Hervé Bourhis/Lucas Varela, Le Labo.

*Le Labo* Nos sommes dans les années 1970, ou un projet français aurait bien pu inventer "Internet" avant d'être bêtement stopper. C'est donc à partir de là qu'Hervé Bourhis a imaginé avec beaucoup d'humour, l'histoire de cette entreprise familiale charentaise "Bercop", à cette époque leader européen de la photocopie. Madame Koshin, propriétaire d'une maison bourgeoise attenant à leur ancienne usine désinfecté est sur le point de la vendre. Le mauvais temps oblige les futurs acquéreurs de rester à l'intérieur et vont découvrir cette longue aventure de Jacques-Marie Bertrand, désirant innover, va créer en plus de son usine, 〈 Le Labo〉. Il remettra les clés à son fils Jean-Yves.

Visionnaire, aidé par la fumette et un as de la programmation, champion de la miniaturisation et un designer doué. Il crée * l'ordi-sympa * qui ressemble fort bien avant que les premier MAC et PC en voient le jour. Il imagine avant tout le monde le téléphone portable.  Sa sœur également fondue de jeux vidéo, croit à ce monde de science-fiction, et elle a raison sauf que tout va finir en eau de boudin. Voilà une BD menée tambour battant, ou son dessin au côté rétro, rond, coloré par Lucas Varela fait merveille, il enrichit fortement cet album. C'est aux " Editions Dargaud ".

*Le 7 juillet 1836* Quel journaliste lance le grand quotidien * La Presse ? * Ce journal sombrera en 1927 après la fausse annonce de l'arrivée de Nungesser à New York ?

1 É*il* *e *ira**in

2 C**rles F*ur**r

3 **arle* *en**vier

Semaine 28/52-2024

*Semaine 28/2024*. Bonjour les ami(e)s du lundi 08 Juillet. Commençons –la alors gentiment avec les deux dessins ci-dessous. Ils se ressemblent mais ne sont pas identiques. Effectivement, 10 p’tites maladresses font la différence.  

 

C’est à suivre aux adresses suivantes : http://collectifcarreverlaine.hautetfort.com https://radio.fr/s/laradiosanspub   #collectifcarreverlaine   

 

Les fables autonomes (2e partie)

*Les fables autonomes* (l’intégrale).

Avec cette seconde partie toujours très originale, et comme à son habitude, Jean-Yves Ferri, le teneur, semble qu’il ait tout fait pour désarmer à l’avance la critique. La vider de son fiel et de tout ce qu’il était possible d’articuler avec évidence sur la ruralité, cette gaudriole et picaresque des années cinquante. Ainsi, cet obscur et pontifiant Bernard Lassablière, aigri probablement par le succès mérité parla rédaction de BDGest, la présente plutôt assez bien. Comme, Léda engendre « l’Iliade et l’Odyssée » via ses œufs où se lovent « Hélène et Clytemnestre » tout Aimé Lacapelle, tous « les Retour à la Terre » et tout « De Gaulle à la plage » sont des enclos dans ces récits mêlant poésie et comique. Difficile de lutter ! Évidemment, il resterait à faire état de « La ruralité âpre et violente » qui imprègne des récits à mi chemin entre réalisme social des Raisins (…). Des histoires qui s’enchainent parfaitement bien, comme a retenu sa fille Anouck, dans l’oncle Grizzly, avec cette dernière case où il dit : « que son ogritude c’était de l’amour refoulé ». C’est à découvrir !  Aux éditions « Fluide glacial »  Olkif Clrdemetz