Ce qu'il faut de terre

Ce qu’il faut de terre à l’homme, album graphique scénarisé par Martin Veyron (d’après une nouvelle de Léon Tolstoï, 1886)) et superbement coloré par son frère Charles. Sur son lopin de terre de Sibérie, le paysan Pacôme vit avec sa femme et son fils. Il n’est pas riche mais subvient aux besoins de sa famille. Dans un premier temps, le modeste Pacôme parait sage et réfléchi. Il trouve même la bonne solution pour apaiser le village. Mais sa bêtise croit avec son envie de posséder de plus, en plus de terres. Son ambition l’aveugle et n’écoute plus sa femme qui, elle, est restée lucide et philosophe. Un jour, un marchand de passage affirme à Pacôme que les Bachkirs, paysans de la Russie de l’Est, vendent leurs terres à bon marché. C’est tentant, il s’y rend accepte un certain marché qui va lui être... Voilà un superbe récit qui se lit comme une plaisante légende.
20 octobre 1849,
On célèbre à Paris les obsèques de celui qu’Henri Heine surnommait le « Raphael de la musique ». On y remarque l’absence de George Sand.
Est-ce ?
1) E**enne *é*ul.
2) F**déric *ho*in.
3) Ado**he A**m.

 

P'tite maman

P’tite maman, roman graphique bouleversant, très soigneusement dessiné, ou Halim l’auteur excelle aussi bien dans la forme que le fond. Sujet difficile évoqué avec justesse à travers une fiction et qui fait encore de nos jours, de nombreuses victimes. Lorsque Brenda vient au monde, sa mère Stéphanie, a seulement 15 ans et son père s’est déjà éclipsé. Dépassée, elle se retrouve seule pour élever Brenda. Pourtant négligée, la fillette grandit vite et apprend à se débrouiller seule. Leur vie va basculer quand Stéphanie rencontre Vincent, un homme alcoolique et violent. Malgré les bleus et brimades injustes dont elle est victime, Brenda s’estime responsable de sa mère et de son p’tit frère, et devient pour eux leur « p’tite maman ». C’est touchant, violent et bouleversant à la fois. A lire absolument.
23 octobre 1944,
Il avait dit en abandonnant les Philippines aux Japonais : « Je reviendrai » Il débarque alors dans l’île de Leyte, au cœur de l’archipel.
Est-ce ?
1) *a* *rt*ur.
2) Ei*en*o*er.
3) *ra**ey.

L'Abyssin.

L’Abyssin, le connaissez-vous ?

 L’Abyssin, c’est le nom d’un beau chat, originaire semble-t-il de L’Abyssinie, ancien nom de l’Éthiopie ? D’autres penchent pour l’Égypte. Ce qui est sûr, c’est son apparition à Londres à la fin du XIXe siècle. En France, il fallut attendre le début des années 1930 pour admirer celui qui demeure, aujourd’hui encore, l’un des chats les plus félins, peut-être comparé à un puma miniature. Avec sa démarche majestueuse, comme à peine posé sur ses pattes fines l’Abyssin se révèle un véritable sauvage de salon ! Sa fourrure, courte et lisse, doit, précise le standard, être tiquetée, mais sans zébrures et sans taches blanches. Pour la couleur, si le ton lièvre et le faux roux comptent parmi les plus rencontrés, le bleu et le silver (argenté) donnent également de magnifiques sujets, tous plus tendres les uns que les autres. L’Abyssin, sous ses dehors sauvages, vivra chez vous, certes comme un véritable feu follet, mais discret, digne et câlin. Contrairement à ce qu’on pense des chats, l’Abyssin a un bon rapport avec l’eau, et à l’occasion, il se révèle bon nageur. Derrière ses yeux en amende, cerclés de noir, savez-vous que se cache un chat qui a failli disparaitre pendant la dernière mondiale et dans les années 70, lors de l’épidémie de leucose féline ? La leucémie des chats est aujourd’hui combattue avec succès par la vaccination. Avouez que voir disparaître la copie conforme et vivante du chat égyptien eut été dommage… En moyenne, son prix d’achat en élevage se situe entre 600 et 1600 €, le prix variant en fonction de la lignée, de la réputation de l’élevage, de l’âge du sexe, etc.
11 septembre 1917,
Titulaire de 54 victoires, Georges Guynemer est abattu en Belgique au dessus de Pœlkapelle. Quelle escadrille commandait-il alors. 
Est-ce ?
1) **s *au**ns.
2) L** *ig*e.
3) *e* *i*o*nes.