17/11/2019
Texas Jack.
Texas Jack. Western pur et dur ou un cow-boy, très bon tireur au pistolet et patron d'un Big Show se trouve embringué dans une affaire qui le dépasse. L’histoire débute au XIXe siècle dans le Wyoming ou une modeste famille s’apprête à célébrer le baptême de la p’tite Lisa. Près de l’église, la table est dressée, attendant les convives. Un groupe d’hommes à cheval s’approche dans un nuage de poussière, c’est l’horreur qui s’abat sur les participants de la fête. Ils sont tous assassinés, y compris la p’tite Lisa par la bande de Gunsmoke. Au même moment dans un autre État, le cirque de Texas Jack donne une représentation de la vie dans l’Ouest, avec attaque de diligence et de nombreux tirs de pistolet. C’est grâce au cirque et ses spectacles que Texas Jack un as du révolver, s’est taillé une légende fantasmée de héros. C’est alors que son biographe accompagné d’un envoyé du gouvernement lui demandent de mettre cette légende et sa troupe au service de la loi (contre rémunération) afin de mettre un terme aux agissements de Gunsmoke et sa horde de tueurs. Pour achever de le convaincre, ils lui disent qu’ils seront épaulés par la cavalerie. La mission est suicidaire, mais impossible de refuser sans perdre sa réputation. Heureusement pour lui et ses compagnons, Gunsmoke est aussi la cible du marshal Sykes. Nous voilà donc avec un album plein de rebondissements, alternant coups de théâtre, trahisons, moments tendres parfois, et magnifiquement mis en scène par Pierre Dubois. Les dessins et la colorisation par Dimitri Armant sont à la hauteur de la qualité du scénario. C’est du bon Western.
25 septembre 1827,
Une actrice anglaise, Harriett Smithson, rencontre à l’Odéon un compositeur qui écrit pour elle « La Symphonie Fantastique » et l’épouser.
Est-ce ?
1) *icha* *a*ner.
2) **abr*iel *au*é.
3) *ect** *erl**.
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14/11/2019
Joe Shuster
Un rêve américain. Cette BD retrace la vie de Joe Shuster, jeune dessinateur de Cleveland issu d’une famille d’immigrés russes. Joe Shuster était loin de penser qu’avec la création imaginé en 1938 de Superman, aidé de Jerry Siegel son ami scénariste, qu’il donnerait naissance à un genre nouveau: le Comics de super héros. Leur concept sous le bras, les deux jeunes pionniers découvrent avec le succès éclair de leur création, la réalité du monde de l’édition de l’époque. C’est cette histoire que nous raconte Julian Voloj et Thomas Campi ayant fait le choix de ne réaliser la biographie que du dessinateur Joe Shuster placé en position de narrateur. Le volume commence par un policier trouvant un SDF dormant sur un banc, il reconnait assez rapidement, l’un des Co-créateurs de Superman, Joe Shuster. Celui-ci va alors lui dérouler le fil de sa vie de son enfance jusqu’au moment ou il finit sur ce fameux banc. Les auteurs en profitent également pour tirer le portrait des Etats-Unis, de l’antisémitisme primitif, aux partis nazi en Europe comme en Amérique, puis la chasse aux communistes et la responsabilité des comics dans les crimes et délits soumis dans le pays. Le graphisme est magnifique, un certain flou dans le dessin apporte beaucoup de profondeur et l’élégance rappelle une autre époque. A la fin de l’album, on trouve quelques pages sur la façon dont les auteurs de comics se sont mobilisés pour défendre les droits et la dignité de Joe Shuster et Jerry Siegel. Ils récupéreront leurs droits qu’en 1975, auprès de la Warner, lors de la sortie du film Superman. Bref, ce roman est une merveille pour celles et ceux qui aiment Superman et qui voudraient découvrir ses créateurs. Une très bonne BD.
18 septembre 1936,
On apprend que le Dr Charcot, spécialiste des expéditions polaires, à péri avec ses 30 compagnons dans le naufrage de son trois-mâts.
Est-ce ?
1) *e *ra**ais.
2) L**ur*re.
3) *e **ur**oi.*a*.
05:00 Publié dans Actualités, Artistes, Blog, Carré Verlaine, Consommation, divers, Education, Film, Histoire, Jeux, Livre, Loisirs, Manifestations, Politique, Science, Technologie/Micro, Transport, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (1)
03/11/2019
Ce qu'il faut de terre
Ce qu’il faut de terre à l’homme, album graphique scénarisé par Martin Veyron (d’après une nouvelle de Léon Tolstoï, 1886)) et superbement coloré par son frère Charles. Sur son lopin de terre de Sibérie, le paysan Pacôme vit avec sa femme et son fils. Il n’est pas riche mais subvient aux besoins de sa famille. Dans un premier temps, le modeste Pacôme parait sage et réfléchi. Il trouve même la bonne solution pour apaiser le village. Mais sa bêtise croit avec son envie de posséder de plus, en plus de terres. Son ambition l’aveugle et n’écoute plus sa femme qui, elle, est restée lucide et philosophe. Un jour, un marchand de passage affirme à Pacôme que les Bachkirs, paysans de la Russie de l’Est, vendent leurs terres à bon marché. C’est tentant, il s’y rend accepte un certain marché qui va lui être... Voilà un superbe récit qui se lit comme une plaisante légende.
20 octobre 1849,
On célèbre à Paris les obsèques de celui qu’Henri Heine surnommait le « Raphael de la musique ». On y remarque l’absence de George Sand.
Est-ce ?
1) E**enne *é*ul.
2) F**déric *ho*in.
3) Ado**he A**m.
05:57 Publié dans Animaux, Artistes, Blog, Carré Verlaine, Consommation, divers, Education, Film, Habitat, Histoire, Jeux, Livre, Loisirs, Manifestations, Politique, Santé, Transport, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (1)