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13/02/2024

Black Dog 13 02 2024

*Black Dog*, est un album one-shot, ou Jean Claude Götting en est le scénariste, s’est un polar noir dans la plus pure tradition hollywoodienne ayant quelques flash-back. Les dessins sont simples, modernes, sa mise en couleur agréable, résultat de Jacques de Loustal,  le designer. Après quelques pages annonçant la couleur, nous sommes en pleine été, la société Gordon Cooling reçoit un coup de fil de Mme Deville, riche jeune femme blonde ,bien roulée, délaissée par son mari, leur signalant une panne de climatiseur. C’est la troisième fois ce mois ci, et c’est encore notre Pancho qui va intervenir, heureux d’avoir été appelé. Mais voilà, cette fois sur place, il trouve son amante (ben oui) en pleurs au bord de la piscine : son gros chien noir flotte entre deux eaux, noyé, et lesté par une jante de voiture. Mais, que s’est-il passé ? A savoir qu’alors, quelques jours plus-tôt, l’immigré polonais Stefan Slovik est 2024-01-25_15h05_18.pngencore mécano chez Joe’s Garage, pour 50$ la semaine .Arrive alors ce Monsieur Deville, et ses hommes de mains, ils sont à bord d’une voiture fumante. Après y avoir soulevé le capot, le verdict de Joé est simple : c’est la culasse. Il faut aller chercher la pièce à Esperanza…, mais pas maintenant pour le patron du garage, car c’est l’heure du déjeuner. Cette réparation devant prendre environ quatre heures. Ce riche Deville propose alors de doubler le prix de la réparation, mais son offre lui est refusée. Deville se trouve contraint d’aller déjeuner à la cafétéria d’en face. C'est alors que Stefan, le mécano prend alors secrètement l’initiative d’aller chercher la pièce et de la remplacer durant le déjeuner. Agréablement surpris par cette initiative, Deville le remercie en lui laissant sa carte de visite, en lui assurant quelques futurs p’tits travaux. De son coté, Joé, contrarié..., c’est lui le patron décide de remercie Stefan, en le virant illico presto de son garage. Stefan se retrouvant donc sans emploi et va prendre n’importe quelques p’tits boulots. Après une expérience foireuse de plongeur dans un resto chinois, et étant traité comme une sous-merde, il se décide d’appeler Deville. Le puissant parrain lui offre alors un flingue, une photo et la somme de 2000$ pour exécuter un contrat. Et..., alors ?  Il va falloir vous procurer l’album pour découvrir la suite… C’est aux éditions « Casterman ».

 *P’tit moment de détente*

2024-01-19_12h11_40.pngMon premier est grand-père.

Mon second est une langue.

Mon tout est une plante des bord du Nil.signature_26.gif

 

 

Commentaires

Voici la réponse: Le Papyrus du Nil.

Écrit par : victoire.antoux@laposte.net | 14/02/2024

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