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28/03/2014

Numérologie, la symbolique du nombre''3''

Le nombre ''3'' est celui du triangle…

numéro 3.png… et la première image qui vient à l’esprit. Mais c’est aussi, bien sûr, tout ce qui évoque la trinité. Le 3 indique une direction, il désigne des êtres qui ont pour vocation de se donner un but. Le sommet du triangle représente en cela l’idée de se diriger vers quelque chose de déterminé. Lorsque le but choisi par le 3 se révèle chargé de difficultés, lorsque le chemin est périlleux, alors le 3 devient le signe de la tension. Ce chiffre 3 a un goût pour l’anticipation, nombre du futur. Le 3 désigne des personnes complexes, ayant le goût des finesses, de l’humour et de la sympathie. Le 3 va vite, comme la flèche, sa vivacité est le signe d’une bonne intuition, c’est le nombre de la gaieté, et de la mobilité. Son art préféré sera plutôt la musique que la sculpture car il est plus à l’aise dans l’immatériel. Il aime les subtilités intellectuelles, c’est par l’esprit qu’il séduit et qu’il est séduit. Le 3 refuse la négation, la dissociation, contenues dans le 2, mais si ce trait est poussé à l’extrême, alors la personne dominée par le nombre 3 pourra devenir instable. En outre,  ayant tendance à se savoir habile, le 32014-03-07_10h53_13.png pourra s’engager dans des voies incertaines et faire des investissements à haut risque. La tradition appelle le « troisième œil » le sens de la connaissance, de la sagesse, de la lucidité. Elles peuvent être fascinées par l’idée de l’au-delà, voire de l’occultisme. Le 3 est également à l’aise dans l’univers de la spiritualité que celui de la vie matérielle. Instables mais vifs, mobiles mais exigeants, les personnes dont le nombre est 3 sont des êtres foncièrement attirés par l’aventure, la nouveauté, la découverte.dés.gif

26/03/2014

La bénédiction du chêne (Grand'Guerre)

DSC00481.JPGCette ''Grand'Guerre'' n'épargna rien ni personne....

...pas même les amoureux. C'est au pied du chêne centenaire que le p'tit soldat viendra mourir. C'est ainsi que le représente la couverture de la partition de cette chanson. Paroles André DARNETY, musique Jules HUBERT et Georges MALIGNE.

  •           Premier couplet
  • Aux beaux jours de paix, loin des yeux du monde
  • Le brave Jean-Pierre et sa Jeanneton
  • Parcouraient tous deux la forêt profonde
  • Heureux d'écouter du vent la chanson.
  • Bientôt  enlacés au pied d'un vieux chêne,
  • Sous l'ombrage du géant des bois,
  • Débordant d'amour, dans la paix sereine,
  • A leurs doux baisers répondaient des voix.
  •           Refrain
  • L'orchestre des oiseaux chantait avec mystère
  • L'andante de l'amour à deux, qui vont s'unir.
  • Comme un père indulgent, le chêne centenaire
  • Tendait ses bras pour les bénir.
  •           Troisième couplet
  • Hélas un matin là-bas dans la plaine
  • Jean-Pierre est tombé gravement blessé
  • Mais il veut quand même aller jusqu'au chêne
  • Où fut échangé le premier baiser.
  • C'est l'adieu dernier au vieux centenaire
  • D'un jeune amoureux revenant mourir
  • Sous le chêne aimé, qui comme un bon père
  •  fût le doux témoin d'un cher souvenir.stylo plus.gif

24/03/2014

Une de nos croyances populaires.

Les saints protecteurs…

2014-03-19_16h40_24.png…ont toujours présenté un double visage, à l’image des dieux antiques dont ils ont pris la place. Guérisseurs de maladies parfois bien spécifiques, ils étaient aussi soupçonnés d’en être les acteurs. C’est ainsi que Saint Yves, actuel patron des avocats et protecteur de la Bretagne, était bien connu pour guérir n’importe quel mal. Son pouvoir était tel qu’on le considérait aussi comme un efficace jeteur de sorts. On l’invoquait pour qu’une bonne maladie longue, douloureuse et mortelle atteigne un ennemi personnel, en faisant pieusement trois fois le tour d’une de ses chapelles.

Histoire de la Médecine 

 2014-03-19_16h44_58.pngLe 245 ème pape Benoit XIV (1675-1758) décida que les enfants devaient être baptisés dans le ventre de leur mère lorsque l’accouchement se présentait difficile ou impossible. Le prêtre ou une autre personne devait introduire  de l’eau tiède dans sa main jusqu’au contact de la poche dans laquelle se trouvait l’enfant et réciter ainsi les paroles rituelles… On pouvait aussi utiliser une seringue ou un siphon. Le docteur Verrier inventa pour cet usage un simple irrigateur qui fut lui-même perfectionné par la suite. Ces appareils distributeurs de baptême existaient aussi en Angleterre. Ils avaient été prévus en effet pour donne une vie religieuse à tout enfant avant même l’accouchement.la plume@.gif