Pizza pepperoni

La pizza pepperoni américaine. Ce n’est certes pas un événement pour la gastronomie mondiale, mais c’est bien une victoire pour les militaires américains qui attendaient goulûment la nouvelle. C’est donc après cinq années de recherche, que la pizza aux pepperoni intègre les rations alimentaires de combat de l’armée américaine. Évidement, cette pizza militaire n’a pas grand-chose en commun avec celle confectionnée par un pizzaïolo napolitain. A sa décharge, pour intégrer l’ordinaire des troupes, elle devait respecter un cahier des charges plutôt strict : la pizza devait rester mangeable pendant au moins trois ans, résister aux températures extrêmes, supporter une chute de 30 m, etc. D’après les nutritionnistes de l’armée, ce sont la conservation de la pâte et surtout son « croustillant » qui leur ont posé le plus de problème dans l’élaboration, interrogé par le New York Times, un pizzaïolo star de Boston a estimé qu’elle avait la saveur d’une pizza… surgelée. Ce qu’admet volontiers l’armée américaine qui indique : «  Ces pizzas sont faites pour être mangées quand vous êtes trempé, quand vous avez froid et quand vous êtes affamé. Elles sont meilleures dans ces conditions. On en salive d’avance…
Seriez-vous un peu matheux.
« Ancienne épreuve du certificat d’études »
Un grossiste réceptionne un wagon-citerne de 80hl de vin achetés 120 F l’hectolitre. Il paie en sus les droits de régie (25F/hl, le transport par chemin de fer (18F/100kg) et la mise en citerne par pompage qui revient à 30F. Il y a 20 litres de perte au cours de cette opération.
Question : Si l’on considère qu’un litre de vin pèse 1 kg, quel est le prix de revient d’un litre de vin mis en citerne ?