15/12/2017
Elijah Stern
La cité des sauvages est le 2ème Album des aventures délirantes d’Elijah Stern du scénariste Fréderic Maffre, illustrations et couleurs de Julien Maffre et Laure Durandelle (éditions Dargaud) . On retrouve Stern, croque-mort d’une paisible bourgade du Far-West qui se rend pour satisfaire sa passion des livres dans une librairie de Kansas City, à une journée de cheval. Hélas, son voyage se transforme rapidement en cauchemar : il se fait détrousser de ses bottes, de ses dollars et de sa mule. Va commencer alors son aventure rocambolesque dans cette ville qui ne semble être habitée que par des alcolos, escrocs et autres. Il tombe nez à nez sur son ex femme, qui a ouvert un étrange salon de thé. Cette suite devrait ravir les lecteurs passionnés du premier album. Revoir éventuellement cette brève ‘ Stern le croque-mort ’ 1er tome du 5 mai 2016 dans : #collectifcarreverlaine.hautetfort.com tapez Stern dans "rechercher" colonne de gauche.
7 décembre 1761
Une fille nait à Strasbourg. On la surnommera la « femme de têtes ». Elle a laissé son nom à un musée typiquement anglais.
Est-ce ?
1) *a*ie *uss*ud.
2) *ic*le *pri*ond.
3) *athe*ine *eauc*amp.
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11/12/2017
Les disparues d'Orsay.
Dans cette fiction, Virgile Gautrey, gardien du musée d’Orsay depuis 30 ans, enquête sur l’évaporation de leur tableau, les muses de Picasso, Bouguereau, Lautrec, Gérôme et d’autres. Il saute dans un train magique qui surgit au beau milieu du musée, et part à la poursuite d’un homme masqué qui pourrait être responsable de cette incroyable disparition. Des dizaines de chefs-d’œuvre s’entremêlent, avec ici et là des clins d’œil au cinéma. On croise Toulouse Lautrec dinant avec Dante dans un train fantastique, l’araignée d’Odilon Redon dévorant tout sur son passage ou encore la P’tite danseuse de Degas. Il aura fallu à l’auteur Stéphane Levallois de nombreux livres d’Art et plusieurs mois d’observation pour reproduire les toiles, et retrouver les bonnes couleurs. Ce remarquable album « Les disparues d’Orsay » est coédité par le musés d’Orsay et Futuropolis. Il rend hommage à ceux qui ont marqué son histoire.
11 décembre 1924
Quel est le record mondial de vitesse qu’atteint l’adjudant Bonnet à bord d’un monoplan et que la France conservera pendant 10 ans.
Est-ce ?
1) *1* km/h.
2) **8km/h.
3) 4** km/h.
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06/12/2017
Ce Père Fouettard...
Le Père Fouettard (également appelé Croque-mitaine) est une figure incontournable des fêtes de fin d’année. Son origine est très controversée, chacun a sa version selon les pays qu’il traverse. On le représente traditionnellement comme un personnage sinistre et menaçant, vêtu de noir. Il porte un grand manteau, coiffé d’un capuchon, de grosses bottes et fréquemment armé d’un fouet ou d’une trique. Souvent associé à St Nicolas ou au Père Noel comme étant le méchant qui distribue des punitions aux garnements alors que son condisciple offre des friandises aux enfants sages. Selon la légende alsacienne, elle se serait inspirée d’un féroce seigneur « Hans Von Trotha » ayant réellement existé au Moyen-âge à Wissembourg. Une autre légende raconte que le Père Fouettard serait le boucher qui a tué les trois enfants ressuscités par Saint Nicolas. A Metz, on raconte que ce serait en réalité Charles Quint qui aurait en 1552 assiégé la ville. Au cours d’une procession, les habitants de Metz défilèrent avec un mannequin à travers les rues avant de le bruler. Le personnage grotesque, armé d’un fouet, poursuivant alors jouvencelles et damoiseaux. Lorsque Metz fut libéré, le personnage fut ressuscité. Sa venue coïncidant avec la St Nicolas, on l’appela alors le Père Fouettard « tanneur de fesses ». Selon les régions que parcourt St Nicolas, le Père fouettard porte un nom différent. En Autriche, on l’appelle Krampus, ce qui signifie crochet. En Allemagne on le surnomme Ruprecht ou Knechtruprecht. Au Luxembourg, le Père Fouettard dénommé Housecker distribue des « rudden » p’tites baguettes «
C’était la fille du Père Noel "J. Dutronc".
Je l’ai trouvée au p’tit matin
Toute nue dans mes grands souliers
Placés devant la cheminée
Pas besoin de vous faire un dessin
De battre mon cœur s’est arrêté
Sur le lit j’ai jeté mon fouet
Tout contre elle je me suis penché
Et sa beauté m’a rendu muet
Fatigué j’ai la gueule de bois
Toute la nuit j’avais aidé mon père
Dans le feu j’ai mis du bois
Dans la ch’minée y avait pas son père
C’était la fille di Père Noel
J’étais le fils du Père Fouettard
Elle s’appelait Marie Noel
Je m’appelais Jean Balthazar
Je prends la fille dans mes bras
Elle me dit mais non Balthazar
Ne fait donc pas le fier à bras
Je suis tombé là par hasard
Toute la nuit j’avais fouetté
A tour de bras les gens méchants
Toute la nuit elle avait donné
Des cadeaux à tous les enfants
(Paroles de Jacques Lanzmann)
https://www.youtube.com/watch?v=yadZX9XVznk
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