvelle, apparait comme une révolution dans le monde de l’automobile.
Est-ce ?
2019-02-17_17h49_26.png1) L* * *V.
2) *a * 6.
3) L* * C* Ro**lie.signature_21.gif

28/02/2019

Commissaire Kouamé

Commissaire Kouamé « un si joli jardin » bande dessinée loufoque, riche en couleurs, de son auteure Marguerite Abouet, suivi par Donatien Mary, les couleurs sont de Frédéric Boniaud. On voyage en Côte d’Ivoire avec ce commissaire Marius Kouamé très 2019-02-14_10h42_23.pngdrôle, intelligent, mais impitoyable et son fidèle adjoint, Arsène. Sa narration : Abidjan. Un homme a été mystérieusement assassiné dans un minable hôtel de passe. Personne n’a rien vu… et l’enquête doit rester discrète sous peine de défrayer la chronique, car la victime n’est autre que Traoré Compliqué, le célèbre magistrat ! Le grand commissaire Marius Kouamé est immédiatement mis sur l’affaire. Il traque les suspects en tout genre, qui n’ont qu’à bien se tenir, car les tortures infligées par les deux flics sont aussi incongrues qu’efficaces ! Un polar loufoque, déjanté et c’est aux Éditions Gallimard.

26 février 1848
Aux débuts de la II République, ce poète que Louis-Philippe appelait avec mépris « le vain de Mâcon » défend le drapeau tricolore face au drapeau rouge.
Est-ce ?
2019-02-14_12h05_28.png1) **fred *e **g*y.
2) Al**on*e d* L**ar**ne.
3) **éop**le **ut**r.signature_40.gif