Plantes succédanées...

• de la farine.
• Le blé, sa farine et son pain, ont depuis toujours été l’aliment essentiel de tout le monde occidental. Les grandes disettes et, aujourd’hui, le gout de l’insolite, ont permis de trouver des succédanés au blé et des méthodes originales et économiques pour fabriquer farines et pains.
• Le pain blanc, fait avec du blé décortiqué, a longtemps été réservé aux populations aisées. Les pauvres utilisaient le blé complet qui est aujourd’hui remis au goût du jour par les maisons diététiques et de nombreuses boulangeries. Le pain complet est devenu beaucoup plus cher que le pain blanc.
• On faisait aussi autrefois du pain avec du sarrasin qui donne du blé noir. Abandonné, celui-ci est à nouveau à l’ordre du jour. En dehors de ces cultures classiques, d’autres plantes, par d’autres méthodes, pouvaient devenir soit du pain, soit de la farine.
• Beaucoup de graines de légumineuses donnent de bonnes farines. Celles des caroubes servent toujours dans la conserverie et la fabrique de biscuits. Les Anglais fabriquaient de la farine avec des graines de nénuphars gonflées dans l’eau. Les Norvégiens en faisaient avec la seconde écorce du saule et même de la sciure !
• Un des plats les plus recherchés en Sibérie est un mélange de caviar et de farine obtenue avec l’écorce des jeunes bouleaux.
• Cette anecdote.
• Sacha Guitry disait de Mozart : « Bien qu’il soit né à Salzbourg en Autriche, le 27 janvier 1756, quand il est venu au monde, il est venu au monde entier. »
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Le procès des rats

• Le rat traîne une sale réputation…
• …, on l’accuse de crimes. On le rend seul responsable de propager des épidémies, la peste surtout.
• Au début du XVIe siècle, les Bourguignons ont intenté un vrai procès aux rats. Motif : ces rongeurs ravageaient le pays. Ils ont déposé une requête auprès du juge ecclésiastique du diocèse d’Autun. Mais les rats ont eu un brillant avocat, Barthélémy de Chassanée qui sauva ses clients. Lors du procès, l’audience fut reportée deux fois à la demande de la défense, constatant l’absence de ses clients. La première fois, l’avocat argua que les rats, dispersés dans la nature, n’avaient pu entendre la convocation. Pendant trois semaines la convocation fut donc lue dans les champs. A la seconde audience, toujours pas de rats, l’avocat faisait valoir que ses clients et leurs p’tites pattes n’avaient pas eu le temps d’arriver jusqu’à leurs juges (voir cet ouvrage « Bêtes et juges »).
• En fait, les rats nous fascinent par leur intelligence et nous savons les apprécier en période de disette. En 1870, en effet, durant le siège de leur ville, les Parisiens étaient bien contents d’en voir figurer à leurs menus.
• Bon à savoir
• Le rat est un vertébré et en tant que tel il a une colonne vertébrale et un squelette. Il s’inscrit dans la classe des mammifères, ce qui signifie que la ratte allaite ses p’tits. Il appartient à l’ordre des rongeurs, avec ses quatre incisives bien tranchantes. Les animaux de ce groupe se distinguent par l’anatomie de leur crâne. Sa famille est celle des muridés, c'est-à-dire de p’tits rongeurs.

Et voilà en 2015...

• Comment tenir…
• …ses bonnes résolutions. Le début d’année est bien souvent le moment des bonnes résolutions. Perdre du poids, se mettre au sport ou arrêter la cigarette.
• Pour enfin réussir à s’y tenir en 2015, fixez-vous des objectifs précis et peu nombreux. Plutôt que de vouloir tout révolutionner le 1^er janvier au matin, fixez-vous 3 ou 4 choses à changer dans l’année et commencez par la plus simple.
•  En effet si vous commencez par une nouvelle habitude très simple, qui n’est pas vraiment une contrainte, et qui donne des résultats concrets vous serez plus motivé pour passer à la bonne résolution suivante.
• Concentrez-vous sur la création d’habitudes durables (par exemple « manger sainement » au lieu de « je veux maigrir ») plutôt que d’essayer d’atteindre un but à court terme qui échouera. Vous maintiendrez votre enthousiasme plus longtemps et ne serez pas écrasé par la difficulté du changement.