Partir un jour.2022

* Partir un jour* Telle est la décision de notre héros a lunettes, qui en a assez de son travail sans joie. Car ce qu’il désire au fond, lui, c’est d’écrire, mais pas n’importe quoi : un brulot sans concession appelé à redéfinir les contours, non seulement de la littérature, mais de la pensée même ! Mais la pente des lettres est rude, et les ennuis guettent. L’achat inopiné d’un bonzaï et d’huiles essentielles n’empêche ni le départ de l’être aimée ni les relations compliquées avec la psychanalyse. Puis, il y a ces rêves sur des échecs passés et des angoisses présentes… Réussira-t-il à passer la crise de la quarantaine tout en écrivant… C’est tout cela que va vivre notre personnage de Manu Boisteau. C’est drôle et léger, cela pose des questions sur le sens que l’on veut donner à sa vie. Il nous parle des affres de la création, des doutes, de la difficulté à écrire créer quelque chose qui ne serait pas du déjà-vu-déjà lu, de l’usure du couple surtout quand les envies de l’un ne correspondent plus à celle de l’autre. Aux éditions Casterman.

11 novembre 1918.  

Elle a triomphé dans Carmen et le Roi d’Ys ; elle chante ce soir « la Marseillaise » devant l’Opéra. Quel est cette célèbre soprano ? 

1) *erm*in* *u*in.

2) F*n*y H*ld*

3) *ar*he *hen*l.

 

 

 

Buck 2022.

* Buck *,  c’est  un album humoristique, un peu satirique sur l’histoire de la Création du Monde. Frederik Van Den Stock en est le metteur en scène et l’animateur de ce keepsake « Le premier homme sur terre » apparu sans explication rationnelle et inventeur autodidacte de la civilisation. Avec cette BD en grand format, son auteur, nous permet de profiter des belles couleurs que sont le jaune, le rouge et le vert. Cet homme, Buck, aura crée le langage, les outils, l’Art, l’argent, et surtout le travail des enfants, sachant, qu’il ne s’en sert qu’à son profit. Il décide de créer également ses propres armes et s’apprête à déclencher la bombe atomique. Par chance, une femme passe près de là, et il en tombe amoureux. Pour connaître la suite, il faudra vous procurer cet album. C’est aux éditions * Même pas mal *

Quelques charades faciles.  (P’tit moment de détente) 

Mon premier est un tissu. Dans mon second, le Père Noel transporte ses jouets. Mon tout est un p’tit oiseau.

 

Porte-avions 2038.

*Le futur porte-avions français*

*Successeur du Charles de Gaulle*

Ce design sous forme de maquette a été présenté récemment au salon Euro naval, au Bourget. Cette mise à flot est prévue à l’horizon 2038. Un géant de 300 mètres de long, pour 80 de large, et qui devrait approcher les 5 milliards d’€uros. Ce navire a de quoi impressionner, 75 000 tonnes (42 500 pour son prédécesseur, le Charles de Gaulle) Ce bâtiment sera à propulsion nucléaire et devrait embarquer une trentaine avions de chasse « Rafale », mais aussi des drones de combat et de surveillance. Il sera capable de voir, entendre et capter les données échangées à 360° sur un rayon de 400 kilomètres. Son équipage devrait approcher 2000 marins, hommes et femmes.

Cantal *Chaudes Aigues*

 *Chaudes-Aigues* à environ 30 km de Saint-Flour, et à 750 m d’altitude est l’unique station thermale entre les Monts du Cantal et le plateau de l’Aubrac, elle dispose des eaux naturellement les plus chaudes d’Europe. La plus célèbre étant la source du *Par* et  ses 82°C. Cette curiosité et son Centre de bien-être *Caleden* ont fait la renommée de cette cité. Il y aurait encore une quarantaine de maisons au village chauffées ainsi. On peut également s’y baigner à l’espace thermo-ludique, de même qu’il est accessible aux enfants dès 9 mois. Et pourquoi pas lors d’un piquenique à la source du *Par*d’y faire cuire son omelette en moins de 15 minutes…  A visiter !

Le Convoyeur t2

* Le Convoyeur *  « La cité des mille flèches » deuxième tome de cette série de son auteur Tristan Roulot, qui en plus de nous surprendre, nous met en place également une intrigue. Le décor est planté, nous somme alors dans un monde apocalyptique, violent, horrifiant, où les hommes et les animaux sont quasiment tous atteints du mal de la rouille. Seule une poignée de personnes semblent croire à un avenir de l’humanité et cherchent des êtres purs. Le Convoyeur, qui vient d'un retour de mission, doit trouver un abri pour la nuit, mais cela ne se passe pas trop bien. Il doit alors mettre fin rapidement à la vie du Scorpion avec l’aide du Renifleur. Celui-ci va lui demander d’assurer une nouvelle mission que je vous laisse découvrir. Comme l'album précédent, Dimitri Armand, en est également le dessinateur/coloriste, restant fidèle à lui-même avec des planches au découpage totalement limpides, un vrai régal dans cet univers post-apocalyptique. Un plaisir à partager en attendant le troisième volet. C’est aux éditions *Le Lombard*