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08/11/2018

Bojangles

En attendant Bojangles d’après le roman d’Olivier Bourdeaut est la version scénarisée par Ingrid Chabbert, dessinée par Carole Maurel. C’est l’histoire très poétique d’une famille hors-norme, vivant au gré des fantaisies de la mère. L’essentiel de l’original de cette BD a été conservé, la grâce, le sourire dans toute les circonstances, y compris à l’hôpital psychiatrique. Il y a dans la première partie, quelque chose des années folles, où l’extravagance tenait lieu de première des qualités. Par la suite en revanche, le désenchantement nous happe comme il a happé le tournant des années 30 et 40. La mise 2018-10-12_10h10_50.pngen page est soignée, les regards sont terribles ou touchants, ça transpire la folie débordante, la joie, l’exubérance, la peur, la détresse mais évidement et surtout l’amour !
Véritable régal pour les yeux.
Mais au fait, qui est ce Bojangles ? Il s’agit de William Luther Robinson, danseur de claquettes américain mort à New York en 1949. Son surnom vient de la contraction de « bones jangle » qui signifie «tintement d’os ». La chanson Mr. Bojangles a été écrite en son hommage en 1968 par Jerry Jeff Walker. Interprétée par Bob Dylan, Sammy Davis Junior, Whitney Houston ou encore Robbie William, seule Nina Simone l’a transcendée pour en faire un des plus beaux titres de son répertoire :

https://www.youtube.com/watch?v=LzofnHLOer4  . L’écoute de ce morceau est indissociable de la lecture de ce roman graphique.
3 novembre 1942
« Donnez-moi un mois et je chasserai les Allemands d’Afrique » avait dit Montgomery et oblige Rommel à battre en retraite.
Est-ce à ?
2018-10-12_12h29_10.png1) *ob*ou*.
2) *en**azi.
3) *l-A**mein.signature_37.gif