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18/04/2022

Bella Ciao.

* Bella Ciao *  En s’appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit. Baru nous raconte une histoire populaire de l’immigration italienne, c’est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l’être, et de devenir transparent dans la société Française. L’étranger, ici, est Italien, mais peut-on en douter. Le 2022-04-11_18h35_54.pngnarrateur, reconstruit son histoire familiale, au gré des fluctuations de sa mémoire, en convoquant le souvenir de la trentaine de personnes qui se trouvaient, quarante ans plus tôt, au repas de sa communion. Le récit se développe comme la mémoire de Theodore, tout en discontinuité chronologique. Il est question d’un massacre à Aigues-Mortes en 1893, de la Résistance aux nazis, du retour au pays, de Mussolini, de Claudio villa, des chaussettes noires, et de Maurice Thorez. Sans oublier, les soupes populaires à la mort des hauts-fourneaux, prix à payer pour devenir transparent. En résumé, c’est une œuvre partiellement autobiographique des enfants d’immigrés dans les cités ouvrières de Lorraine dans les années 1950.Un bonheur à partager ! Aux éditions *FutuRopolis*.
Quelques charades faciles.  (P’tit moment de détente) 
2021-12-24_17h30_12.pngMon premier est un possessif. 
Mon second est une partie du visage.
Mon troisième est amusant.
Mon tout fait la joie des enfants.signature_33.gif

 

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