16/12/2016
Le joujou des grands
Depuis quelques mois…
…les drones font partis du nouveau marché des grands. L’offre est abondante et les marques, encore méconnues du grand public : Blade, Phantom, Yuneec ou encore les français Hexo et Parrot. Ces aéronefs ont pris depuis un mois le chemin de nos étals en fête, il est donc possible de les admirer de près. Les modèles les plus récents réalisent des prouesses comme le Mavic Pro chinois qui fait impression, mesurant 19,9 x 8,3 x 8,3 cm, l’équivalant d’un appareil photo muni d’un p’tit téléobjectif. Exceptionnellement compact, le Mavic Pro a tout d’abord l’immense avantage de se replier sur lui-même et de pouvoir ainsi se glisser dans n’importe quel sac. Les finitions sont remarquables et les matériaux utilisés inspirent largement confiance, il suffit de regarder ses capacités vidéo pour s’en convaincre. Ce DJI (1200€) embarque une caméra Ultra HD 4k 30p posée sur une nacelle stabilisée 3 axes, virevoltant à + de 60km/h
pendant une vingtaine de minutes. Dans un autre genre, le Français Parrot a lancé un modèle dédié surtout aux fans d’aéromodélisme, le disco FPV (1300€). Une aile d’1,15 mètre d’envergure, qui ne peut prendre son envol que dans de vastes espaces. Le Skycontroller, sorte de joystick relié au smartphone, permet de piloter l’engin. L’appareil se lance d’une main et monte tout seul à 50 mètres, sa vitesse de pointe est de 80 km/h.
16 décembre 1940
On lit sur les murs de Paris : « Les Allemands prennent notre charbon et nous renvoient les cendres » .Ces affiches font allusion au retour en France des restes de quelle personnalité.Est-ce ?
1) Le r*i de *o*e.
2) *har*es X.
3) Le *om*e de C*am*ord.
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12/12/2016
Quimby the Mouse
C’est 68 pages de BD…
…au format Tabloïd restauré numériquement provenant des rares copies du périodique disparu, devenu objet de collection. Sur ses pages, l’auteur et dessinateur américain Chris Ware (quatre grands prix de cartooning, (Harvey, Eisner, Ignatz et Reuben) y a passé la majeure partie de sa jeunesse. Outre les bandes dessinées et vignettes dont le personnage principal est une souris, il y a aussi des (fausses) annonces, blagues de journaux, lettres, et quelques essais personnels. A l’intérieur, on y trouve : Des compositions bancales, des métaphores maladroites, des sujets incongrus, le tout néanmoins enjolivé et séduisant grâce à des astuces d’imprimeur et à un certain panache graphique. C’est souvent très difficile à lire parce que les mots ou les photos sont si minuscules (prenez une loupe), et si vous ralentissez, prenez votre temps, vous sentirez la nostalgie des années vingt et trente des comics et de la publicité. En première partie, il nous parle de sa grand-mère bien aimée qui tombe malade et décède au bout d’un an, la deuxième partie, ses souvenirs jumelés ainsi qu’un portrait de sa grand-mère. Rien de cela lugubre, mais terriblement drôle et touchant. A regarder cette p’tite vidéo sympa, adresse ci-dessous.
https://www.shortoftheweek.com/2009/05/06/quimby-the-mouse/
13 décembre 1794
« Quel superbe torrent révolutionnaire que cette Loire » disait le Conventionnel condamné à mort pour avoir noyé ses prisonniers à Nantes.
Est-ce ?1) Geo*ges *ou*hon
2) *ean-*aptiste C*rr*er.
3) *ertr*nd B*r*re.
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09/12/2016
L'odeur des garçons affamés
Voilà une BD avec ce titre « L’odeur des garçons affamés » difficile à classer comme western, pourtant tous les ingrédients y demeurent : Colt, indiens, étendues sauvages, chevaux, désert, etc. C’est donc avec « Texas » que l’on entre de plain-pied dans l’univers de la photographie avec deux captures (à l’envers) à chaque chapitre. La première partie installe les acteurs dans leurs zones d’ombres et mystères, la seconde bascule plutôt dans le visionnaire, le mystique, et parfois le vampirisme. L’histoire commence ainsi : Un ingénieur, un photographe et un jeune garçon partent vers l’Ouest sauvage pour découvrir de nouveaux territoires. Il leur faudra composer avec les Comanches qui peuplent cette région depuis des lustres et même parfois les déloger par la diplomatie ou la force si besoin. Chacun des personnages va peu à peu révéler ses secrets inavouables dans une atmosphère innommable où l’invraisemblable côtoie le spectaculaire.
Cet album dévoile « L’odeur des garçons affamés »au titre très costaud, est écrit de façon fluide par la scénariste Loo Hui Phang, les dessins de Frederik Peeters sont remarquablement sublimes et s’accorde bien aux décors westerns. A découvrir assurément.
9 décembre 1896
On organise à Paris une journée qui consacre une grande tragédienne devenue l’une de nos gloires nationales.Est-ce ?
1) R*j*ne.
2) *istin*uett.
3) *arah *ernh*rdt
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