28/03/2014
Numérologie, la symbolique du nombre''3''
Le nombre ''3'' est celui du triangle…
… et la première image qui vient à l’esprit. Mais c’est aussi, bien sûr, tout ce qui évoque la trinité. Le 3 indique une direction, il désigne des êtres qui ont pour vocation de se donner un but. Le sommet du triangle représente en cela l’idée de se diriger vers quelque chose de déterminé. Lorsque le but choisi par le 3 se révèle chargé de difficultés, lorsque le chemin est périlleux, alors le 3 devient le signe de la tension. Ce chiffre 3 a un goût pour l’anticipation, nombre du futur. Le 3 désigne des personnes complexes, ayant le goût des finesses, de l’humour et de la sympathie. Le 3 va vite, comme la flèche, sa vivacité est le signe d’une bonne intuition, c’est le nombre de la gaieté, et de la mobilité. Son art préféré sera plutôt la musique que la sculpture car il est plus à l’aise dans l’immatériel. Il aime les subtilités intellectuelles, c’est par l’esprit qu’il séduit et qu’il est séduit. Le 3 refuse la négation, la dissociation, contenues dans le 2, mais si ce trait est poussé à l’extrême, alors la personne dominée par le nombre 3 pourra devenir instable. En outre, ayant tendance à se savoir habile, le 3
pourra s’engager dans des voies incertaines et faire des investissements à haut risque. La tradition appelle le « troisième œil » le sens de la connaissance, de la sagesse, de la lucidité. Elles peuvent être fascinées par l’idée de l’au-delà, voire de l’occultisme. Le 3 est également à l’aise dans l’univers de la spiritualité que celui de la vie matérielle. Instables mais vifs, mobiles mais exigeants, les personnes dont le nombre est 3 sont des êtres foncièrement attirés par l’aventure, la nouveauté, la découverte.
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21/03/2014
Cette guerre silencieuse en BD.
Les guerres silencieuses…
… sous forme de BD de Martin JAIME relie famille et histoire, traumatismes d’hier et difficultés d’aujourd’hui. A l’aube des années 2010, entre mal de vivre et perte de repères créatifs, un jeune dessinateur barcelonais choisit de puiser aux sources de son histoire familiale. Il raconte le service militaire de son père en Afrique du Nord lors de la guerre d’Ifni qui opposa l’Espagne et le Maroc. Raconter cette histoire, c’est aussi raconter celle de la jeunesse de ses parents sous le franquisme, dans un monde régi par un ordre social entièrement soumis à la pression religieuse et militaire d’un état totalitaire. Une société à l’opposée de
l’Espagne d’aujourd’hui, que JAIME Martin ausculte à travers la mémoire intime de ses patents. L’auteur nous plonge au cœur des relations entre générations dans l’Espagne contemporaine.
A la source
Il faut savoir que le Maroc obtint son indépendance politique de la France et de l’Espagne en mars 1956. Un mois plus tard, la France abandonna officiellement son protectorat sur le pays. L’Espagne fit de même pour ses territoires du Nord mais conserva Ifni et le Sahara occidental. Ifni est un territoire du Sud-est du Maroc cédé à l’Espagne par le sultan Muhammad ibn’ Abd al Rahman en vertu du traité de Wad-Ras, qui mit fin à la guerre d’Afrique en 1860. La présence espagnole ne s’y concrétisa qu’en 1934, quand le gouvernement de la IIème République ordonna d’occuper le territoire et d’y ériger la
capitale, Sidi-Ifni. A la fin de 1957, dans le contexte général de décolonisation de cette zone, l’Armée de libération marocaine (celle qui avait lutté contre la France pour l’indépendance) lança une série d’attaques contre les garnisons d’Ifni, ce qui déclencha une guerre entre l’Espagne et le Maroc. En 1958, les parties signèrent un cessez-le-feu. En application de la résolution 2072 de l’ONU, la colonisation d’Ifni à pris fin en 1969 et celle du Sahara occidental en 1975.
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19/03/2014
Les émouleurs disparaissent...
Thiers, ville de la coutellerie…
… comptait 800 émouleurs il y a plus d’un demi-siècle, aujourd’hui il en reste quelques uns. C’est la dureté du travail et surtout la mécanisation qui ont fait disparaître ce corps de métier. L’originalité de la maison du Coutelier (musée) à Thiers est de proposer aux visiteurs une démonstration permanente dans des ateliers encore en activité. Allongé sur sa planche au-dessus de la meule arrosée par un filet d’eau, l’émouleur travaille la lame de couteau qui sera montée sur un manche de corne ou de bois. A retenir ce magnifique ouvrage « Thiers ateliers d’artisans couteliers » livre artistique sur le monde coutelier d’aujourd’hui. Les auteurs de cet ouvrage ont voulu plutôt montrer les ateliers, les machines, les outils et surtout les hommes. Ces professionnels aiment parler de leur métier, même si tout n’est pas rose.
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