Marchand de bombons...

Salto est un album de 350 pages, à la couverture et au titre intrigants « L’histoire du marchands de bombons qui disparut sous la pluie ». C’est un récit fleuve écrit par Judith Vanistendael/Mark Bellido, dessiné essentiellement aux crayons de couleur par Aline Zalko, qui nous transporte au cœur des années noires du terrorisme basque espagnol. Épisode ou juges, fonctionnaires, hommes politiques, intellectuels vivaient sous la menace de la violence indépendantiste de l’ETA. Plusieurs centaines d’entre eux sont morts, mais certains sauvés par leurs « Txakurras », chiens en basque. C’est ainsi qu’étaient surnommés les anges gardiens, gardes du corps formés sur le tas. Donc, cette histoire se déroule en 2006, Miguel, vendeur de bombons, vit avec femme et enfants dans un p’tit village d’Andalousie. Il a du mal à s’impliquer sérieusement dans son travail et notamment à se faire payer par ses clients, qu’il adore, ce qui ne convient pas vraiment à son patron. Son rêve serait de devenir écrivain, mais voilà, il manque d’inspiration. Alors, lorsqu’il entend une annonce à la radio proposant de devenir garde du corps au service de l’État au Pays Basque, il n’hésite pas une seule seconde et embarque toute sa famille dans cette mésaventure. Une nouvelle vie commence, partagée entre l’angoisse, l’ennui et la camaraderie. Jusqu’au jour où tout bascule…
16 juillet 1965
Le tunnel routier du Mont-Blanc, le plus long du monde, est inauguré par les présidents de Gaulle et Saragat. Quel est son débit horaire possible. Est-ce ?
1) 350 voitures.
2) 400 voitures.
3) 450 voitures.

Notre Fête Nationale

Comme chaque année, le 14 Juillet, on le commémore par un défilé militaire, en dansant et en admirant de superbes feux d’artifices. Mais il faudra attendre presque un siècle pour que l’Assemblée adopte le 14 juillet comme jour de Fête Nationale (14 juillet 1789, prise de la Bastille/14 juillet 1889, célébration du premier centenaire se la révolution qui coïncide avec l’Exposition Universelle). La matinée de cette journée est réservée aux inaugurations et autre défilés militaires, place au banquet républicain et à ses discours. L’après-midi est consacré aux jeux, manifestations sportives et culturelles, auxquelles participe la population en liesse… qui doit quand même garder ses jambes pour le bal populaire du soir ! Depuis, si la ferveur républicaine est un peu retombée, 227 ans après…,le bal du 14 juillet est toujours aussi prisé.
9 juillet 1912
Quel coureur de fond bat son record de France des 5000 m aux jeux Olympiques de Stockholm, record inégalité pendant 36 ans ?
Est-ce ?
1) J*sep* *uillem*t.
2) *au* *on*emps.
3) J*a* B*u*n.

La légèreté

La légèreté est un récit autobiographique de Catherine Meurisse dessinatrice depuis une dizaine d’années à Charlie Hebdo. Afin de vous laisser emporter plus facilement dans son histoire, ne passez pas la préface de Philippe Lançon. Son histoire graphique commence ainsi : Nous sommes le 7 janvier 2015, Catherine est au fond de son lit, elle n’arrive pas à se lever à cause d’un type qui vient de la larguer récemment. Ce malotru par son attitude de lâcheté vient de la sauver d’une horrible tuerie. En effet, cette déprime matinale l’a empêché d’arriver à l’heure au journal ou elle travaille. Au pied de l’escalier qui mène à la rédaction, elle apprend par des passants qu’il y a une prise d’otages à Charlie. Elle prend cela pour une plaisanterie, juste avant qu’une rafale de mitraillette vienne la faire réagir. En haut, c’est le chaos, qui tourne en tragédie humaine. Elle vient de perdre des amis, en plus de son chagrin, elle se sent coupable de ne pas avoir été là. et n’a plus l’envie de dessiner. Afin de trouver l’apaisement, n’ayant plus envie de dessiner, elle consigne les moments d’émotions vécus après l’attentat. Un cadeau à offrir coûte que coûte parce qu’il réconcilie chacun, parce qu’il dit le chagrin, la mort, l’inacceptable mais aussi la relève.
7 juillet 1836
Quel journaliste lance le grand quotidien La Presse ? Ce journal sombrera en 1927 après la fausse annonce de l’arrivée de Nungesser à New York.
1) É*ile de *irar*in.
2) Cha*les *ou*ier.
3) C*ar*es *enou*ier.