Lucky Luke

Le film de Lucky Luke « Daisy Town »  Cette BD est un résumé du film adapté des fameux albums par les auteurs eux-mêmes, Morris et Goscinny. Daisy Town est sans doute le long métrage le plus enlevé de la trilogie Daisy Town (1971), la Ballade des Dalton (1977) et les Dalton en cavale (1983). Cela commence ainsi : Une caravane de pionniers s’arrête au milieu d’une vaste pleine pour y bâtir une ville nouvelle : Daisy Town. Mais la naissance d’une ville dans l’Ouest attire inévitablement les bandits et autres desperados. Très vite le désordre règne dans la ville à tout point que les habitants n’osent plus sortir de chez eux. Néanmoins lorsque Lucky Luke arrive en ville, il sait très vite se faire respecter des hors- la-loi. Aussi le maire de la ville n’hésite pas un instant pour lui proposer un poste de shérif qu’il accepte immédiatement. La paix revient aussitôt à Daisy Town et la prison est très vite surchargée. Les prisonniers sont alors expulsés de la ville couverts de goudron et de plumes. Alors que les habitants de laville font la fête dans le saloon, un homme arrive effrayé et annonce que les Daltons ont attaqué la diligence. Ceux-ci arrivent à Daisy Town dans l’espoire de s’y installer, ce qui ne plait guère à Lucky Luke contrairement aux habitants qui ne s’en plaignent pas… Une bien curieuse situation pour Lucky Luke qui fera tout son possible pour contrer les plans des quatre frères bandits.
dailymotion.com/video/x2j67n
Seriez-vous perplexe.
Les chapeaux: « Quel méli-mélo ! ». Lors d’un gala à l’opéra, la dame du vestiaire a mélangé tous les chapeaux. Et si vous l’aidiez à rendre à chacun le chapeau qui lui revient ?
Le Mexicain, le Stetson.
Le Basque, le sombrero.
Le légionnaire, le béret.
Le cavalier, le képi.
Le Texan, le bicorne.
Le cuisinier, la cagoule.
L’évêque, la tiare.
L’académicien, la toque.
Le pénitent, la bombe.
Le pape, la mitre.

Masques Covid 19

A vos marques et porter vos masques !  Son port devient obligatoire dans certains cas contre la propagation du Covid 19. Tout d’abord, assurez-vous que le masque que vous allez porter soit en bon état. Nous quidams, avons accès à deux sortes de masques : Le jetable (papier), qui n’est utilisable qu’une fois puis jeté et le grand public (tissu réutilisable), qui doit être changé au bout de quatre heures. Le second a une durée de vie limitée (de 4 à 20 lavages à 60°C selon modèle).
Comment utiliser son masque : Voici quelques conseils pour s’en servir au mieux. Tout d’abord, lavez-vous les mains. Une fois posé, votre masque ne doit plus être touché, on le manipule uniquement par les liens. Il doit couvrir également le nez et menton et toute cette surface pour être efficace.
Comment retirer son masque : Ne l’enlevez pas avant de pouvoir le jeter ou le mettre au lavage. Si vous utilisez un masque réutilisable, placez le dans un sac plastique en attendant de pouvoir le laver. Pour éviter toute contamination, vous pouvez également laver l’extérieur du sac plastique, puis vous laver les mains une dernière fois.
Enfin, qu’il soit réalisé à la maison ou acheté : Le masque grand public doit répondre à certaines exigences que ce soit dans sa fabrication ou dans son utilisation (voir ci-dessus). Attention tout de même, les professionnels de santé ne dédouane en aucune manière les gestes barrière que sont la distanciation sociale ou encore l’hygiène des mains. Le masque grand public est une mesure complémentaire pour freiner la propagation du Covid 19.
Youtube.com/watch ?v=o-_DPOiBA1o
9 mai 1769.
La bataille de Ponte Nuovo marque la défaite des partisans de l’indépendance de la Corse. Qui pacifiait l’île depuis son annexion.
Est-ce ?
1) *e *a**u*s *e *a *ay**te.
2) *e co*t* *e *o*ha**e*u.
3) *e **m*e d* *a*x.

Oliver&Peter

Oliver & Peter. « La mère de tous les mots » Nous sommes à Londres, le 27 décembre 1904. Alors que les spectateurs applaudissent à tout rompre à la première de Peter Pan, la nouvelle pièce de J. M. Barrie. Un jeune homme parmi le public du Duke of York’s Théâtre semble perturbé. Bien décidé à rencontrer l’auteur à la fin de la représentation, il veut lui poser cette question simple : comment a-t-il pu mettre en scène une aventure que lui-même, Olivier Twist, l’a vécue, il y a plus de vingt ans ? Et c’est parti pour un flash-back qui nous même en 1888 à Londres, ou un élégant manchot habillé de manière anachronique offre 200 pièces de huit à qui l’aidera à trouver un jeune garçon nommé Peter Pan. Celui-ci a trouvé refuge dans la bande d’Oliver Twist que dirigent deux adultes Fangin et Silkes. Nous voilà alors dans un univers étonnant, mis en scène magnifiquement par Philippe Pelaez. On y prend également du plaisir à s’attarder sur les dessins très soignés de Cinzia Di Felice, associé à la palette de Florent Daniel. Les 3 albums sont à découvrir ! Sandawe.com (L’éditeur, c’est vous !)
Seriez-vous perplexe. " Voici dix animaux et leurs cris".   A quel animal correspond chaque cri ?
Les animaux : La chouette, la tourterelle, le corbeau, le crapaud, le dindon, le cerf, l’âne, l’éléphant, le tigre et le zèbre.
Les cris : Le bramement, le hennissement, le braiment, le feulement, le coassement, le barrissement, le glouglou, le roucoulement, le croassement et le hululement.