01/05/2022
Pénis de table.
* Pénis de table * c’est les états généraux de la sexualité de sept hommes, sans langue de bois et en bande dessinée par Cookie Kalkair, lui même auteur/dessinateur). D’abord publié sur un blog, Pénis de table a rapidement convaincu des éditeurs papier. Le pitch est simple : Son auteur et six hommes sont réunis autour d’une table pour parler librement, et très ouvertement de plusieurs thèmes. La masturbation, l’orientation sexuelle, le pénis, l’orgasme et les fantasmes. Au total, sept hommes âgés de 26 à 45 ans, en couple, célibataire ou divorcé, hétéro, gay ou pan sexuel, répondent aux questions de l’organisateur de ces réunions, et cela sur plusieurs mois. D’ores et déjà, ne vous détrompez pas, il ne s’agit pas d’une bande dessinée pornographique. Loin de là. 80% des illustrations, très colorées, représentent le tour de table (de façon imagée) et les interactions entre les différents personnages masculins. On est sur des visages, des émotions, et quelques flashbacks humoristiques. Une lecture enrichissante et fort amusante qui saura atteindre un lectorat de curieux et convaincre les plus sceptiques que parler de sexe dans son intégralité peut être un sujet de conversation instructif pour toutes et tous. La partie graphique est moderne et très colorée. Une occasion de « jaser », dans le plaisir, celui d’un sujet pas toujours évident. Et donc, pour découvrir le tout, c’est aux éditions Steinkis. Et sur le Web : penisdetable.com
Quelques charades faciles. (P’tit moment de détente)
Mon premier est souvent classé.
Mon second accompagne la bouillabaisse.
Dans les contes, mon tout peut être changé en carrosse.
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22/04/2022
Méditer.
* Méditer * « Le bonheur d’être présent » Cet album graphique raconte par son auteur, Fabrice Midal, le parcours qui l’a mené vers la méditation. Enfant mal aimé dans une famille traumatisée par la Shoah où le tabou et l’interdiction gouvernaient l’existence. Fabrice découvre un p’tit groupe de méditation qui lui plait immédiatement. Lui qui ne s’est jamais senti à sa place, découvre donc le droit d'exister. Des maitres le guideront sur la bonne voie qui n’est pas forcément celle du bouddhisme, et qui ne rejette pas la sexualité ; une pratique de la méditation ouverte au monde, curieuse, alerte, non dénuée d’humour.
Résumé de l’album (par son éditeur). Un jour, tandis que je racontais mon parcours à un ami, je pris conscience des difficultés qui avaient été les miennes tout jeune. Manque de confiance en moi, lourdeur de mon passé familial lié à la Shoah, sentiment d’être différent des autres. Mais aussi, et surtout, je pus mesurer à quel point la découverte et la pratique de la méditation m’avaient sauvé par la suite. J’ai pensé que le partage de mon expérience pouvait aider mes amis et mes lecteurs. Car, s’il est toujoursinterresant de parler de la médiation, rien ne vaut sa pratique. La mise en images de mon itinéraire, de mes rencontres et de mes aventures s’est imposée à moi comme moyen de donner à voir un chemin de libération et d’épanouissement. « Fabrice Midal ». Donc, à « Méditer ! » Editions Phillipe Rey.
19 avril 1890.
Quel est le Français qui, ayant réussi un vol de 50 mètres sur un appareil à moteur, dépose son brevet portant pour la première fois, le mot « avion ». Est-ce ?
1) *e*ri *a**e.
2) *ab**el F*b**.
3) C**me*t *de*.
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18/04/2022
Bella Ciao.
* Bella Ciao * En s’appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit. Baru nous raconte une histoire populaire de l’immigration italienne, c’est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l’être, et de devenir transparent dans la société Française. L’étranger, ici, est Italien, mais peut-on en douter. Le narrateur, reconstruit son histoire familiale, au gré des fluctuations de sa mémoire, en convoquant le souvenir de la trentaine de personnes qui se trouvaient, quarante ans plus tôt, au repas de sa communion. Le récit se développe comme la mémoire de Theodore, tout en discontinuité chronologique. Il est question d’un massacre à Aigues-Mortes en 1893, de la Résistance aux nazis, du retour au pays, de Mussolini, de Claudio villa, des chaussettes noires, et de Maurice Thorez. Sans oublier, les soupes populaires à la mort des hauts-fourneaux, prix à payer pour devenir transparent. En résumé, c’est une œuvre partiellement autobiographique des enfants d’immigrés dans les cités ouvrières de Lorraine dans les années 1950.Un bonheur à partager ! Aux éditions *FutuRopolis*.
Quelques charades faciles. (P’tit moment de détente)
Mon premier est un possessif.
Mon second est une partie du visage.
Mon troisième est amusant.
Mon tout fait la joie des enfants.
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