Des cambrioleuses au Louvre pour...

...La Grande Odalisque

Je viens de finir cette BD et je suis encore sous le charme. Il y a plein de choses dans cet album et pas seulement de l’action comme on pourrait le croire. Certes les filles sont des cambrioleuses donc ça bouge beaucoup mais toujours avec élégance et humour. Il y a entre scènes d’action, discutions entre filles, du suspense, c’est un régal. Je crois que les auteurs Vivès, Ruppert et Mulot ont envie de nous suggérer la possibilité d’amour lesbien ou phantasme. En quelques lignes, Alex et Carole monte-en-l’air forment un duo hors pair, pourtant leur dernier casse ne s’est pas vraiment déroulé comme prévu. Il est temps pour les filles de recruter pour leur prochaine mission. En effet, ces demoiselles doivent dérober la Grande Odalisque exposée au Louvre. La sécurité mise en place dans ce musée est telle que le renfort de Sam n’est pas du luxe, dont les multiples talents de cette dernière seront utiles. Ces trois félines  qui n’ont pas froid aux yeux sont prêtes à tout pour réussir. Une aventure de haut vol, album aux couleurs raffinées par Isabelle Merlet. Peut-être un tome 2 !

Dans la rubrique ''à la source''

La Grande Odalisque (1814) peint à Rome se trouve actuellement au Louvre. Bien qu’oriental par le thème et le décor, ce nu le plus célèbre d’Ingres a été commandé par Caroline Murat, sœur de Napoléon. L’Odalisque est peint avec de longues lignes sinueuses ressemblant peu à la réalité anatomique (épine dorsale trop longue, sein déplacé) au profil d’un art abstrait et intemporel. Ce tableau a attiré de vives critiques quand il a été exposé au Salon de 1819. Cette femme allongée sur un divan est offerte parce qu’elle est nue et tourne son visage vers nous. Le titre de la peinture, qui signifie ''femme de harem'' et les accessoires qui l’entourent évoquent l’Orient sensuel.

Astr’Olkif, l'homme Scorpion …

Astr'Olkif

(23-10/22-11) L’homme Scorpion…

… de haute taille, robuste, vigoureux. Une mâchoire carrée, des yeux pénétrants, souvent clairs où châtain doré, un regard inquisiteur, des muscles et un thorax développé. Il est doué d’une grande force physique qui, dans le type le plus ascétique et moins négatif, se transforme en force morale, patience et amabilité. En amour, l’homme Scorpion est possessif et extrêmement jaloux, bien qu’il évite de le montrer par orgueil. Il exige d’être toujours et de toute façon au centre de l’attention et du souci de la femme aimée, et n’admet pas d’être négligé. Il désire une femme forte pour pouvoir lutter avec elle, il est capable de s’adapter à sa personnalité et de devenir romantique pour la conquérir. Il est sensuel, ardent, passionné, et capable d’avoir des réactions violentes contre qui désirerait sa femme. Attiré par les sports audacieux et violents, le Scorpion sera un coureur téméraire ou un parachutiste. Il aime le jeu, quand il présente un risque, et pourra perdre ou gagner, de grosses sommes, avec une alternance d’émotions qui le feront se sentir « vivant ». L’homme Scorpion manifeste souvent son feu passionnel comme artiste : il sera peintre, sculpteur, compositeur. Audacieux, il pourra également devenir pilote, astronaute, marin. Il n’aime pas les travaux tranquilles. La force et le génie du Scorpion attirent ceux qui l’entourent, qui sont en outre conquis par son habile flatterie. La conversation du Scorpion est intelligente est pleine d’intérêts, ce qui le fait rechercher et apprécier. Normalement il jouit d’une excellente santé, bien qu’il ait tendance à la négliger. Parfois ses nerfs ne supportent pas la tension à laquelle ils sont soumis, et le surmenage peut se transformer en dépression nerveuse, maladie qui frappe assez souvent le Scorpion.

Dans la rubrique ''à la source''

2^e décan 02-11/11 : Saturne  va vous contrarier en cette fin d’année. Vous aurez des soucis à gérer, que ce soit dans le domaine professionnel ou affectif. Le positif sera le bon aspect que Jupiter vous enverra en cette fin d’année. Vénus pourrait vous apporter séduction et souplesse dans vos relations amoureuses.

 

 

2e Week-end après la fête de Saint Léonard.

La  Quintaine…

… à Saint-Léonard-de-Noblat, dans la Haute-Vienne, le 2^e Week-end qui suit le 6 novembre (Saint- Léonard), la confrérie qui honore ce saint se réunit, depuis le XIe siècle pour fêter la « Quintaine ». La Quintaine est un jeu d’adresse et de force très ancien et, à Saint-Noblat c’est aussi le nom donné à un caisson de bois peint, figurant un château-fort à quatre tourelles qui symbolise une prison. Après un festin les membres de la confrérie se rendent à l’église pour chercher la « Quintaine ». Les confrères gardent leur serviette autour du cou rappelant ainsi qu’au moyen-âge, les repas étaient interminables et que la fête se déroulait entre deux plats… Les confrères portent la « Quintaine » et, précédés d’un violoneux, ils parcourent la ville à pied ou à cheval en chantant la chanson de Saint Léonard. Au passage on invoque les statuettes du saint et le cortège arrive sur la place de la Libération. Là, on fixe sur un p’tit mât de bois la « Quintaine » montée sur un pivot, on la salue, le cérémonial s’achève, le jeu commence. Les cavaliers frappent de leur p’tite masse (le quillon) la prison de bois. Les vivats de la foule et les accords du violon ponctuent chaque assaut. A la fin, les morceaux épars du Château sont récupérés par les habitants du village, car ils sont supposés avoir des vertus bénéfiques pour ceux qui les possèdent.