Nous étions jeudi 6 octobre 2011 dans la rue pour défendre ''nos Retraites''

Nous étions ce jeudi 6 octobre 2011 dans la rue pour défendre nos ''retraites''

A Metz encore cette fois nous étions dans la rue (très peu, et c’est bien dommage) pour défendre nos pensions. Nous Retraité(e)s, on a bien souvent travaillé plus de 40 ans, on ne fait pas de mendicité, on demande juste à vivre correctement. Mon voisin de marche m’explique qu’il vit avec un peu plus de 800 euros par mois, vous enlevez loyer, chauffage, nourriture, frais courants (tél, éléc, eau) la mutuelle et il ne me reste plus grand-chose. En me déplaçant dans le cortège,les discutions  sont pratiquement monnaie courante (façon de parler). Bon nombre de manifestants estiment encore avoir de la chance avec un peu moins de 1100 euros. Alors oui aujourd’hui on s’en sort, mais avec quelle difficulté, on rogne partout, nous sommes sur le fil du rasoir. Il faut que ce gouvernement arrête les cadeaux aux riches, nous garantisse des conditions de vie plus décente. Nous Retraité(e)s comme tous citoyen(ne)s de notre pays France, revendiquons du gouvernement des décisions justes et équitables. 

Dans la rubrique ‘’ à la source’’

Céder le haut du pavé voulait dire s’effacer devant quelqu’un par déférence. Cette expression date du temps ou les rues sans trottoir, plus hautes le long des murs, s’inclinaient vers le centre ou s’écoulaient les eaux de pluie et de vidange. On cédait le haut du pavé ‘’de plus ou moins bon gré’’, aux personnes riches.

''Non,non''  nous ne voulons plus jamais ça !

Les aléas journaliers,because ''Mettis'' Metz

Les aléas journaliers, because ‘‘Mettis’’ Metz

Effectivement à  ce jour la circulation devient de plus en plus difficile, pour exemple certaines rues comme l’avenue de Strasbourg, la rue Belletanche, le boulevard d’Alsace, et cerise sur le gâteau depuis quelques jours vient s’ajouter la place Mazelle . En changeant ses sens de circulation, ce chantier en cours prévoit une nouvelle place en partie piétonne  pour l’automne 2012, des déviations sont mises en place pour nous automobilistes jusqu’a fin novembre avec suppression de l’accès passage de Plantières depuis la rue Haute-Seille. Voir ce lien : http://mettis.metzmetropole.fr/carte-travaux-mettis.html         Mettis à ce jour rend l’accessibilité à la ville  digne d’un parcours du combattant. Evidemment le malaise généré par ces travaux indispensable est la cause d’une montée en puissance du mécontentement des habitants, et c’est bien compréhensible !  Bon pour finir soyons  sympa,  restons sur une note positive: Ce ‘’Bouchon 8 rue Ladoucette’’, bouchonne pour la bonne cause, faites en l’expérience vous verrez, c’est plutôt épicurien !

Dans la rubrique ‘’à vous de jouer’’ 

Imaginez que vous etes Conducteur du Mettis, il y a 150 places dans celui-ci, 86 personnes montent, le Mettis en question porte le n°7. En moyenne, 85% des passagers de la compagnie de transport font plus de 2km800.Sachant que Mettis a subit un léger accrochage au niveau du phare avant gauche au 126 Avenue de Strasbourg, quel âge à le conducteur. Si vous ne trouvez pas, attendez la réponse dans une prochaine brève.                                                                               

35 euros pour saisir le Prud'homes

35 euros pour saisir le Prud’homes…

Au premier octobre 2011, saisir le Prud’hommes ne sera plus gratuit.Le projet de loi de finances 2011 instaure en effet une taxe, appelé  ‘’droit de timbre’’ pour entamer une action en justice.35 euros, c’est le montant du timbre fiscal qu’il faudra payer à compter du 1^er octobre pour engager une procédure devant le conseil des Prud’hommes. Passée quasi inaperçue, cette disposition est prévue dans l’article 20 du projet de loi de finance adopté par le parlement le 6 juillet 2011.Les syndicats dénoncent l’injustice d’une telle mesure, ce dispositif remet en cause la gratuité de la procédure prud’homale. Seuls les bénéficiaires de l’aide juridictionnelle et les victimes d’infractions pénales sont exonérés. Pour le gouvernement, le but officiel est de désengorger les 207 conseils des prud’hommes et d’encourager la résolution des conflits à l’amiable. En moyenne, il faut attendre plus de 10 mois pour obtenir un jugement et même jusqu’à 32 mois pour un salarié de
Seine-Saint-Denis. Pour les syndicats, les recettes ainsi générées permettront surtout de financer le coût de la réforme de la garde à vue, reste que cette mesure est contraire à l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme qui prévoit un égal accès à la justice.

Dans la rubrique ’’à la source’’

C’est l’enseignement que l’on peut tirer du jugement du conseil de prud’ homes de Boulogne-Billancourt rendu le 19 novembre 2010, une première en France, les juges ont validé le licenciement de deux salariés auxquels l’employeur reprochait d’avoir dénigré l’entreprise sur Facebook.         La cour d’appel à été saisie de cette décision.

A suivre,……Olkif