Ballade

Ballade. BD sous forme de road-movie, scénarisée par Nicolas Courty et Jean-Christophe Deveney, vont apporter de la fraicheur dans cette lecture plaisante. Pas de sujet sérieux ou trop complexe, juste l’histoire de deux hommes que rien ne prédestinait à se rencontrer. Ils vont vivre un été inoubliable semé de cambriolages, de squats de villas et de fêtes bourgeoises. David Combet nous offre des dessins aux traits géométriques et des couleurs qui s’attachent bien aux personnages. Éditions Grand Angle.
Seriez-vous perplexe ! « Les métiers et leur matériel ».
Voici une liste de 10 noms de métiers et une liste de dix objets se rapportant à chacun de ces métiers. Saurez-vous associer le métier et l’objet qui lui correspond ?
Les métiers : Le berger, le peintre, le chirurgien, le forgeron, le menuisier, le boucher, le bucheron, la dactylo, le dentiste, le pécheur.
Leur matériel : La canne, la machine à écrire, la hache, le couteau, la scie, la roulette, la houlette, l’enclume, le pinceau, le bistouri.

 

Le meilleur job du monde.

Le meilleur job du monde. Christophe Bec, excellent scénariste, nous entraine avec efficacité dans cette suite d’événements, ou pour connaitre le dénouement, il faudra impérativement se procurer son dernier numéro. Les dessins de Rafa Fonteriz et couleurs de Facio s’ajoutent harmonieusement au décor. Un p’tit retour sur les albums précédents, avant de terminer cette trilogie. L’État australien du Queensland organisait un concours, dans le cadre d’une campagne de promotion touristique. A la clé, 150 000 dollars pour un poste de gardien d’une île paradisiaque, mais déserte et, pour une durée de 6 mois. Nous connaissons alors le vainqueur, Doug Ellis, jeune trader londonien, et sera logé dans une villa tout confort. Tout semble idyllique, quoique que certains détails commencent peu à peu à l’intriguer, comme cette étrange croix plantée sous un arbre dans le jardin, ou encore cette pièce ou on lui a interdit l’entrée. Explorant cet endroit, son rêve va bientôt tourner au cauchemar et comprendre ce qu’est réellement ce lieu. Pourquoi il est là, est-il vraiment seul ? Dommage pour un final, plutôt curieux, j’attendais mieux ! C’est aux Edition « Soleil »
Seriez-vous perplexe !
Dandy a une liste de noms de poissons. Essayez comme lui de séparer les poissons de mer et les poissons d’eau douce, (en évitant le dico).  * Le brochet, L’anguille, le goujon, le maquereau, la sole, la raie, la perche, le saumon, la sardine, le thon, la carpe, la tanche *
Et alors !!!

Que deviennentnos étrennes ?

Que deviennent nos étrennes ?

Les étrennes, et son histoire. L’usage nous viendrait des Romains, on donna à ce qui était de p’tits présents le nom de « Strenæ » dont nous avons fait étrennes. Les premiers Romains s’envoyaient mutuellement, au commencement de l’année, des cadeaux d’une grande simplicité (fruits secs, miel ,etc.). Au fil du temps, les présents prirent de la valeur, les étrennes souvent combattues, persistèrent malgré quelques saints

qui les qualifièrent de diaboliques ! Quelques années avant 1789, les étrennes à la mode dans la haute société, étaient des porcelaines de Sèvres. Sous la Révolution, les étrennes furent abolies par le gouvernement républicain, puis remis au gout du jour par Bonaparte devenu Empereur. Les plus anciens se souviennent des 1er janvier d’antan. Endimanchée, toute la famille se rendait chez les aînés en respectant un ordre ben établi, arrière grands-parents et ainsi de suite. Les enfants qui étrennaient recevaient une pièce ou un billet après avoir dit respectueusement « Bonne année » aux membres de leur grande famille. De nos jours, les étrennes sont une tradition, non une obligation, l’usage veut qu’elles soient versées aux gardiens d’immeubles, facteurs, pompiers, éboueurs, en remerciement des services rendus tout au long de l’année. Il n’existe pas de réglementation, c’est à vous d’apprécier sous formes diverses « cadeaux ou espèces » à qui donner ou non.

Passage de faux agents. Comment reconnaître les vrais des faux.
L’habit : Comme pour les moines, ce n’est pas l’habit qui fait le professionnel. Un uniforme, ça se loue. Et un gilet jaune, nous en avons tous un dans la voiture. Méfiez-vous des apparences.

La Carte professionnelle : Pas de carte professionnelle, pas de calendrier. Qu’il s’agisse d’un éboueur, des pompiers ou du facteur, il faut leur demander. Terminé le format A3, maintenant, c’est la taille d’une carte bancaire (recto/verso).
Méfiez-vous du p’tit nouveau qui propose sa création imprimée sur son ordinateur. Vérifiez à minima la qualité du papier, l’impression, les dates, le logo.
Personne ne rentre : Même le plus véritable vendeur peut avoir son coté obscur (je peux utiliser vos toilettes ? ou avoir un verre d’eau ?). Ne laissez personne dans l’entrée ou vous laissez bien souvent votre sac à main, et vos clés de voiture.
Scout toujours prêt : Généralement, pas de problème avec le p’tit bonhomme de 8 ns sous son gros béret. Maintenant, ils vendent plus souvent sur les marchés ou à la sortie des églises.
Trop tard… Vous vous êtes fait avoir ? Deux choses à faire : ne touchez à rien et appelez la police en composant le 17.