21/02/2019
Jonas Fink
« Ennemi du peuple» regroupe les deux premiers épisodes « L’enfance et L’apprentissage ». Nous sommes plongés dans une chronique de la vie en Tchécoslovaquie communiste au sortir de la seconde Guerre Mondiale. A travers le quotidien de Jonas Fink, nous allons découvrir qu’il n’est pas bon d’être un intellectuel à cette époque. Son récit nous raconte l’état d’esprit et l’atmosphère dans laquelle vivaient les habitants de Prague dans les années 50. Jonas a 11 ans quand son père est arrêté par la police politique du régime. Sa mère va constater très vite qu’il est impossible d’avoir des nouvelles de son mari. La vie devient difficile pour cette jeune femme sans ressources qui donne simplement quelques cours de français. Jonas, déclaré « ennemi du peuple » est chassé de l’école et va trouver un p’tit boulot de coursier pour une couturière. Le garçon continue de vivre sa vie d’enfant dans cette Tchécoslovaquie sous contrôle des services secrets, à la recherche de la moindre activité contre-révolutionnaire. Le stalinisme bat son plein, impose la terreur d’état et pratique les emprisonnements arbitraires. A travers la vie de Jonas, Vittorio Giardino réussit à nous faire ressentir l’atmosphère de Prague lors des premières années du régime communiste. Son dessin très travaillé reproduit parfaitement l’ambiance de l’époque. A découvrir sans modération.
22 février 1680
La femme Monvoisin, compromise dans l’affaire des poisons, est brulée vive. Une favorite de Louis XIV y fut aussi impliquée.
Est-ce ?
1) *a m**qui*e *e *onte**an.
2) L* d**hesse d* *ont**ges.
3) La *u**esse *e *a *alli**e.
04:00 Publié dans Artistes, Blog, Carré Verlaine, Consommation, divers, Education, Histoire, Jeux, Livre, Loisirs, Manifestations, Politique, Santé, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
17/02/2019
Putain d'usine T1/2
« Putain d’usine » est bien plus que deux BD, c’est un témoignage direct sur le monde de l’usine, de la pétrochimie en l’occurrence, et du syndicalisme en particulier. On sent un véritable travail en binôme de Jean-Pierre Levaray et Efix. Le texte est cru, noir, haché, ce qui donne un rythme particulier à la lecture, les mots sont justement placés, ce qui permet de s’immerger totalement dans l’histoire. Les albums sont composés de paragraphes annoncés en lettres blanches sur fond noir, comme sont bien souvent très sombres, leurs saynètes d’ailleurs. Cette « Putain d’usine » au demeurant est classée « Seveso 2 », c'est-à-dire qu’elle comporte des risques industriels graves pour les salariés, son voisinage et son terroir. A l’époque ou il rédigeât son livre, J-P Levaray était ouvrier dans cette usine : Son histoire commence par ces tirades : « Tous les jours pareils. J’arrive au boulot. Et ça me tombe dessus comme une vague de désespoir. Comme un suicide. Comme une p’tite mort. Comme la brulure de la balle sur la tempe. On arrive à rêver que la boite ferme. Qu’elle restructure ». Voilà pour le ton des deux albums. C'est aux Éditions Physalis.
18 février 1930
Quels aviateurs français, partent d’Istres, réussissent à battre les records mondiaux de durée et distance en circuit fermé.
Est-ce ?
1) *or*t-Le *ri*.
2) *os*es-C**os.
3) *er*o*-Le**inte.
05:02 Publié dans Artistes, Blog, Carré Verlaine, divers, Education, Histoire, Jeux, Livre, Loisirs, Manifestations, Politique, Santé, Transport, Voyage, Web | Lien permanent | Commentaires (2)
14/02/2019
Le berger australien.
"Le Berger Australien" est le chien préféré des Français en 2018, et se retrouve à la première place du classement. Chaque année, la Société Canine, dévoile le nombre d’inscriptions de chiens au livre des Origines Français. C’est donc le berger australien qui occupe la plus haute marche du podium détrônant le berger belge. Le berger australien est pour la première fois, le chien de race qui a enregistré le plus de naissances sur le territoire français, avec 12 906 inscriptions. Sa popularité ne cesse d’augmenter avec 100 000 bergers australiens en France contre 130 en 1997. Contrairement à ce que son nom sous-entend, le berger australien n’est pas originaire d’Australie, mais des Etats-Unis, ce sont des fermiers américains qui ont développé la race dans les années 1900 afin d’avoir un chien capable de rassembler le bétail. Il est reconnaissable par sa couleur, bleu « merle », rouge « merle », avec ou sans taches noires ou marques feu. Son poil parfois légèrement ondulé, ne craint pas les intempéries. Le sommet de son crâne est à peine bombé, la longueur du museau et la largeur du crâne sont pratiquement les mêmes. Ses oreilles triangulaires et tombantes sont attachées haut, ses yeux en forme d’amande sont vairons et particolores. Son poids varie selon son genre de 20 à 35 kg, corps cintré, moins haut que long, croupe légèrement inclinée et poitrine haute. Sa queue est droite et doit pas mesurer plus de 10 cm. Cette race est faite pour l’action, d’instinct, il est tout à fait capable de mener ou de garder un troupeau. Peu fragile, il endure facilement les longues journées. Il est apprécié pour sa loyauté et son tempérament équilibré, compagnon très agréable pour toute la famille. Pour son alimentation et a titre indicatif, on conseil généralement des croquettes entre 280 et 320 grs/ jour à fractionner en 2 repas.
Inscription au LOF 2018
Top 20 des chiens de races préférés des Français.
05:00 Publié dans Actualités, Animaux, Associations diverses, Blog, Carré Verlaine, divers, Education, Habitat, Histoire, Livre, Loisirs, Manifestations, Santé, Web | Lien permanent | Commentaires (0)