L'arbre à singes

Sa p’tite histoire
Découvert en 1780, l’araucaria, arbre d’origine indienne, s’appelle également « désespoir des singes », et nous vient tout droit du Chili central. 
Son écorce grise et ridée ressemble à une peau d’éléphant. Ses branches ondulantes, entourées d’un manchon de p’tites écailles dures et piquantes, ne servent pas ici à faire fuir les singes (pour l’anecdote, aucune espèce de singe ne vit au Chili). Il aime les climats chauds et humides et végète un peu dans notre pays. Ses graines sont consommées comme dessert en Amérique du Sud. Le découvreur de l’arbre, Menzies, en glissa quelques graines dans sa poche lors d’un banquet, et en permit l’exportation pour l’ornementation. Un centenaire parisien décore le parc de Bagatelle. Aujourd’hui cette espèce est menacée. Son exploitation au Chili est interdite depuis 1990. Les indiens ont également limité la récolte des graines pour favoriser le renouvellement de leurs forêts.
Dans nos maisons en pot, il est considéré comme plante dépolluante car il élimine les formaldéhydes. Une intéressante chronique est à voir à l'adresse ci-dessous:  http://lafeuillechardinoise.com/?p=2092

25 janvier 1943
La Conférence interalliée de Casablanca se termine. Qui a exigé, pour défendre les intérêts français, la présence de De Gaulle aux cotés de Giraud ?
1) Roosevelt.
2) Churchill.
3) Eisenhower.